La “ligne” d’histoire et société… par Danielle Bleitrach

, par  Danielle Bleitrach , popularité : 2%

J’ai reçu ces derniers temps des avis plus ou moins amicaux, aucun d’entre eux n’était cependant hostile, tous manifestaient leur attachement à Histoire et société et un potentiel de réflexion, autant que leur capacité de lecture, et la plupart attachés à la paix contre l’OTAN avant tout. Ces avis s’interrogeaient tous sur mon “attachement” au PCF qui leur paraissait en état de coma dépassé. D’autres notaient que mes “coups de gueule” faisaient l’intérêt de ce blog, et ces coups de gueule concernaient souvent ma déception face à ce parti et à travers lui à la France. Nous allons profiter de l’été pour favoriser entre nous les débats de fond et cela nous aidera pensons-nous Marianne et moi à encore mieux voir quel peut être l’apport de ce blog dont les articles publiés mais aussi le niveau des débats présente une originalité à laquelle nous tenons, parce que nous voyons de plus en plus de sites adopter une telle démarche sans aller jusqu’à la volonté critique à l’œuvre ici. Il y a bien sûr les pauvre types plus grotesques qu’autre chose mais ceux-là même s’ils s’obstinent a vouloir intervenir, n’ont plus le droit à la parole, il y a bien d’autres lieux pour accueillir leurs délires et insultes (1).

Je voudrais noter d’abord ce qui constitue à mes yeux l’intérêt de ce blog qui s’intitule Histoireetsociete, et que nous animons Marianne et moi avec des discussions quotidiennes sur ses orientations et ce que nous souhaitons publier. En ce qui me concerne la relation à l’Histoire est fondamentale, la politique ne m’intéresse que si elle est en relation avec l’histoire. Marianne apparemment au contraire ne s’y intéresse qu’aujourd’hui (du moins pour l’histoire de France) et on pourrait dire que c’est sous mon influence. En fait, son identification à la Russie et dans une moindre mesure à la Chine, son incroyable capacité à parler des langues et à se les approprier en profondeur était une manière de pénétrer ce que l’on peut considérer comme l’histoire et qui se présente comme une ouverture aux civilisations, à ce monde multipolaire qui nait sous nos yeux, mais aussi ce qu’il doit aux révolutions du XXe siècle.

La relation à l’histoire est avant tout la conscience de temporalités ou comment articuler l’événement, celui qui en général provoque mes coups de gueule avec les temps longs de l’histoire ceux que Marx renvoie à l’articulation forces productives, rapports de production. Ceux de la lutte des classes avec l’action d’acteurs souvent des individus mais qui portent la puissance des masses, leur intervention dans l’histoire. Quelle est la relation entre l’individu porteur de l’histoire, le Prince de Machiavel et le parti tel que le conçoit le léninisme ?

Nous sommes dans un moment de cécité du moins en France qui veut que nous avancions affolés d’événements en événements dénués de sens réel et chacun d’eux prétendant “rebattre les cartes” ce qui est complètement erroné. Les cartes ne sont pas rebattues et ce qui parait être un changement dans un sens ne fait qu’accélérer une tendance.

Il en est ainsi de la situation française inaugurée par cette série d’élections et la meilleure analyse de la situation est celle du KKE qui décrit “les marchandages” de l’Assemblée nationale comme la manifestation du sauve-qui-peut du capitalisme français (devenu usuraire) face à l’effondrement de l’impérialisme américain et la défaite annoncée de l’OTAN, tout ce qui mène le monde à l’anéantissement nucléaire et les Etats-Unis à la guerre civile. Les contorsions, les changements de nom et les ententes en coulisse, tout ce cirque habituel de la politique telle que la conçoit la société bourgeoise depuis qu’elle a renoncé à son rôle révolutionnaire apparaissent comme méprisables voire intolérables parce que justement la conscience des “masses” de l’impossibilité de rester en l’état est là. Et pour reprendre le cas de l’Ukraine, le fait est que deux tiers des votes ont dit à leur manière que le soutien inconditionnel de Macron à ce régime, ce pays, cela suffisait.

