Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20ème anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Libre enfin, ô ma patrie, je dirai tu es à moi...
Comme chaque année, c’est avec une grande fierté que nous honorons avec le drapeau de la section PCF, tous les déportés Vénissians...
- 31/04/2017 Vénissieux : Cérémonie de la libération des camps de concentration
et que nous reprenons le chant des marais
Mais un jour dans notre vie,
Le printemps refleurira
Libre enfin, ô ma patrie,
Je dirai tu es à moi.
C’est pourquoi le slogan facile de cet entre deux-tours "ni patrie, ni patron" fait mal au cœur, tant il cache que les patrons justement n’ont pas besoin de patrie, tant il est en fait la négation de ce qui permettra aux peuples de retrouver leur souveraineté, refuser les guerres et les confrontations, pour qu’enfin ils puissent dire aux patrons : "patrie, tu es à moi"...
Commentaires récents
Par pitié, arrêtons les faux semblants et osons regarder la réalité politique en face. Le front bourgeois, (...)
E qu’a faï ?
Il y a malheureusement des morts tous les ans au travail, notamment dans les chantiers, 661 au total tous (...)