A Mantes-la-Jolie, la municipalité de droite a célébré le 8 mai 1945, square Brieussel, là où un monument a été (…)
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Bien sûr traquer et punir les coupables. Mais poser publiquement la question : comment se fait-il qu’ils aient pu (…)
Profitant de la période de pandémie, un décret gouvernemental du 23 avril 2020 est presque passé inaperçu. Pour les (…)
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Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20e anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34e congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires
Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.
Un peu plus d’un tiers des adhérents a participé à cette consultation, soit une participation en hausse par rapport aux précédents votes, dans un contexte de baisse des cotisants.
... lire la suite
Unir les communistes pour un PCF de combat, marxiste, populaire et rassembleur
Texte signé par 542 communistes de 64 départements présenté au 36e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3694 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 33 623 exprimés) .
Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.
Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).
L’ensemble des documents publiés pour ce 38e congrès sur ce site
lire la rubrique du congrès
et quelques articles clés complémentaires
– discours de clôture du congrès de Fabien Roussel, nouveau secrétaire national
– une analyse de classe du mouvement des gilets jaunes par Philippe Cordat
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– demandez le numéro 10 de la revue Unir les Communistes
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
– pour une autre société, le socialisme.
– le dernier congrès du PCF
– contribution de jeunes communistes au 39e congrès : Six chantiers pour affirmer l’ambition révolutionnaire du PCF
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
« Ce n’est pas la faute de l’Occident si le système social de la Chine, à cette époque, a été incapable de contrer les occidentaux »
Alors ce n’est pas la faute des nazis si la bourgeoisie française kollabo a laissé partir toutes les richesses du pays en Allemagne ? Il me semble quand même que sans l’occupation nazie ces richesses seraient restées ici, et qu’on n’aurait pas distribué des tickets de rationnement jusqu’au premier décembre 1949.
Le pillage d’une nation, c’est toujours du vol de la force de travail de la nation pillée, mais le travail, surtout s’il est volontaire, fait toujours monter la valeur de la force de travail
D’abord il faudrait démontrer que le travail des chinois pour les comptoirs européens était « volontaire » et non imposé.
Ensuite il faut expliquer comment le travail « fait monter la valeur de la force de travail ».
Le capitaliste ne vole pas la force de travail, il la paie par le salaire.
La valeur de la force de travail est toujours payée au prix le plus bas possible tant qu’elle peut se renouveler. Mais le vol ne s’effectue pas sur son prix, il s’effectue sur le temps de son utilisation et l’intensité du travail, sa productivité. C’est la plus-value qui est volée.
Dans un pays colonisé l’absence de qualification diminue inévitablement la valeur de la force de travail parce qu’il est moins onéreux de la renouveler.
En dernier ressort, la valeur de la force de travail ne dépend jamais du « travail » volontaire ou pas, mais du rapport des forces entre la classe ouvrière et ses exploiteurs. Comme on peut s’en douter dans un pays colonisé elle est beaucoup plus faible que dans un pays impérialiste parce que le prolétariat subit à la fois l’oppression des capitalistes nationaux (mais on sait que le colonialisme entravait leur développement) et l’oppression coloniale. Et ensuite parce que les traditions de lutte salariales des paysans sont inexistantes.
Votre raisonnement ne tient pas.