Les 4 hommes les plus riches du monde se sont enrichis de 219 millions de dollars en 2020
Alors que l’année a été (...)
La gauche décomplexée Une page parodique à découvrir dans le journal FAKIR
Allez, une parodie qui aurait eu toute sa place à la une de l’Humanité. Mais pour cela, il faudrait un journal qui ne soit pas fait pour justifier la ligne politique du Front de Gauche, mais qui parle à tout le peuple, pour faire appel à son intelligence, ce qui suppose autant d’effort de connaissance, que de distance humoristique !
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ATTENTION ! CECI EST UNE PARODIE. TOUTE INTERPRÉTATION AU PREMIER DEGRE SERAIT NON AVENUE ET PUREMENT FORTUITE !
La guerre est déclarée
« Mon ennemi a un visage et même un nom , et pour tout dire il sent un peu l’urine ! » Dans son discours de victoire de la place Stalingrad, François Hollande a déclaré la guerre aux riches. « Liliane Bettencourt, Bernard Arnault, François Pinault, Serge Dassault vous pouvez trembler. I’m very dangerous ! » Le président socialiste n’entend pas « laisser une poignée de vieillards séniles ou de traders dégénérés prendre en otage une population entière ». Et d’asséner en forme d’ultimatum : « Ce n’est pas le marché qui gouverne. »
Les créneaux de piscine réservés aux riches, c’est fini !
Identité républicaine
« La finance est-elle compatible avec les valeurs de la République ? » Sitôt élu, François Hollande a relancé le débat sur l’identité républicaine. « Loin de moi l’idée de stigmatiser tous les petits porteurs, mais ne fermons pas les yeux sur les ravages du fondamentalisme libéral dans nos quartiers d’affaires ».
François Hollande entend ainsi reconquérir ces « zones de non-droit » et démanteler les lieux de culte clandestins qui mettent « en péril notre pacte républicain ». Première mesure symbolique : la fermeture du Fouquet’s. « Il n’était pas décent de laisser prospérer au cœur d’un quartier touristique, un repaire notoire du terrorisme libéral ».
Par ailleurs, le chef de l’Etat entend mettre au pas un certain nombre d’éditorialistes : « Je le dis tout net, ces prédicateurs libéraux qui distillent leur haine de l’ouvrier, du salarié, ne sont plus les bienvenus en France ». Et François Hollande de promettre : « Ils n’imposeront pas leur charia libérale ! »
« Vas-y, viens ! Descends spéculer ici si tu l’oses ! »
La soirée du Flunch
« François Hollande n’a pas attendu la fin du dépouillement pour montrer son vrai visage. » Jean-François Copé n’a pas de mots assez durs pour dénoncer la « nuit du Flunch », du nom du restaurant de la ZAC de Tulle où le nouveau président a fêté sa victoire. « Quand on se prétend le président du rassemblement, on ne va pas se pavaner dans un restoroute de prolos avec toute sa clique ! »
Il faut bien avouer que la liste des invités était éloquente. « Des ouvriers automobiles, des agriculteurs, une caissière, des sidérurgistes et tenez-vous bien, même des travailleurs sans-papier ! Et pourquoi pas des femmes de ménage tant qu’on y est ? » Et l’UMP accuse le président socialiste de raviver la lutte des classes. « C’est un très mauvais message envoyé à la France des rentiers. » Une France inquiète pour son avenir. « Et je ne vous parle pas des marchés financiers. Ils redoutaient déjà la gauche caviar, alors la gauche Ricard… »
« Et là, je le chope par les couilles, et je lui fais : "Ton fric, bourgeois !" »
La suite de cette aventure extraordinaire est à lire en page 2 du numéro 55 du journal Fakir, notre nouveau numéro version papier en vente chez tous les kiosquiers sympas et sur la boutique en ligne
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