Stalingrad : le 70ème anniversaire a été dignement célébré Des membres du réseau "Faire vivre et renforcer le PCF" étaient présents

, par  lepcf.fr , popularité : 3%

Le samedi 2 février, place Stalingrad à Paris, un peu plus de 500 personnes sont venues participer à la commémoration de la victoire de Stalingrad, sous la grêle, dont un certain nombre de russes.

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Évidemment, les militants et dirigeants du PRCF qui en étaient les organisateurs, étaient venus nombreux. Ainsi, Pierre Pranchère, ancien résistant et député communiste de la Corrèze, Gaston Landini, ancien résistant, président de l’Amicale des Anciens FTP-MOI des bataillons Carmagnole-Liberté, et Georges Gastaud, secrétaire du PRCF, tous trois se sont retrouvés au micro, le discours de ce dernier étant retranscrit ci-dessous.

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Pierre Pranchère au micro

Également, le PCF était présent, non par ses dirigeants qui ont tellement des problèmes avec l’histoire du PCF que leur boycott était forcément intentionnel ; ainsi on dénombrait des militants parisiens du PCF ou ex du quartier (NE de paris), des représentants du Rhône, du Nord (RCC), Jean-Jacques Karman et Caroline Andréani (Gauche communiste) membres du CN du PCF, Pasquale Noizet, membre du CN.

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Une forte délégation avec drapeaux rouges de jeunes du KKE dont notre camarade Prokopis Panagoulias, était présente, et aussi les communistes algériens du PADS (à qui la parole a été donnée), un délégué du parti communiste brésilien, des drapeaux républicains espagnols, des antifascistes italiens, divers blogueurs (El Diablo, Jean Lévy, Alexandre Moumbaris), à noter un drapeau du M’Pep.

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Une forte délégation russe dirigée par l’ambassadeur à qui le PRCF a donné la parole au cours du rassemblement et qui invitait les participants à un cocktail à l’ambassade de Russie, ne pouvait passer inaperçue avec des casquettes impressionnantes, et aussi des délégations diplomatiques cubaines, bélarusses, turkmènes et aussi du Kazakhstan, d’Ouzbékistan, d’Arménie... et de Chypre (salut Chrysantie !).

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A l’issue des discours, les manifestants étaient invités à déposer symboliquement un œillet rouge sur la misérable petite plaque commémorative apposée place Stalingrad donnant ainsi la mesure du mépris de la bourgeoisie française pour le sacrifice des soviétiques.

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Parmi les présents, une prof de collège apportait son témoignage (lu sur le site La Russie d’aujourd’hui) :

« Je suis là, parce que si on oublie, on est mort. En tant que prof d’histoire, je peux vous dire que nos livres d’histoire sont absolument immondes : ils mettent sur le même plan l’Allemagne nazie et l’URSS stalinienne, comme si c’étaient deux monstres face à face. Si aujourd’hui on ne fait pas de cours pour expliquer à nos élèves que nous ne devons pas notre liberté uniquement aux Américains, mais aux Russes, nous ne remplissons pas notre devoir d’histoire. Les milliers d’hommes qui se sont battus à Stalingrad, à Leningrad, à Moscou, ce sont des gens comme nous et ils ont sacrifié leurs vies pour l’avenir de liberté et de paix, et aujourd’hui on en est bien loin. »

Léon Landini s’est souvenu dans son discours, que :

« le 24 août 1944 dans une prison lyonnaise au moment même d’être libérés, les 950 internés parmi lesquelles je me trouvais, communistes et non communistes, chantèrent tous et d’une seul voix la Marseillaise et l’International.

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Après Stalingrad nous, les résistants en France, étions désormais certains que la libération de notre pays n’était plus une illusion qui nous avait animé pendant deux ans. Nous savions maintenant que cette libération était désormais toute proche. »

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Nous publions le discours de Georges Gastaud qui était le dernier à intervenir, donc dans des conditions difficiles puisque notre attention commençait sérieusement à faiblir sous les bourrasques, la grêle et le froid.

Suit un petit texte d’Annie Lacroix-Riz, qui était présente et qui nous fait un petit rappel d’historienne communiste concernant Stalingrad.

Des vidéos sont à visionner sur le site du PRCF ici et la.


Discours de Georges Gastaud :

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Messieurs les ambassadeurs, amis et camarades étrangers et français,

Je m’exprime au nom du Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF) qui, avec d’autres forces que je salue, a joué un rôle déterminant dans cette commémoration solidaire et combative.

Bien des choses ont été dites aujourd’hui sur ce tournant majeur de la guerre que fut la victoire de Stalingrad, cette bataille digne de Marathon et de Valmy, qui décida du sort de l’humanité progressiste et qu’on voudrait aujourd’hui, si j’ose dire, nous présenter comme un « point de détail de la seconde guerre mondiale ».

