Marx et Engels, Lénine, Mao à la fête de l’Humanité rencontrent Brecht et Bloch A la place de l’ancienne société bourgeoise

, par  Gil-Simon Ben Aych , popularité : 2%

C’est aujourd’hui la fête de l’Humanité, la plus grande fête populaire du monde, et ils adressent leurs félicitations, d’abord aux militants communistes, vétérans, adultes, enfants qui l’organisent et l’ont organisé ; y compris les camarades-dirigeants qui se sont succédé. Ils saluent les peuples du monde, les forces du Travail, les forces progressistes et socialistes, les forces révolutionnaires, communistes, qui font de La Courneuve un lieu de débats et de réjouissances populaires diversifiées, sans égal. Ils souhaitent que les forces du Travail qui représentent l’écrasante majorité de la population mondiale, trouvent le chemin de leur émancipation multidiversifiée de la dictature du Capital, qui abîme la Nature et avilit l’humanité, aujourd’hui jusqu’au point de non-retour ; ils suggèrent, le capital international étant puissant, que les forces du Travail s’organisent internationalement aussi, et ici la responsabilité des communistes de France est engagée : 1789, 1871, 1936, 1945, 1968...

C’est pourquoi, ils estiment que le Parti Communiste Français devrait se transformer en Parti Communiste de France, afin que tous les travailleurs puissent y adhérer, y conviant aussi les camarades de Lutte Ouvrière, du NPA, et du Parti des Travailleurs, tous les autres communistes de toutes obédiences, de toutes nationalités. Il s’agit de mener le combat pour la paix, contre les dangers de guerre, il s’agit de construire un Front Anticapitaliste Mondiale, et il s’agit de construire la V° Internationale à l’échelle planétaire. Et il convient d’imprimer L’Humanité en chinois, arabe, espagnol, portugais, anglais, allemand et même en français, afin de résoudre la "crise" de cet organe que tous les travailleurs pourraient donc lire et qu’on pourrait vendre dans le monde entier !!!...

Mao dit que si les impérialistes (et aujourd’hui les sociaux-impérialistes en plus) déclenchent la guerre, les peuples la transformeront en révolution socialiste ; mais que si ce sont les peuples qui prennent l’initiative, ils éviteront l’aventure guerrière. Lénine et Brecht disent que "la grande vérité de notre époque c’est que notre continent est en train de sombrer dans la barbarie, (Bloch dit "même la planète") parce que la propriété privée des moyens de production est maintenue par la force".

Ernst Bloch, maintenant, lit :

"Dans cette perspective, il apparaît alors que l’homme vit encore dans la préhistoire, que toute chose se trouve encore avant la création du monde, s’entend d’un monde de bon aloi. La genèse réelle n’est pas au début, elle est à la fin, et elle ne commence à commencer, que lorsque la société et l’existence deviennent radicales, autrement dit se saisissent à la racine. Or, la racine de l’histoire c’est l’homme qui travaille, qui crée, qui transforme et dépasse le Donné. Dès qu’il se sera saisi et qu’il gardera ce qui est sien dans une démocratie réelle, sans dessaisissement et sans aliénation, naîtra dans le monde quelque chose qui nous apparaît à tous dans l’enfance et où personne n’a jamais été, le Foyer (Heimat"). C’est le principe Espérance" conclut-il.

"C’est parce que, dit Marx, tant que la bourgeoisie n’aura pas réalisé le marché mondial, il ne se passera rien de sérieux en matière de révolution socialiste, et je t’ai écris ça Friedrich, te souviens-tu, dès 1857, non ?"

"Exact, camarade Karl"

II rencontre alors un camarade philosophe qui veut leur soumettre une hypothèse eu égard à la dialectique, qui se présente ainsi.

Hegel, 1ère loi de la dialectique : Être et Néant coexistent et s’opposent, logique, l’être est néant et réciproquement, l’être devient néant et réciproquement, ces trois aspects engendrent le devenir, l’histoire.

