Dans la guerre de classes, il n’y pas de « jour d’après »

, par  Pascal Brula

Le 9 juin 2020 à 16:34, par Pascal Brula En réponse à : Dans la guerre de classes, il n’y pas de « jour d’après »

J-Cl Delaunay n’ayant pu poster son commentaire, il m’a demandé de bien vouloir l’insérer pour lui...

« Je souhaite dire ici, de manière très insuffisante mais néanmoins affirmée, tout le bien que je pense du texte que Laurent Santoire vient de publier sur le site de FV et Renforcer le PCF. Venant d’un homme politique qui est aussi un syndicaliste, ce texte se situe au plus près de la compréhension de la société française actuelle et progressivement, montre que le socialisme est peut-être bien la véritable issue des problèmes rencontrés. Je crois que, lorsque le mouvement ouvrier et populaire en France aura totalement intégré dans sa compréhension intime des problèmes et de leur solution, qu’il ne suffit pas de revendiquer sur tel ou tel point, mais que la situation exige de donner une perspective globale, politique et unificatrice au plan national à ces revendications dispersées, et que cette perspective est le socialisme, un grand pas aura été accompli pour redresser ce pays, satisfaire les revendications en question et développer une puissante lutte de transformation révolutionnaire. Simultanément, cela supposera l’abandon des illusions relatives à l’Union européenne. On perçoit bien le rôle que joue aujourd’hui l’idéologie européiste dans le combat de classe actuel. Elle est un moyen de ne pas parler de la révolution, de la rupture nécessaire avec le capitalisme et de la construction non moins nécessaire dans ce pays d’une société socialiste. Merci Laurent. »
Jean-Claude Delaunay

Brèves Toutes les brèves

Annonces