Que le PCF ait été incapable de traduire cette volonté de paix est un drame qui empêche l’unité de ceux qui veulent la paix et qui comme les Etats-Unis se divisent sur des bases communautaristes qui empêchent l’unité de la classe ouvrière, de la jeunesse, de tous ceux qui ont toujours porté la paix. Comme l’a très justement noté Roussel, tout en étant dans sa seule logique électoraliste incapable d’en tirer les conséquences, la vague d’extrême-droite qui a assailli en particulier les bastions de la gauche, du PCF, du vieux parti socialiste ouvrier, et des zones rurales avec ce peuple de paysans et d’ouvriers, ont vu dans le rassemblement national la seule voie pour expliquer leur volonté de changement parce que la gauche (et le PCF dans cette union) ne porte pas ce changement.

Quelques questions “stratégiques” ?

Première question : est-ce que la paix, le refus de l’OTAN a sa part dans la volonté de changement ou s’agit-il seulement du pouvoir d’achat ?

Deuxième question : est ce que l’analyse de Fabien Roussel est juste à savoir que ce n’est pas par racisme ou par xénophobie que cette vague s’est développée ? Notons que tout est fait par certains membres de la FI pour caractériser l’électorat du RN comme des “racistes”, ce qui accroit sa “clientèle” mais divise l’expression du changement et surtout appelle des réponses différentes. C’est la question posée par Ruffin, sa proposition de reconstituer une social démocratie sur d’autres bases.

Troisième question : pourquoi Roussel après cette analyse juste poursuit-il dans la seule union de la gauche en donnant même le sentiment que seul un poste de ministre l’intéresse et en restant sur le thème du pouvoir d’achat ? C’est un levier mais il reste dans l’ornière.

Quatrième question : quelle est cette ornière ? depuis trente ans le PCF subordonne son existence à ses seuls élus et dans la logique de l’eurocommunisme en effaçant le but du socialisme et même sa propre histoire, ce qui paradoxalement lui fait oublier une des bases de l’eurocommunisme l’équilibre est-ouest qui crée la paix et une solution à la Kautsky, une social démocratie arrachant des avantages sociaux par peur de l’influence d’un camp socialiste avec lequel on marque ses distances idéologiques à travers la “répulsion” de Staline tout en prétendant défendre la paix et le pouvoir d’achat… le contexte s’est quasiment inversé et la perspective des élus tourne à la peau de chagrin. Après avoir fait une analyse pertinente de la signification du vote massif en faveur du RN pour battre Macron pourquoi Fabien Roussel amplifie-t-il par son omniprésence médiatique cette “union de la gauche” ? En gros c’est parce que tout autre attitude relèverait de la perte de tous les élus… L’urgence est pour lui celle-là et pas le parti communiste, les militants invités à battre le fascisme ?

Cinquième question comment les “cadres” du PCF ont-ils pris cette consigne ? En ont-ils rajouté dans l’union les uns en se rapprochant de la LFI, les autres du PS, mais tous sans penser à un matériel propre du PCF, sans s’interroger sur la situation réelle ? Notez que le thème de la paix a été évacué derrière un programme de la gauche qui manifestait une adhésion totale à l’OTAN.

Voilà déjà 5 questions et quelques bases d’analyses : le mouvement en faveur de la paix et de la justice sociale est comme aux Etats-Unis profondément divisé et le PCF qui représentait l’unité de classe est en train de disparaître et ne voit d’issue que dans l’électoralisme. Il n’est pas question de nier l’importance des élections mais bien de prétendre les resituer dans une construction pas une reconstruction vu l’état de ce parti il faut le construire.