Marx dit qu’en réalité, quand on sort de la logique, on trouve des hommes qui produisent, qui échangent et qui consomment, les trois phases dialectisées de leur existence ; et c’est pourquoi les idéalistes ne veulent pas reconnaître que la preuve du monde objectif c’est l’amour, c’est que je l’aime, et Engels surenchérit en disant "oui la preuve du pudding c’est qu’on le mange et qu’on le fabrique et qu’on l’emballe et qu’on le vend".

Staline surgit violemment, après avoir dit à Béria, qu’il allait mettre "une bonne raclée" à Trotski. Mais on a entendu et on est choqué ; et il prétend, lui, il l’a écrit dans "Matérialisme historique et matérialisme dialectique", que la première loi de la dialectique, c’est que tous les processus forment "un tout uni", et il répète "un tout uni". Il s’en va, les autres se regardent, interloqués. Mao dit que ce camarade -en quelque-sorte, a des allures de paysan pouvant devenir un tyran sanguinaire, et il ajoute qu’il va essayer de lui faire comprendre ce qu’il a écrit dans "De la Contradiction", à savoir que l’universalité de la contradiction réside dans le fait que TOUT processus est contradictoire et tout processus est contradictoire du début à la fin, l’être, le néant, le capitalisme, le socialisme ; le beau et le laid, etc... Et il ajoute qu’un théologien négatif est un stalinien, c’est démontré, parce que là où le niant-théologien dit "Il n’y a rien, plus rien, il est absent", le métaphysicien dit "Un tout uni" et on reste dans l’être en éliminant, niant le contraire, TOUTE différence, (qui est déjà contradiction).

Le camarade-philosophe ajoute que c’est la raison pour laquelle
- 1) la doxa marxiste confond Marx avec la "lutte des classes" alors que c’est un théoricien de la "fin de la lutte des classes" et que la plus-value, dissimulatrice de l’extorsion du travail d’autrui annonce la fin des sociétés de classes ;
- 2) que dans "complexe d’Oedipe" idem, on oublie "complexe" qui signifie une humanité, deux sexes et trois individus et que la mathématique humaine de cette résolution est en train d’apparaître ;
- enfin 3) qu’il faut comprendre Einstein dynamiquement, en disant que dans e=mc2, il faut faire varier e, m et c au carré de moins l’infini à plus l’infini. Tout le monde rit, sourit et approuve et les six invitent le camarade-philosophe à leur table. On déjeune et on boit, les mets et les vins de la production et du génie mondial, c’est excellent.

Et il se trouve maintenant que Lénine n’a point encore parlé ; ayant attentivement écouté Bloch (qu’à son regard, Vladimir tient pour un vrai génie), Lénine semble tout de même agacé et s’adresse aux autres camarades en disant que sur le plan théorique c’est très bien, mais qu’il est question de l’existence de sept milliards d’êtres humains qui peuplent la planète et qu’on ne peut pas se contenter de tout ce que l’on vient de dire, il faut agir, passer à l’action et formuler maintenant les Thèses de septembre de la Révolution Socialiste Mondiale.

Lénine sourit en regardant Marx et en lui disant que c’est ainsi qu’il entend sa dernière thèse sur Feuerbach selon laquelle les philosophes, JUSQU’À présent n’ont fait qu’interpréter le monde mais qu’il s’agit maintenant de le transformer, le changer. Tout le monde a compris et tout le monde attend impatient ce que va dire Lénine. Je vais vous proposer une chose étonnante, dit-il, on va recopier, oui, oui, recopier ; étonnement.

"Cher Karl, Cher Friedrich vous vous souvenez de votre Manifeste ?
- oui très bien
- il est intitulé Manifeste du Parti Communiste, sans préciser ici ou là ou là-bas non ?
- exact
- est-il réalisé ?
- non, pas encore
- alors on va tout simplement le réécrire et l’adapter, à savoir, je vous cite "Ces mesures, bien entendu, seront fort différentes dans les différents pays :...