Si Stalingrad est si peu honorée chez nous, au point que vous découvrirez tout à l’heure la stèle dérisoire que la bourgeoisie parisienne a érigée sur cette place en l’honneur des héros soviétiques, c’est parce que ce nom, et tout ce qu’il évoque de souffrance et de gloire, contredit violemment l’amalgame odieux qu’on inculque aujourd’hui aux écoliers au mépris de la vérité en présentant l’URSS et le Troisième Reich comme deux versions du même totalitarisme, quitte à occulter les contenus de classes opposés des deux régimes qui s’affrontèrent sans merci de Stalingrad à Berlin en passant par Koursk et Leningrad.

Dénoncer l’amalgame odieux URSS=Hitler, c’est d’abord refuser que l’on mette sur le même plan l’exterminisme méthodique de la Wehrmacht et l’héroïsme des ouvriers et des paysans soviétiques, mais aussi des bolcheviks et des Komsomolets qui formaient l’ossature socio-politique de l’Armée rouge. C’est refuser qu’en criminalisant le communisme historique, on n’interdise les révolutions à venir tout en banalisant le fascisme : car l’extrême droite raciste relève aujourd’hui partout la tête dans cette lugubre Union européenne où, pour promouvoir le nouvel Empire patronal piloté par Berlin, l’on n’hésite plus à réhabiliter Mussolini et à valoriser les sanglantes divisions SS des Pays baltes.

Dénoncer l’amalgame, c’est aussi refuser que l’antisoviétisme à retardement ne serve aujourd’hui d’alibi pour encercler militairement la Russie, refouler les « BRICs », recoloniser de fait les pays de l’Est et du Sud, diaboliser la Chine, étrangler Cuba, dépecer l’un après l’autre les Etats-membres de l’UE.

Dénoncer l’amalgame, c’est aussi refuser l’OTAN qui, prétendument constituée pour contrer le camp socialiste, s’est renforcée et étendue vers l’Est après la chute de la RDA, en voyant l’occasion venue pour l’impérialisme américain et ses satellites de satelliser les ex-pays socialistes d’Europe, de surexploiter leur main d’œuvre pour briser la classe ouvrière occidentale, de déstabiliser la Biélorussie attachée à ses acquis populaires, d’encercler la Russie à travers un dense réseau de bases américaines abritées sous le prétendu « bouclier » antimissile de l’OTAN.

Mais célébrer Stalingrad porte aussi une signification d’avenir pour tous ceux qui veulent bâtir une société sans exploitation ni oppression.

Car ce que les Russes appellent toujours la Grande Guerre nationale et patriotique fut l’occasion de montrer ce que peut, pour le progrès de l’humanité, l’alliance du socialisme et du patriotisme. La Guerre patriotique a en effet permis de souder l’élan révolutionnaire des bolcheviks à l’engagement patriotique des peuples soviétiques et c’est à travers la cause victorieuse de l’antifascisme que le noble peuple russe s’est élevé au sommet de l’histoire mondiale quand le soldat rouge a hissé le drapeau frappé de l’Etoile et des outils au fronton du Reichstag vaincu.

En France, sitôt la bataille de Stalingrad gagnée le 2 février, le général De Gaulle adressait au PCF clandestin une lettre datée du 10 février 43. Il s’agissait d’unir la France libre à la guérilla engagée par la Résistance communiste dès 1940, Léon Landini ici présent en témoigne. De Gaulle voyait bien que la résistance communiste était de loin la plus active en France, des Maquis de Corrèze aux grèves minières du Nord, de la bataille du Rail aux sabotages des métallos parisiens. Peu de temps plus tard, grâce au sens politique de Jacques Duclos, relayé par Pierre Villon, et avec le plein appui de Jean Moulin, naissait le CNR puis son programme intitulé Les Jours heureux. Dans la lignée de l’alliance stratégique mondiale dessinée par Stalingrad entre le combat social et la lutte patriotique, le programme du CNR appelait à nationaliser les monopoles capitalistes, à créer la Sécu et les retraites par répartition. Ce programme trouva un début de concrétisation entre 45 et 47, à l’époque où Maurice Thorez, Marcel Croizat, Marcel Paul, Henri Wallon, Frédéric Joliot-Curie, Charles Tillon, François Billoux, Fernand Grenier impulsèrent les avancées progressistes que le MEDEF veut aujourd’hui briser.

C’est pourquoi, à l’heure où notre France, celle des travailleurs et des Communards chantée par Ferrat, se désagrège dans l’acide sulfurique de l’Europe fédérale des régions, de la casse sociale, du tout-anglais impérial, de la désindustrialisation et de la relégation des ouvriers, nous portons ici fièrement l’alliance du drapeau rouge et du drapeau tricolore que traduisait l’appel communiste Duclos-Thorez du 10 juillet 40, qui s’achevait sur cette exhortation ô combien actuelle :

« … jamais, non jamais, le peuple de France ne sera un peuple d’esclaves ».