Les limites du “mouvement” et la nécessité du Parti

Et là on atteint effectivement le fond de l’analyse qui est celle de ce blog, nous ne croyons pas au “mouvement”, il est anti démocratique et la “démocratie” est rapidement captée par un quarteron de lieutenants ambitieux qui se font la peau entre eux au lieu de la faire à l’adversaire. Il faut un parti, il n’y a eu aucun changement de société sans l’existence d’un tel parti réalisant l’unité de classe et celle du peuple souverain. Paradoxalement faire l’unité est un rôle modérateur autant qu’un gage d’efficacité et quand on apprend que le Fatah et le Hamas ont signé en Chine un pacte unitaire on voit une issue que les intérêts populaires y compris israéliens seront obligés de négocier. Quand un fasciste se bat de sa colère il en sort l’extermination de masse, et avant l’esclavage de la classe ouvrière, les enfants exclus de l’école et les malades des soins parce qu’ils sont étrangers comme seul argument pour servir les profits patronaux, quand un communiste prend les armes, de sa colère il en sort la sécurité sociale, et toutes les conquêtes de la libération et y compris la démocratisation de la culture…

C’est pourquoi construire un tel facteur d’unité des combattants à partir des intérêts de classe de ceux qui n’ont pas d’intérêt à la guerre est un chantier, le seul qui devrait préoccuper les révolutionnaires sauf si ce sont des braillards qui se contentent de postures. Comment construit-on un parti communiste : il y a l’idéologique mais surtout l’organisation de l’appareil qui affronte l’Etat du capital. je ne cesse de penser à ce film Napoléon Bonaparte et comment Bonaparte est la Révolution, celle qui fait passer une foule exaspérée, en haillon en la grande armée organisée, l’essentiel est de choisir des lieutenants capables d’être là en prise avec leurs bataillons. c’est la leçon du Que faire ? Et cela dit le type de dirigeants de la base au sommet…

De quel parti avons-nous besoin et sur quelles base le construire ? Lui seul nous permet d’articuler l’événement avec le temps du passage à une autre société alors que nous sommes dans un basculement historique, parce que lui seul crée une conscience théorico pratique, l’action et la compréhension de la réalité se réalisant par l’intervention du peuple… Si l’on veut discuter de l’orientation de ce blog, la mauvaise méthode est de partir des fidélités supposées au lieu de considérer cette exigence et d’en discuter.

Maintenant revenons-en à divers événements par rapport à la paix et au rapport de forces mondiales, la fébrilité de nos médias et politiciens tranche sur le calme de la Chine et même de la Russie. Regardez la nomination de Kamala Harris, le regain d’enthousiasme pour l’atlantisme et l’idée aussi que les cartes seraient rebattues : la Russie en revanche attend et ne se fait d’illusion ni sur les uns ni sur les autres, ni sur Trump ni sur la démocrate, tout dépend de sa propre bataille et celle-ci est en train d’être gagnée. Quel que soit l’élu il devra tenir compte de la situation des armées, celle du dollar… J’ajouterai que la situation s’est encore dégradée pour Zelensky avec ce qui se passe en France où si le camp de la paix est divisé, incapable d’agir, le principal allié de Zelensky en Europe à savoir Macron a pris une raclée telle qu’il est incapable d’agir autrement qu’en inaugurant les jeux sportifs..

C’est cela qu’il faut analyser en évitant de se précipiter dans n’importe quoi…

Il faut construire un parti, nous sommes au-delà d’une possible reconstruction mais à partir de quoi ?

Alors revenons-en à mon soutien au PCF… Il n’y a personne qui occupe aujourd’hui la place qui devait être la sienne, celle qui ferait l’unité et l’organisation d’un peuple qui ne veut plus ni de la politique ni des dirigeants qui l’ont conduite et qui se retrouve avec les mêmes…

En appeler au soulèvement des masses devant cette spoliation de leur vote c’est prendre ses désirs pour des réalités et ne pas voir que la gauche telle qu’elle est reste à l’assemblée nationale comme dans le pays totalement minoritaire..

Oui il y a eu un moment essentiel et déterminant ça a été la manière dont a été battu André Chassaigne non seulement il a rappelé ce rôle d’unification du PCF et il a été l’épreuve de vérité qui a révélé la nature réelle du rapport de force au-delà là des mirages dont se nourrit Mélenchon mais aussi un PS qui se voit renaître de ses cendres.

