Contre le fétichisme de la finance
Bataille pour les retraites : les communistes doivent adopter une position de classe

, par  Pascal Brula , popularité : 1%

Lyon, le 26 juin 2010

En ce moment, les initiatives pour une taxation des transactions financières fleurissent. Bien sûr, les "pédagos" d’Attac sont de la partie. Ce mouvement n’est-il pas né d’une telle idée, la taxe Tobin ? [1] Avec l’ensemble des syndicats CFDT, CGT, FSU, plus un certain nombre de groupes écolos plus ou moins rigolos, ils viennent de lancer la énième pétition pour la taxation des transactions financières (makefinancework) ; l’objectif serait de dissuader les comportements les plus spéculatifs et de résoudre les "défis globaux", à savoir les urgences sociales et environnementales mondiales, telles que la lutte contre la pauvreté, le changement climatique ou encore les pandémies meurtrières ! Pas moins que cela ! Et parallèlement, Sarkozy et Merkel viennent de tomber d’accord pour proposer une taxe sur les transactions financières et les bénéfices des banques au prochain sommet du G20 à Toronto, tout en fustigeant les pays "laxistes". La ministre Christine Lagarde n’est pas en reste et est parfaitement confiante dans le résultat. Certes, les objectifs sont plus terre à terre puisqu’il s’agirait de créer un fond destiné au sauvetage d’éventuels crashs du système bancaire. Ces financiers, alors, tous des voyous ?

Vive les revenus financiers !

Tant qu’à faire, si une taxation des transactions financières peut résoudre tout cela, pourquoi ne pas intégrer aussi les retraites, dont les capitalistes nous disent qu’il s’agirait d’un puits sans fond. Soyons fou ! Mais il se trouve que d’autres y ont déjà pensé avant nous. Le gouvernement nous propose de taxer les hauts revenus dont on peut penser que parmi eux, il y a bien des revenus financiers. Sarkozy ne dit-il pas pis que pendre de ces fameux traders sortis du même sac que tous ces financiers soi-disant véreux, et ne fait-il pas beaucoup de tapage pour assainir ce satané système ? Heureusement, dans un registre qui peut paraître plus sérieux car plus à gôôche, il y a la fondation Copernic et les professeurs d’Attac. Ils ont lancé un appel auquel s’est rallié l’ensemble du spectre de la gauche, alliant direction du PCF, des Verts, du NPA, du PG, Alternatifs, Objecteurs de croissance, et même quelques PS ; on y trouve pêle-mêle les signatures de Besancenot, Buffet, Mélenchon, Duflot, Hammadi et j’en passe. Que nous expliquent-ils ? Que fort justement, la part des salaires dans le PIB a chuté ces dernières années au détriment des profits, mais ils en concluent que "le financement des retraites est possible à condition d’en finir avec l’actuel partage éhonté de la richesse au bénéfice des revenus financiers" : comme il s’agit de la seule formulation de l’appel donnant une solution, on peut penser qu’il s’agit bien de la manière dont ils entendent résoudre le problème des retraites, à savoir faire payer ces fameux revenus financiers. Et l’on se demande alors pourquoi personne n’y avait pensé avant.