Alors oui, honneur à Stalingrad, dont la mémoire vive permet aux communistes du PRCF, du CISC, de la Gauche co, du Réseau communiste du Rhône, de Réveil communiste, de la section PCF de Douai, du Rassemblement des cercles communistes, de Combat, de plusieurs organisations et militants du PCF, d’agir côte à côte pour, aujourd’hui, refuser la criminalisation de notre histoire, et pour demain, nous l’espérons vivement, mener ensemble la grande campagne contre l’OTAN et contre la dictatoriale Union européenne, une campagne commune nécessaire pour rendre l’espoir à notre classe ouvrière en lutte, de Renault à Good Year, de PSA à Florange, sans oublier les agents de la fonction publique.

Car face à l’austérité et à la casse industrielle, face aux guerres impérialistes et néocoloniales incessantes, face à la mise sous tutelle de peuples entiers, le combat de Stalingrad continue sous mille formes dans tous les pays pour sauver l’emploi industriel et les services publics, relancer le progrès social, rétablir la souveraineté des nations et défendre le droit de construire le socialisme comme le font nos amis cubains.

Honneur à Stalingrad, dont le souvenir permet aussi aux patriotes communistes, mais aussi aux progressistes du M’Pep, des Clubs Penser la France et aux Gaullistes de gauche ici présents d’agir pour que naisse un nouveau CNR porteur d’alternative progressiste.

Honneur à Stalingrad qui permet aussi aux communistes grecs du KKE, algériens du PADS, de l’ABW-KPD, du comité allemand Ernst Thälmann, aux espagnols Républicains, aux antifascistes italiens, au Parti communiste brésilien ici représenté, de faire vivre à nos côtés, l’internationalisme et la lutte anti-impérialiste.

Honneur à Stalingrad qui nous permet de saluer le grand peuple russe, le peuple biélorusse, le peuple turkmène, le peuple kazakh, le peuple arménien, bref l’ensemble des peuples soviétiques qui ont perdu trente millions des leurs pour abattre l’hitlérisme, le pire danger exterminateur que l’humanité ait jamais connu.

Aujourd’hui, la Bête immonde de l’impérialisme, de la fascisation, de la décomposition des nations, de l’exploitation sans limite, a changé d’allure mais non de nature.

Alors à nous tous d’entendre au présent le message d’unité combative de Stalingrad, qui fut aussi celui d’Ernst Thälmann, de la Pasionaria, des FTP et du CNR !

A nous de clamer à nouveau, dans les conditions d’aujourd’hui, « no pasaran ! » !

A nous de dire à nouveau, en français et en russe : « tout pour l’unité, tout pour la victoire », « Всё за единство, всё за победу ! »,

et en allemand : « Proletarier aller Länder, Völker der Welt, vereinigt euch !, prolétaires et peuples opprimés, unissons-nous ! ».

Alors seulement, Messieurs les ambassadeurs, camarades et amis, étrangers et français, nous serons dignes des millions de Soviétiques qui périrent en URSS et des dizaines de milliers de Résistants qui moururent chez nous pour écraser à jamais les fauteurs de fascisme, de réaction sociale et de guerres impérialistes !

Stalingrad, on n’oublie pas !

Stalingrad, on continue le combat !

Je vous remercie.

Source : site du PRCF


Texte d’Annie Lacroix-Riz :

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La capitulation de l’armée de von Paulus à Stalingrad, le 2 février 1943, marqua, pour l’opinion publique mondiale, un tournant militaire décisif, mais qui ne fut pas le premier. Cette victoire trouve son origine dans les préparatifs de l’URSS à la guerre allemande jugée inévitable : le dernier attaché militaire français en URSS, Palasse les estima à leur juste valeur.

Contre son ministère (de la Guerre), acharné à faire barrage aux alliances franco-soviétique et tripartite (Moscou, Paris, Londres) qui eussent contraint le Reich à une guerre sur deux fronts, cet observateur de l’économie de guerre soviétique, de l’armée rouge et de l’état d’esprit de la population affirma dès 1938 que l’URSS, dotée d’« une confiance inébranlable dans sa force défensive », infligerait une sévère défaite à tout agresseur. Les revers japonais dans les affrontements à la frontière URSS-Chine-Corée en 1938-1939 (où Joukov se fit déjà remarquer) confirmèrent Palasse dans son avis : ils expliquent que Tokyo ait prudemment signé à Moscou le 13 avril 1941 le "pacte de neutralité" qui épargna à l’URSS la guerre sur deux fronts.