La fière réponse aux rumeurs qui utilisaient son nom pour des propositions fantaisistes au poste de premier ministre confirme le texte que j’ai écrit sur le dernier des Mohicans au sujet du groupe communistes et GDR qu’il a su constituer.

Le fait est que l’expérience est là, partout il a été impossible de constituer un parti communiste à partir de groupuscules eux-mêmes divisés derrière d’improbables gourous même si ces groupuscules ont joué un rôle dans le peu de connaissance théorique et de l’histoire du communisme qui survit à la débâcle.

Mais ce que j’ai appris par expérience à la fois dans la connaissance de l’histoire et dans celle de ma longue vie c’est que celui qui par rancune choisit le camp qui contribue à la destruction de ce parti et de ce qu’il en reste de potentialité risque de très mal finir sous l’uniforme ennemi comme Doriot, comme d’ailleurs parallèlement ceux qui par opportunisme, manque de fermeté cèdent à la pression en finissant par faire la manche de quelques oboles du pouvoir comme Robert Hue. Il faut mesurer à chaque instant le sens de ses prises de position et le faire au-delà de l’événement.

Aujourd’hui j’ai besoin d’un diagnostic sur l’existence ou non de ce parti communiste sans lequel le “mouvement” divisé déchiré par l’ambition de petits chefs indignes risque d’aller toujours plus vers le fascisme et la guerre : je vais aller à l’Université d’été, aux rencontres de Vénissieux, je vais tenter de comprendre ce qu’il en est comme le poste d’observation marseillais est précieux a contrario pour mesurer toutes les errances populaires, les marchandages, les illusions qui se combinent si bien avec les dits marchandages.

J’ai besoin de l’expérience de ce que j’ignore à savoir celle de ceux qui sur le terrain se heurtent tous les jours aux conditions concrètes de l’ORGANISATION d’un parti communiste dans et hors élections… Cela a toujours été mon handicap cette question essentielle de l’organisation mais au moins j’en sais la nécessité. Il y avait jadis le triangle bolchevique avec ces trois pôles à chaque niveau territorial : l’agitateur, le propagandiste et l’organisateur… Il y a les compétences de chacun et savoir les reconnaitre est essentiel… J’ai connu des dirigeants communistes et je sais leur compétence quand comme Chassaigne ils récusent un poste qui ne leur convient pas et serait simplement vanité petite bourgeoise… le que faire de Lénine devrait plus que jamais être relu à la lumière des défis d’aujourd’hui, des possibles, des obstacles de notre temps (2).

Marianne, je reviens à elle partage ces interrogations et accomplit un travail indispensable de sélection d’articles qui approfondissent cette problématique, elle continue à être une militante du PCF active et me décrit la force d’inertie et la puissance qui s’exerce sur tout ce qui veut naitre. Elle est pratiquement la seule avec laquelle je peux jour après jour discuter de tout cela sans immédiatement passer aux conclusions comme d’autres le font si aisément… mais il y a le besoin de multiplier les expériences, pour revoir notre propre utilité si marginale soit-elle.

Parce qu’il y a urgence, nous avons décidé elle et moi de nous donner ici du temps. Nous avons réussi à rassembler dans ce blog des “communistes”, des “progressistes” venus d’horizons divers, des marxistes dits “staliniens”, des pro-chinois, des trotskistes, des militants encartés au PCF, d’autres en crise ouverte et groupusculaire, etc… Nous tentons d’aller au fond en lisant et en faisant l’effort de se répondre… C’est rare, rarissime… Nous allons continuer en profitant des temps morts de l’été pour vous donner à lire des textes et des analyses internationales…