Une union d’états-majors pour des objectifs nébuleux

Arrêtons-nous un instant sur ce texte qui rassemble tout le spectre des états-majors de la gauche dite "de la gauche" ou "antilibérale". On peut y lire à juste titre une description des dangers que représente la réforme de la droite et du patronat contre les retraites par répartition, avec également un point de vue critique sévère des réformes engagées sur la question depuis 1993. Bien sûr, le texte alerte aussi sur le fait de repousser l’âge de la retraite et sur la diminution importante du volume et du pouvoir d’achat des pensions (taux de remplacement). Mais à aucun moment, il n’est donné de message clair sur ce que veulent les signataires : il n’est fixé aucun objectif précis, ni sur l’âge de départ à conforter ou à défendre, voire à diminuer, ni sur le niveau des rémunérations, ni qui doit en bénéficier. Quant à la question du financement, le texte explique l’attaque contre les retraites par la crise financière et les déficits publics qu’il suffirait de combler par une "taxation du capital", terme tellement vague qu’il correspond à botter en touche (le capital peut-il se taxer ?). Plus loin, il est question de s’attaquer aux profits, ce qui est juste, mais pour dire tout de suite après que c’est le "partage éhonté de la richesse au bénéfice des revenus financiers" avec lequel il faut en finir, ce qui n’est pas la même chose. Au regard de cet appel, il me semble difficile de mobiliser les français si l’on ne dit pas clairement ce qui doit être fait. Il y a trop de non-dits et de zones de flou. Certes, on peut penser qu’il s’agit d’un texte de compromis, chargé de contenter tout les états-majors politiciens présents autour de la table. Mais est-ce bien comme cela que l’on peut préparer et construire le changement nécessaire de société. Et en tant que communiste, il est légitime de se poser la question : quelle position défend la direction du PCF ? Ce qui amène tout de suite à la question suivante : pourquoi le PCF doit-il toujours s’aligner sur les "penseurs" de la fondation Copernic et les "professeurs" d’Attac ? S’agit-il d’une manière récurrente de préparer et d’anticiper la dilution du PCF ? Le collectif intellectuel du PCF est-il incapable d’élaborer ses propres positions ? Des positions dignes d’un parti communiste ? Ou alors le message de la direction n’est-il pas de signifier qu’il n’y a plus de position communiste possible et qu’il faut désormais se soumettre à une pensée externalisée ?

Les solutions de la direction du PCF

L’ennui dans toutes les propositions que l’on nous présente, qu’elles viennent de l’extérieur ou de la direction du PCF, c’est le flou concernant l’analyse du système à l’origine du problème, le flou sur les responsabilités : qui produit les richesses, qui se les approprie, qui décide du partage et comment est-il réalisé ? Donc forcément, avec des analyses superficielles, les propositions ne peuvent pas être pertinentes. La direction du PCF qui fait distribuer ces derniers temps un tract national sur le sujet des retraites, donne ses propositions de financement des retraites. Leur seul avantage est d’être clairement formulées : d’une part, faisons cotiser les revenus financiers et d’autre part, pénalisons les entreprises qui font du chômage, et le tour est joué. En ce qui concerne la proposition de pénaliser les entreprises qui font du chômage, réglons-lui son compte de suite. Référons-nous à l’excellente critique de cette proposition par Raphaël Thaller écrite il n’y a pas si longtemps (Reforme-des-cotisations-patronales). Cette analyse nous explique que la cotisation sociale ne peut pas être un instrument de gestion, ni une variable d’ajustement de l’emploi, et qu’il est absurde de tomber dans le panneau de cette escroquerie patronale selon laquelle la cotisation sociale (appelée indûment "charge patronale") serait une entrave à toute activité de production et s’opposerait donc aux emplois. Moduler la cotisation des entreprises ayant un plus fort taux d’emplois, reviendrait à une baisse classique des "charges patronales" en échange d’hypothétiques emplois, technique que l’on connaît bien, puisque tous les gouvernements qui se sont succédés ces dernières décennies en ont usé et abusé. Et pour en finir avec ce mythe, l’auteur rappelle qu’une entreprise qui utilise beaucoup de machines et peu de salariés, consacre une part de sa plus-value à l’amortissement des machines qui représente… du travail passé ou cristallisé, c’est-à-dire qu’au travers de cet amortissement, il rémunère les travailleurs qui ont produit la machine.