Après l’attaque allemande du 22 juin 1941, le premier tournant militaire de la guerre fut la mort immédiate du Blitzkrieg. Le général Paul Doyen, délégué de Vichy à la commission d’armistice, l’annonça ainsi à Pétain le 16 juillet 1941 :

« Si le IIIème Reich remporte en Russie des succès stratégiques certains, le tour pris par les opérations ne répond pas néanmoins à l’idée que s’étaient faite ses dirigeants. Ceux-ci n’avaient pas prévu une résistance aussi farouche du soldat russe, un fanatisme aussi passionné de la population, une guérilla aussi épuisante sur les arrières, des pertes aussi sérieuses, un vide aussi complet devant l’envahisseur, des difficultés aussi considérables de ravitaillement et de communications. Sans souci de sa nourriture de demain, le Russe incendie au lance-flamme ses récoltes, fait sauter ses villages, détruit son matériel roulant, sabote ses exploitations. »

Ce général vichyste jugea la guerre allemande si gravement compromise qu’il prôna ce jour-là transition de la France du tuteur allemand (jugé encore nécessaire) au tuteur américain, puisque, écrivit-il, « quoi qu’il arrive, le monde devra, dans les prochaines décades, se soumettre à la volonté des États-Unis ». Le Vatican, meilleure agence de renseignement du monde, s’alarma début septembre 1941 des difficultés « des Allemands » et d’une issue « telle que Staline serait appelé à organiser la paix de concert avec Churchill et Roosevelt ».

Le second tournant militaire de la guerre fut l’arrêt de la Wehrmacht devant Moscou, en novembre-décembre 1941, qui consacra la capacité politique et militaire de l’URSS, symbolisée par Staline et Joukov. Les États-Unis n’étaient pas encore officiellement entrés en guerre. Le Reich mena contre l’URSS une guerre d’extermination, inexpiable jusqu’à sa retraite générale à l’Est, mais l’armée rouge se montra capable de faire échouer les offensives de la Wehrmacht, en particulier celle de l’été 1942 qui prétendait gagner le pétrole (caucasien). Les historiens militaires sérieux, anglo-américains notamment, jamais traduits et donc ignorés en France, travaillent plus que jamais aujourd’hui sur ce qui a conduit à la victoire soviétique, au terme de l’affrontement commencé en juillet 1942, entre « deux armées de plus d’un million d’hommes ». Contre la Wehrmacht, l’Armée rouge gagna cette « bataille acharnée », suivie au jour le jour par les peuples de l’Europe occupée et du monde, qui « dépassa en violence toutes celles de la Première Guerre mondiale, pour chaque maison, chaque château d’eau, chaque cave, chaque morceau de ruine ». Cette victoire qui, a écrit l’historien britannique John Erickson, « mit l’URSS sur la voie de la puissance mondiale », comme celle « de Poltava en 1709 [contre la Suède] avait transformé la Russie en puissance européenne ».

La victoire soviétique de Stalingrad, troisième tournant militaire soviétique, fut comprise par les populations comme le tournant de la guerre, si flagrant que la propagande nazie ne parvint plus à le dissimuler.

L’événement posa surtout directement la question de l’après-guerre, préparé par les États-Unis enrichis par le conflit, contre l’URSS dont les pertes furent considérables jusqu’au 8 mai 1945. La statistique générale des morts de la Deuxième Guerre mondiale témoigne de sa contribution à l’effort militaire général et de la part qu’elle représenta dans les souffrances de cette guerre d’attrition : de 26 à 28 millions de morts soviétiques (les chiffres ne cessent d’être réévalués) sur environ 50, dont plus de la moitié de civils. Il y eut moins de 300.000 morts américains, tous militaires, sur les fronts japonais et européen. Ce n’est pas faire injure à l’histoire que de noter que les États-Unis, riches et puissants, maîtres des lendemains de guerre, ne purent vaincre l’Allemagne et gagner la paix que parce que l’URSS avait infligé une défaite écrasante à la Wehrmacht. Ce n’est pas « le général Hiver » qui l’avait vaincue, lui qui n’avait pas empêché la Reichswehr de rester en 1917-1918 victorieuse à l’Est.

La France a confirmé la russophobie, obsessionnelle depuis 1917, qui lui a valu, entre autres, la Débâcle de mai-juin 1940, en omettant d’honorer la Russie lors du 60ème anniversaire du débarquement en Normandie du 6 juin 1944. Le thème du sauvetage américain de « l’Europe » s’est imposé au fil des années de célébration dudit débarquement. Les plus vieux d’entre nous savent, même quand ils ne sont pas historiens, que Stalingrad a donné aux peuples l’espoir de sortir de la barbarie hitlérienne. À compter de cette victoire, « l’espoir changea de camp, le combat changea d’âme ». Ce n’est qu’en raison d’un matraquage idéologique obsédant que les jeunes générations l’ignorent.

Annie Lacroix-Riz, professeur émérite, université Paris 7

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