Danielle Bleitrach

(1) Nous fonctionnons comme le comité de lecture de n’importe quelle revue avec une sélection des contributions publiées… Il y a ceux définitivement interdits puisqu’ils sont incorrigibles dans leur éructation ; il y a bien sûr l’éternel Yves Eychard qui sous le pseudonyme de Jouve (il tourne toujours autour de juif de quelque manière que ce soit même dans ses pseudonymes) voit en moi une espionne du Mossad… Il y a l’invraisemblable Bernard Gilleron qui outre lui aussi ses références antisémites me poursuit depuis une dizaine d’années et m’accuse dans un commentaire d’aujourd’hui de : Le communisme est sauvé !
Bleitrach a décidé de prendre les choses en mains, avec ses commentateurs -toujours les mêmes- ceux qui ne sont pas censurés et qui supportent ses insultes.Je n’en fais plus partie et je n’ai aucune illusion sur le résultat opérationnel de cette ambition personnelle. Franchement à 86 ans dans la censure totale acceptée qui est la mienne m’attribuer la moindre ambition parce que je tente de mesurer ce sur quoi peut se reconstituer un parti alors qu’il est à l’agonie est-ce que cela mérite le moindre intérêt ? Il y a plus douloureux encore, de la psychorigidité cadavérique… C’est cela une défaite qui accumule ses cadavres… mais il y a plein de lieux exutoires, Histoireetsociete a une “ligne” , elle est peut-être erronée mais elle s’affirme en tant que telle et elle repose sur du travail …

(2) J’ai déjà fait état des écrits politiques autour des Luttes des classes en France, l’Idéologie allemande, et même la Sainte famille mais le Que faire de Lénine est incontournable ;

PREFACE

I : DOGMATISME ET “LIBERTE DE CRITIQUE”
a) Que signifie la “liberté de critique” ?
b) Les nouveaux défenseurs de la “liberté de critique”
c) La critique en Russie
d) Engels et l’importance de la lutte théorique

II : LA SPONTANEITE DES MASSES ET LA CONSCIENCE DE LA SOCIAL-DEMOCRATIE
a) Début de l’essor spontané
b) Le culte du spontané. La Rabotchaïa Mysl
c) Le “groupe de l’autolibération” et le Rabotchéïé Diélo

III : POLITIQUE TRADE-UNIONISTE ET POLITIQUE SOCIAL-DEMOCRATE
a) L’agitation politique et son rétrécissement par les économistes
b) Comment Martynov a approfondi Plékhanov
c) Les révélations politiques et l’éducation de l’activité révolutionnaire
d) Ce qu’il y a de commun entre l’économisme et le terrorisme
e) La classe ouvrière, combattant d’avant-garde pour la démocratie
f) Encore une fois calomniateurs, encore une fois mystificateurs

IV : LE TRAVAIL ARTISANAL DES ECONOMISTES ET L’ORGANISATION DES REVOLUTIONNAIRES
a) Qu’est-ce que le travail artisanal ?
b) Travail artisanal et économisme
c) L’organisation des ouvriers et l’organisation des révolutionnaires
d) Ampleur du travail d’organisation
e) L’organisation conspirative et le démocratisme
f) Travail à l’échelle locale et nationale

V : PLAN D’UN JOURNAL POLITIQUE POUR TOUTE LA RUSSIE
a) Qui s’est formalisé de l’article “Par où commencer ?”
b) 
Un journal peut-il être un organisateur collectif ?
c) De quel type d’organisation avons-nous besoin ?

CONCLUSION

TENTATIVE D’UNION DE L’ISKRA ET DU RABOTCHEÏE DIELO

AMENDEMENT A “QUE FAIRE ?“

Voir en ligne : publié sur le site histoireetsociété

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  • (2002) Lenin (requiem), texte de B. Brecht, musique de H. Eisler

    Un film
    Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20ème anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...

  • (2009) Déclaration de Malakoff

    Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34ème congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires

  • (2011) Communistes de cœur, de raison et de combat !

    La déclaration complète

    Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.

    Un peu plus d’un tiers des adhérents a participé à cette consultation, soit une participation en hausse par rapport aux précédents votes, dans un contexte de baisse des cotisants.
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  • (2016) 37eme congrès du PCF

    Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.

    Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37eme congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).