Revenons à la première des deux propositions de la direction du PCF : faire cotiser les revenus financiers. Cette proposition rejoint l’esprit de l’appel lancé par la fondation Copernic et Attac, même si ces derniers ont produit un texte qui entretient une certaine confusion, passant d’une critique sans concession du système à des solutions peu claires. S’appuyer sur les revenus financiers est un point de vue récurrent chez ceux qui constituent désormais le club de réflexion théorique officieux des états-majors de la "gauche de la gauche" : le capitalisme financier, donc forcément artificiel et parasite, s’opposerait au capitalisme industriel qui, lui, serait respectable parce que productif ; la solution est évidemment de ne s’en prendre qu’au premier, cause de tous les maux. Nous allons voir que cette vision dichotomique n’est qu’une vieille lune réformiste déjà fortement critiquée en son temps par Marx.

Quelques leçons de Marx

Il faut toujours se rappeler ce postulat de base : le moteur de la production capitaliste est le profit et non la satisfaction des besoins humains. Ce n’est qu’en fonction de la résistance des travailleurs et du niveau de développement des forces productives que les conditions de vie peuvent s’améliorer dans un système capitaliste. Cependant, même s’il peut y avoir illusion que le capitalisme est adaptable dans une conjoncture particulière, comme par exemple au cours des trente glorieuses, dès que le rapport des forces retourne en sa faveur, la bourgeoisie est capable de reprendre jusqu’au dernier centime ou la dernière seconde de temps libre que le mouvement ouvrier aura pu lui arracher.

Dans le système capitaliste, le travailleur ou prolétaire doit vendre sa force de travail au capitaliste pendant un temps déterminé, pour vivre… ou survivre, selon l’époque où il vit et selon la valeur de sa force de travail. Pendant le temps où il se soumet au capitaliste, son travail se divise en deux parties :

1ère partie – celle du travail nécessaire à la production de la valeur correspondant à ses moyens de subsistance. Cela correspond à son salaire. Et le montant de ce salaire est fonction de l’intensité de la lutte des classes et du rapport de force. C’est d’ailleurs par les luttes que les travailleurs ont acquis la possibilité de financer la sécurité sociale et les retraites qui sont un salaire indirect, en plus du salaire direct. Au delà d’un certain âge (environ 60 ans), les capitalistes sont donc obligés de contribuer à payer une partie de la population à ne rien faire ou à avoir une certaine activité sociale non subordonnée. Cela leur est d’autant plus insupportable, que l’espérance de vie augmente !

2ème partie – celle du travail au cours duquel le travailleur produit la plus-value pour le capitaliste : c’est le surtravail. Cette plus-value que le capitaliste s’approprie aboutit notamment au profit capitaliste ou encore aux investissements. C’est cette plus-value que depuis le milieu des années 80, le patronat et les gouvernements successifs augmentent au détriment du salaire.

Ainsi, contrairement à ce que l’on veut faire croire aux français, les travailleurs produisent plus de richesse que leur propre salaire. Avec des forces productives ayant atteint un certain niveau de développement et un haut niveau de productivité, Marx nous rappelle que la spécificité de la force de travail est qu’elle est l’unique marchandise capable de produire plus de valeur qu’il n’en faut pour sa propre reproduction. Par conséquent la force de travail vendue par le prolétaire au capitaliste est la seule capable de produire de la plus-value, et donc du profit. Il est fondamental de comprendre que cette plus-value est créée dans le cadre de la production et non pas au moment de la circulation de la marchandise. Dans la sphère de la circulation, la plus-value n’est pas créée, mais seulement réalisée : elle est transformée en argent au moyen de l’échange commercial.

