La fidélité de Fidel

, par  J.

Le 27 novembre 2016 à 11:24, par J. En réponse à : La fidélité de Fidel

« A Santiago de Cuba »
Jean Ferrat chantait avec allégresse un repas de jour de fête en précisant que là-bas « les chiens restent sous la table ».
Petite phrase de rien du tout perdue dans une chanson qui signifiait qu’à Santiago de Cuba, ce n’était pas comme ailleurs, où par exemple le Klu-Klux-Klan perpétue encore aujourd’hui la haine des propriétaires qui lâchaient les chiens contre les esclaves en fuite.
Fidel et ses compagnes et compagnons avec l’audace de la jeunesse (aujourd’hui bridée chez nous par la dictature désespérante de la marchandise, d’un monde artificiel et virtuel profondément individualiste) donnèrent le signal de la révolte des peuples contre la domination de l’Impérialisme certes, mais surtout contre « l’inéluctabilité » de la domination bourgeoise et de ses valeurs d’exploitation destructrice et mortifère de l’ Homme et de la Nature, contre la proclamation de « la fin de l’Histoire » avec celle des antagonismes de classes.

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