1) Expropriation de la propriété foncière et affectation de la rente foncière aux dépenses de l’Etat, de chaque État et de l’Etat universel des travailleurs ; la Terre appartient à ceux qui travaillent, ni à ceux qui la "louent" et soit-disant la "possèdent" (et pourquoi pas la lune et l’espace aussi) et la Terre appartient encore moins à ceux qui "prêtent" l’argent-du-travail pour l’exploiter. La Terre appartient à ceux qui produisent les légumes, les fruits, le lait, le beurre, le fromage, les œufs, les viandes, les poissons et ainsi de suite. Les entreprises appartiennent aux travailleurs, les patrons sont licenciés en tant que patrons et embauchés en tant que travailleurs ; partout, y compris à la radio, à la télévision, au cinéma où, comble du renversement sémantique un capitaliste est nommé "producteur" et le créateur, producteur-réel, réalisateur ou "metteur en scène" !!!... Le cinéma du Capital !!!

2) Impôt fortement progressif ; que ceux dont les revenus sont issus de l’exploitation du travail (industriels, banquiers, financiers, commerce international,...etc...) restituent les produits de cette activité, soient mis à contribution, afin de ne rétribuer que le travail accompli dans le cadre de la répartition appropriée et internationale du labeur universel. Comptabilité mondiale. Comptabilité au service du Genre humain et non l’inverse comme aujourd’hui.

3) Abolition de l’héritage, une forme triviale de la croyance en l’immortalité et une reproduction de l’état de chose existant.

4) Confiscation des biens de tous les "émigrés" et "rebelles", ici il s’agit de confisquer les biens des paradis fiscaux, des fortunes colossales, et de tous ceux, "rebelles", qui fraudent le fisc en expatriant les produits de leurs activités nationales, européennes, mondiales.

5) Centralisation du crédit entre les mains de l’Etat, mondial, les États-Unis Universels, la Commune mondiale, la Commune Universelle, dont le capital doit appartenir au Travail, aux travailleurs du monde entier, jouissance du monopole exclusif de cette Banque Pour Tous, Banque du Travail Universel. Banque mondiale où c’est le Travail qui domine le Capital (Socialisme).

7) Multiplication des entreprises nationales, européennes et mondiales, des instruments de production, défrichement des terres incultes et amélioration des terres cultivées, planification universelle, et que l’agriculture "ne soit pas sacrifiée au commerce" comme dit Rousseau.

8) Travail pour tous, organisation rationnelle du travail, aussi dans l’agriculture, réinsertion des sans-travail et des sans-domicile, et des sans-soins... des "sans", .... citoyenneté du monde décrétée.

9) Combinaison du travail agricole, industriel, intellectuel, télé production et production assistée par ordinateur, mesures tendant à faire disparaître humainement et progressivement, intelligemment l’antagonisme entre la ville et la campagne ; urbanisation rurale et ruralisation citadine, selon les tendances actuelles de l’architecture progressiste.

10) Éducation publique et gratuite de tous les enfants. Abolition du travail des enfants dans les fabriques tel qu’il est pratiqué aujourd’hui. Combinaison de l’éducation avec la production matérielle selon le principe du libre consentement et progressivement. Assistance gratuite et soin particulier à la maternité, sans limites matérielles, financières.

"Les antagonismes de classes une fois disparus dans le cours du développement, toute la production étant concentrée dans les mains des individus associés, alors le pouvoir public perd son caractère politique.

A la place de l’ancienne société bourgeoise, avec ses classes et ses antagonismes de classes, surgit une association... (silence), une association où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous".

