La réflexion du jour, unité des communistes et que les bouches s’ouvrent…

, par  Danielle Bleitrach , popularité : 2%

Un camarade d’aquitaine, secrétaire de section m’envoie ce petit mot... d’autres aussi me font part de ré-adhésions...

Danielle, Danielle, !
Pour info, la réunion des Vétérans a eu lieu cet après-midi, ils étaient 25, des cartes ont été à nouveau prises, et ils ont été très clairs à l’attention de la Fédé : on ne touche pas au nom du parti !
Amitiés
JC

J’ajoute et si certains camarades de la JC que je connais prenaient leur carte du parti, ils pourraient faire jonction pour défendre leur parti et nos fondamentaux... Je le répète ceux qui se sentent trop isolés ou incapables de mener le congrès dans le calme, sur les idées, et en toute fraternité, ou qui tout simplement sont convaincus qu’il n’y a plus rien à faire avec ce parti-là, qu’ils s’organisent à leur manière que ce soit dans l’ANC, le PRCF ou tout autre mouvement communiste à leur portée... En contribuant au dialogue, personnellement je crois que ce serait un pas de géant...

Si de tout ce mouvement avec les luttes qui se développent ne sortait pas une génération de révolutionnaires à la tête rationnelle, en sachant ce qu’ils veulent et capable de le mettre en œuvre contre ceux qui nous exploitent, le parti y trouverait ses dirigeants naturels... Ce serait bien étonnant, en tous les cas je ne vois pas d’autres solutions, si l’on ne veut pas que comme aux États-Unis, le capital n’ait plus d’ennemis à gauche alors que le peuple est fou de rage, ce qui est le prélude à tous les fascismes y compris ceux qu’on met en place aujourd’hui sous couvert de nous protéger... Et que la répression patronale devient affaire d’État comme pour les Goodyear... Alors que le capitalisme et ses brillants analystes ne sont plus capables de rien d’autre que de nous annoncer la catastrophe imminente...

Danielle Bleitrach

PS : Lundi je pars à Paris parce que mardi je dois aller à France Culture pour une émission autour de notre livre : Bertolt Brecht et Fritz lang, le nazisme n’a jamais été éradiqué. J’ai rendez-vous à 12h 1/4 à la porte D, mais j’ai oublié de demander l’heure de l’émission.

J’en ai profité pour multiplier les rencontres avec les camarades, d’abord le lundi réunion informelle, toujours dans le cadre de mon audit sur l’état du parti, les possibles ; donc à 19h30 la rencontre a lieu dans un café populaire, le relai Belleville à deux pas du métro Belleville. Ce quartier est celui dont jadis Krasucki me racontait comment ils ont lancé la résistance communiste, une poignée tandis que l’armée allemande défilait dans les rues de Paris. Un bon contexte pour nous rencontrer et aussi pour préparer l’émission de France Culture.

Mais cela n’est pas tout, le mardi soir, je vais à la librairie Tropique dans le 14e où Jean Salem et Aymeric Monneville présentent leur dernier livre sur l’autoritarisme du pouvoir, une excellente occasion pour poser le problème de l’état d’urgence.

Vous êtes tous invités ; et que se multiplient partout vos rencontres... les lundi communistes, mais il y a d’autres jours de la semaine...

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