La présidente du Front National a déclaré mardi 20 janvier au Monde qu’elle "espérait la victoire" de la coalition réformiste Syrisa en Grèce.
Évidemment, cette prise de position est tactique et ne trompe personne. Il s’agit simplement pour le FN de continuer à brouiller les pistes en venant jouer sur les terres de la gauche, non seulement pour se dédiaboliser, mais aussi pour continuer à défricher cette jachère populaire.
Comme le dit le PRCF en s’adressant notamment au Front de Gauche à propos de la sortir de l’UE et de l’euro, sachons raison garder, car « oser nous dire que nous "parlons comme Le Pen"… Par charité évitons les qualificatifs ». « Soyons généreux car nous, nous ne dirons pas au PCF-PGE qu’il parle comme Le Pen quand il souhaite la victoire de Syriza en Grèce. Ce serait odieux et malhonnête et imbécile ».
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