On applaudit. Et Lénine s’adresse au camarade-philosophe en lui disant qu’il a bien assuré son secrétariat. Le déjeuner se poursuit. Marx et Engels discutent de bières-pression et de bières en bouteille et comprennent, approuvent ceux qui déplorent que les petites brasseries locales disparaissent par concentration du Capital. Brecht soutient que les cépages des vins de Loire sont fluets mais que certains vins sont bien faits. Mao veut connaître La Côte-Rôtie et le Condrieu, parce que c’étaient parmi les vins préférés de Mitterrand, et Lénine demande si l’on peut goûter au Montrachet du Domaine de La Romanée-Conti, arguant de ce que quand il a dit que les toilettes seraient en or quand le règne de la valeur aura disparu, au XXXème siècle "tout le monde aura droit à une bouteille de Romanée-Conti et à un verre de Montrachet" !!!, parodiant Wharol qu’il a rencontré en Pologne, et dont il a bien connu les ancêtres.

Gil Ben Aych, en direct de La Courneuve.

Le dimanche 15 septembre 2013, suite diffusée le 20 Septembre

Mao s’insurge, Mao est accablé :
- Quoi ? le camarade-philosophe a tronqué Marx, c’est inadmissible, il nous raconte des cracs (comme diraient les Belges), il veut nous enfumer ce bouffon, comme on dit en banlieue
- ah bon !
- oui , il manque une partie du texte
- mais c’était pédagogique je le sais - à savoir ? -, j’ai d’abord proposé le programme de la Communauté Humaine Universelle, de la Commune Mondiale, et maintenant on peut en donner les moyens seulement maintenant !
- ah d’accord, alors le texte ?

Jenny joue avec les enfants, Karola parle avec Hélène, Mary regarde Engels et lui demande de faire attention à l’embonpoint, Chiang-Ching revient de La Fête avec Rosa et Karl, tandis que Berthold et Ernst se disputent parce que Brecht soutient que le Bonnes Mares est un Chambertin et Bloch affirme, certitude, que c’est un Musigny. On cherche. Le camarade-philosophe lit, on écoute :

"Les antagonismes de classes une fois disparus dans le cours du développement, toute la production étant concentrée dans les mains des individus associés alors le pouvoir public perd son caractère politique. le pouvoir politique à proprement parler, est le pouvoir organisé d’une classe pour l’oppression d’une autre. Si le prolétariat , dans sa lutte contre la bourgeoisie, se constitue forcément en classe (je souligne forcément) s’il s’érige par une révolution en classe dominante, (s’ériger en classe dominante,"adieu Bourdieu") et, comme classe dominante, détruit par la violence l’ancien régime de production, (vue la résistance acharnée des exploiteurs) il détruit, en même temps que ce régime de production, les conditions de l’antagonisme des classes, il détruit les classes en général et, par la même, sa propre domination comme classe."
- là d’accord dit Mao
- "A la place de l’ancienne société..." on connaît la suite c’était dans le précédent !
- là d’accord, la précision importe !

Berthold et Ernst rigolent se marrent.

