Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20e anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Un grand débat inégal !
Mais quel est ce faux débat mis en scène autour d’un président au milieu d’une salle avec une petite centaine de citoyens l’interrogeant. quand un presque retraité avec handicap lui montre le papier avec le montant qu’il touche, le président affirme "mais non, vous ne pouvez pas toucher que ça, il y a de toute façon soit l’AAH, soit le minium vieillesse... et le président de gesticuler, se retourner, interroger un assistant pour se faire confirmer une date, et au passage, valoriser ses décisions avec la revalorisation de 100€ de l’allocation handicap...
Dommage que ce président ne soit pas dans tous les services publics tous les jours dans toute la France pour résoudre toutes ces urgences sociales que le citoyen très poli et attentif lui soumet. On se demande ce que font les travailleurs sociaux !
Mais bien sûr, aucun commentaire sur le montant dérisoire de ce minimum vieillesse que le monsieur ne touchait même pas, mais que ceux qui le touchent ne peuvent que dire qu’il est une misère !
Et bien sûr aucun commentaire médiatique sur cette mise en scène ou le président, au centre et dans la lumière, avec un son amplifié très clair, reconstruit sa légitimité devant des citoyens dans la pénombre et qu’on entend à peine...
Et au fonds, que dirait-on d’un match entre un champion du monde de boxe et un amateur débutant ? Ce serait une arnaque...
Et bien pour le débat public, c’est ce qui nous était montré dans ce débat de Bourg le Péage... un débat inégal, une construction médiatique publicitaire pour mettre en scène un président qui regagne la confiance... et qui tourne en ridicule des gilets jaunes qui se contredisent... « Applause » comme disent les panneaux vers le public dans les spectacles et jeux télévisés...
Reste la colère, qui doit trouver son chemin vers la construction politique.
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Je pense que les numéros de ces vignettes ne reflètent pas le degré de pollution d’un (…)