Je souhaite poursuivre la réflexion à partir de la considération des
citoyens en tant qu’acteur(s) & actrice(s).
Je rejoins l’idée que pédagogie & propagande - qui ne font pas bon
ménage, sont des pratiques qui ne peuvent répondre, elles seules - au
mouvement et à la volonté politique nécessaires.
Il ne peut s’agir d’automatismes, si vertueux soient-ils.
Les exemples nombreux des initiatives dites "populaires" montrent à
mon sens, la nécessité d’approfondir le sens des mots, par trop galvaudés.
La conscience, si j’essaye de la dénommer serait synonyme de
Citoyenneté , d’Education & parce que j’ai 71 ans de Santé.
Nos vies sont faites d’ambition, il ne faut pas y voir que du mercantilisme.
S’adresser à autrui, au nom de l’intérêt commun suppose d’avoir une
ambition.
Le partage d’idées en fait partie.
De même l’attitude d’autonomie de réflexion. une des bases de
l’expérience face “aux réalités du travail et de ses contradictions”.
Nous ne pourrons unir tant que nos affirmations ne serons pas
clairement comprises, authentifiées.
Le discrédit actuel du politique est très grave.
il peut être démobilisateur, comme motivant.
Pour positiver, nous devons repenser les rôles et les fonctions, les
relations :
Habitants / Salariés / Consommateurs / Elus / Partis / Assemblées /
& LES Organisations dont le rôle peut être autre chose
que le faire valoir des politiques en place.
Repenser la relation démocratie - autonomie - gestion - administration.
Le rôle des Administrateurs dans les fonctions publiques, entreprises,
associations, mouvements, partis, groupements politiques.
L’importance ici de la précarité, à la fois - comme stimulant et à la fois
comme interdit de penser l’avenir, et de le construire.
Alors face aux défis, l’adjuvant de la jeunesse ?

Enfants, Jeunes, Adultes ou Vieillards, nous avons droit au pire, alors
regardons l’adversaire en face, et combattons-le ensemble.

M A. 8 avril 2013