- pourquoi riez -vous ?
- on se dispute un peu
- sur quoi ?
- non c’est Bloch qui a raison c’est un Musigny c’est vrai le Bonnes Mares est un Musigny je reconnais ,et j’aimerai bien en boire , tiens là voilà c’est un vin tellement gras
- t’aime les vins gras ?
- j’adore les nuits oui déjà
- ah oui, il faudra que je t’apprenne tout ça
- connais pas
- c’est normal, vous à part le thé !
- c’est vrai mais on a aussi euh un alcool de riz
- arrête un peu quand tu compares avec un marc hors d’âge tu rigoles ou quoi ?
- t’en as ?
- oui
- attendez, voilà des camarades du SNES, Syndicat national des enseignants, snes, qui viennent protester parce qu’ils écrivent dans une revue qui se nomme "Université Syndicaliste" et qu’ils sont bombardés par les envois du camarade-philosophe qui, lui, de son côté, n’est pas content parce qu’on n’a pas parlé de ses livres, jamais sortis à L’École des loisirs, c’est un scandale comme dirait Georges (et dans l’Humanité aussi, il est oublié, Monsieur Nicolas, chroniqueur actuel des livres) il est où au fait.
- il arrive
- qui ça Georges ?
- oui il est de Champigny aussi
- ah bon !
- bon c’est bien
- euh figurez-vous qu’on vient de recevoir l’intervention du camarade président de la Ligue des droits de L’Homme, le camarade Tartakowsky mais... comment dire ? c’est ni fait ni à faire là hein, qu’est-ce qu’il lui arrive ? vous avez vu ce qu’il est capable de déclarer tout en défendant le droit des musulmans à vivre en République ? et on trouve des choses !!!... Non vraiment...
- comment ça ?
- écoute : "nous vivons dans une société vieillissante, en souffrance sociale, menacée de fragmentation" ou encore "L’universalisme des droits pour être vraiment universel ne peut pas être totalement uniforme", c’est confus, tout ça pour des réformes démocratiques non mais quoi ? pour que les musulmans, l’Islam aient les mêmes droits, d’accord, que les autres religions, l’Église et la Synagogue !!!... oui, entièrement d’accord mais il écrit aussi : "pour affirmer une très forte égalité des droits" ; bon alors on va lui demander de relire la "Critique de la philosophie du Droit", euh tu lui prête Karl ?
- oui je veux bien et tiens la voilà, et même "La Question juive", si il veut où Karl a dit les choses avec une simplicité biblique, à propos justement de La Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen quand il écrit : "Quel est cet homme différent du citoyen ?". Magnifique, oui, "quel est cet homme différent... du citoyen ?..."

Berthold et Ernst commencent à chanter et tout le monde reprend :

"
Il n’est pas de sauveur suprême
ni dieu ni césar ni tribun
Producteurs sauvons-nous nous-même
décrétons le salut commun ,
pour que le voleur rende gorge ,
pour tirer l’esprit du cachot
soufflons nous-mêmes notre forge
battons le fer quand il est chaud
 
c’est la lutte finale,
 
hideux dans leur apothéose,
les rois de la mine et du rail
ont ils jamais fait autre chose
que dévaliser le travail
dans les coffres-forts de la bande
ce qu’il a crée s’est fondu
en décrétant qu’on le lui rende
le peuple ne veut que son dû,
c’est la lutte...
 
L’Etat comprime et la loi triche,
l’impôt saigne le malheureux
nul devoir ne s’impose au riche,
le droit du pauvre est un mot creux
c’est assez languir en tutelle,
l’égalité veut d’autres lois
pas de droits sans devoirs dit-elle
égaux pas de devoirs sans droits !
 
les rois nous saoulaient de fumées,
paix entre nous guerre aux tyrans,
appliquons la grève aux armées,
crosse en l’air et rompons les rangs
s’il s’obstinent ces cannibales,
à faire de nous des héros,
ils sauront bientôt que nos balles
sont pour nos propres généraux,
 
ouvriers paysans nous sommes
le grand parti des travailleurs
la terre n’appartient qu’aux hommes
l’oisif ira loger ailleurs
combien de nos chairs se repaissent
mais si les corbeaux les vautours
un de ces matins disparaissent
le soleil brillera toujours
 
c’est la lutte finale
 
debout les damnés de la Terre
debout les forçats de la faim
la raison tonne en son cratère
c’est l’éruption de la fin
du passé faisons table rase
foule esclave debout, debout
le monde va changer de base
nous ne sommes rien soyons tout.

Ayant écrit ce qui précède, il va de soi que je viens de reléguer bon nombre de philosophes dans les pataugeoires et les bacs à sable de leur préhistoire puérile, idéaliste, métaphysicienne, et j’ai aussi installé quantités d’écrivains, épinglés dans les contours de leurs régionalismes temporels et spatiaux comme cas particuliers de cette, de ma, généralité narrative. Tous des Anciens.

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