Être con pour un dirigeant n’est vraiment pas une excuse…

La réflexion du jour : être con pour un dirigeant n’est vraiment pas une excuse…

Lu ce matin dans l’Humanité :
Grèce : « Notre principale erreur ? Avoir mal mesuré leur volonté de nous détruire »

Il n’y a pas de pire erreur que celle-là pour un révolutionnaire… C’est à peu près aussi stupidement criminel que si les dirigeants cubains avaient oublié qu’ils avaient à une centaine de kilomètres de leurs côtes la plus grande puissance de la planète acharnée à leur perte, ils n’auraient pas tenu une minute…

Bref être con au point d’en oublier la nature du capital, n’est vraiment pas une excuse quand on accepte de prendre en charge la direction d’un peuple, celle d’un mouvement révolutionnaire…

Danielle Bleitrach

Voir en ligne : Sur le blog « histoire et société »

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