Le fétichisme de la finance

Concernant la place de la finance dans le système capitaliste, là encore, l’apport de Marx est lumineux. Marx nous dit que le taux d’intérêt financier n’est qu’une partie de la plus-value que le capitaliste actif doit payer au banquier au lieu de la mettre dans sa poche. L’intérêt ne constitue donc pas de la richesse créée par le capital financier, mais n’est qu’un prélèvement sur la plus-value provenant de la production. Marx parle de fétichisme de la finance, car dans la représentation populaire donnée par l’idéologie dominante, le capital financier rapportant de l’intérêt est placé sur un piédestal et est considéré comme producteur de richesse car transformé en capital par excellence. Il est pourtant aisé de se rendre compte que ce n’est pas la réalité lorsque des masses financières peuvent s’effondrer du jour au lendemain. En effet, les produits financiers peuvent gonfler de manière extraordinaire tant qu’ils ne prétendent pas à se confronter à la création de valeur réelle. Dans ce cas, ils doivent se plier à la loi de la valeur, et si ce nouveau "pouvoir d’achat" ne trouve pas de contrepartie du côté de la production, l’ajustement se fait alors par les prix, revenant alors à une dévalorisation des revenus, y compris des revenus financiers. Tout cela est parfaitement expliqué par l’économiste marxiste Michel Husson (Husson - finance97).

Alors que Marx démontre que la finance est née avec le capitalisme et en est inséparable, la vision dichotomique développée encore de nos jours par les idéologues réformistes de la "gauche de la gauche" permet de dédouaner à bon compte l’exploitation capitaliste. Une opposition artificielle est ainsi inventée entre le bon capitalisme industriel concret et investisseur et le méchant capitalisme financier qui spécule et privilégie les opérations de court terme. C’est cette "hypothèse" qui a cours aujourd’hui dans les milieux réformistes, et sur laquelle cherchent à s’appuyer les représentants de la bourgeoisie capitaliste dont fait partie le gouvernement Sarkozy. Ce dernier ne vient-il pas de créer une taxe sur les banques ? N’est-il pas en train de le faire avec sa commère Merkel au G20 ? En réalité, les intérêts bancaires, les titres détenus en actions, obligations, bons du Trésor, sont des droits de tirage sur la richesse sociale, sur la plus-value, mais ne sont pas des marchandises et ne créent aucune valeur nouvelle. Le fétichisme de la finance est l’illusion de croire que le capital financier pourrait avoir une existence propre et qu’il créerait lui-même de la valeur. Les "penseurs" d’Attac et de la fondation Copernic sont piégés dans ce système illusoire. D’où bien sûr leurs solutions toutes orientées vers la taxation des revenus financiers, ce qu’ils semblent appeler la taxation du "capital".

Pour des solutions communistes

Le fétichisme de la finance n’est pas qu’un problème théorique. Il a des conséquences politiques importantes. Tout d’abord, il constitue une erreur fondamentale : au lieu de s’attaquer au fond du problème de l’exploitation capitaliste, c’est-à-dire au cœur de la production, là où se crée la plus-value, il prétend s’attaquer à la partie de la plus-value prélevée par le financier, basée sur l’illusion de son autonomie et de sa démesure. Alors que nos anciens, les camarades qui ont créé la sécurité sociale à la Libération dans le cadre d’un rapport de forces favorable, l’ont fait en prélevant, en plus du salaire direct, le salaire indirect directement sur la plus-value créée par le travailleur, nos "amis" réformiste proposent de déserter ce terrain de lutte en taxant les revenus financiers. Il s’agit donc bien d’un renoncement à la lutte des classes, d’un renoncement à la mise en cause fondamentale du capitalisme. Ne nous laissons pas faire. A la lumière de ce problème, plus que jamais est ressentie la nécessité d’une identité communiste indépendante, d’une autonomie politique, idéologique et organisationnelle du parti communiste, loin de la (con)fusion espérée par certains dans le Front de gauche.

