Dans une tribune au Monde, Patrick Braouezec, ex-député coco qui avait soutenu le banquier d’affaires Macron lors de la présidentielle, regrette que le chef de l’Etat n’ait pas su « contenir la puissance de l’argent ». Non, ne riez pas encore...
« J’espérais qu’Emmanuel Macron rompît avec l’immobilisme de Hollande et la politique réactionnaire de Sarkozy », déclare-t-il également. Sans blââguer ?
Il est vrai que le dernier sondage, 100 jours après son élection à l’Elysée, donne 36% de satisfaits à Emmanuel Macron et qu’il est peut-être temps pour certains de tourner sa veste toujours du bon côté.
Mais aussi, comme disait Edgar Faure, célèbre politicien français :
« Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent », Edgar Faure.
Tiré du blog de Roger Colombier, paru le 13 août 2017
Commentaires récents
Il n’est jamais trop tard pour bien faire
Enfin !
En Allemagne, en 1933, un innommable (…)
Qui va le remplacer à la Présidence du groupe ?