Dans les années 70-80, la bourgeoisie capitaliste a inventé la notion de "cotisations patronales" qui sont vite devenues "charges patronales" : il s’agit là d’une véritable escroquerie. Car ces "cotisations" sont des cotisations sociales, du salaire indirect, c’est-à-dire une partie de la plus-value capitaliste basculée dans le pot commun des salaires. Les faire appeler charges patronales a constitué le début de l’offensive contre le salaire indirect, à savoir contre la sécurité sociale et les retraites. La suite est logique pour le patronat : derrière le mot d’ordre de la diminution des charges "pour sauver l’emploi", il s’agit tout simplement de regagner de la plus-value et donc du profit. Laurence Parisot a d’ailleurs mis les points sur les i début juin : "nous devons réussir cette réforme sans augmenter les cotisations (sous-entendues patronales) car il faut en même temps avoir l’assurance de maintenir la compétitivité de la France. Le gouvernement semble en mesurer aussi la nécessité" (Les Echos- Reuters). Et déplacer le problème sur les revenus financiers ne peut que la rassurer : l’augmentation des "charges patronales" n’est plus à l’ordre du jour.

Quant aux taux d’intérêts et d’une manière générale les revenus financiers, ils relèvent de la maîtrise du secteur bancaire. La solution qui devrait être proposée par les communistes et qui serait certainement partagée par de nombreux secteurs de la société (devant les sommes faramineuses qui ont été "prêtées" sur les revenus nationaux), consiste simplement à revendiquer la nationalisation du secteur bancaire. Mais pour la très bien pensante "gauche de la gauche", le mot nationalisation est un gros mot. En effet cela sous-entend combattre et sortir de l’Union européenne alors que toutes les organisations, de la direction du PCF au NPA en passant par le PG, sans parler des Verts ni même du PS, sont engluées dans ce miroir aux alouettes qu’est "l’Europe sociale".

Ainsi, la véritable revendication communiste se situe au niveau salarial. La vraie bataille pour les retraites est une bataille de classe, la plus dure (c’est peut-être pour cela qu’elle rebute nos bureaucrates de "gauche") ; c’est celle pour la diminution de la plus-value capitaliste et donc pour l’augmentation du salaire direct et du salaire indirect. Le système favorable aux travailleurs est là, sous nos yeux : il faut le défendre. D’ailleurs, pourquoi personne ne demande la suppression de la CSG (Rocard) et de la RDS (Chirac) qui sont des remises en cause du salaire indirect mis en place à la Libération ? Demander la taxation des revenus financiers pour résoudre le problème des retraites, c’est remettre en cause le système de financement mis en place par le CNR (Conseil National de la Résistance), système qui est pourtant un avant-goût du communisme, c’est renoncer à toute identité révolutionnaire, renoncer à la mise en cause du capitalisme, renoncer à s’organiser en conséquence (sur les lieux de travail et dans le secteur de la production). Au contraire, s’appuyer sur le salaire indirect en revendiquant son augmentation (ou dit autrement, augmenter les "cotisations patronales"), c’est s’en prendre au cœur du système capitaliste et à ses profits et permettre d’élargir la lutte à l’ensemble des exploités. Se battre pour augmenter les salaires directs (SMIC à 1500 € net) et élargir l’assiette du salaire indirect, permettrait d’ouvrir des droits à la retraite à 60 ans pour tous (minimum au SMIC), y compris les chômeurs, et d’intégrer les particularités professionnelles, la pénibilité et les années d’étude. Défaire les réformes Balladur-Fillon-Sarkozy est à ce prix. La mobilisation doit redoubler.

Pascal Brula

[1] Dans un document récent, Attac se présente ainsi : "Dès 1998, dans le sillage du Monde Diplomatique, Attac démontrait la pertinence d’une taxe sur les transactions financières. La justesse de cette analyse ne fait maintenant plus aucun doute puisque de nombreux dirigeants européens se sont prononcés pour une taxe sur les transactions financières, parlent d’interdire les fond spéculatifs, voire les paradis fiscaux, en vue de réguler la finance". Et ils appellent à adhérer sur cette base : "En adhérant à Attac, quelles que soient vos disponibilités, ou en faisant un don même minime, vous soutiendrez un mouvement citoyen qui combat les racines d’un mal qui ronge notre société, l’hégémonie de la finance sur nos vies".

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