Sur les opinions concernant la nature de la guerre en Ukraine Collectif de communistes grecs

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Des camarades grecs ont demandé à MARIANNE de traduire leur texte ci-dessous et de l’envoyer aux camarades russes, ce qui a été fait. Mais dans la mesure où ce texte reflète nos propres questions concernant l’imbécile thèse des deux impérialismes alors que nous nous dirigeons vers la guerre comme des somnambules et que cette thèse in fine ne sert qu’à soumettre nos peuples à l’OTAN et à l’impérialisme belliciste qui veut cette guerre, les dirigeants grecs mais aussi les dirigeants français et s’avère criminelle, destructrice des forces organisées de la résistance, nous reprenons à notre compte ce texte et le publions pour Histoireetsociete. (Note de danielle Bleitrach pour histoireetsociete)

Le 17 avril, nous avons pris position concernant la guerre en Ukraine sur la base d’un article d’Elias Vagénas dans le Rizospastis de dimanche. Aujourd’hui, nous avons vu un article d’un certain Nikos Mottas dans les publications “Atechnos”, attaquant les partis communistes de la Fédération de Russie, les accusant d’une “perspective anti-léniniste et anti-dialectique”. Le texte, malgré les déclarations pompeuses ci-dessus, montre une profonde ignorance ou même une déformation du marxisme, du léninisme et du simple bon sens. Il regarde cette “perspective dialectique” à travers une longue-vue mais ne la voit pas. Le texte en soi ne devrait pas retenir notre attention, après tout, chacun peut avoir ses propres opinions, bonnes ou mauvaises. Mais dans la situation actuelle, alors que nous allons comme des moutons vers la guerre, peut-être une guerre mondiale, le mouvement communiste, qui est et doit être l’espoir de l’humanité, ne peut ignorer de telles positions qui touchent à des questions fondamentales et qui risquent, si elles prévalent, d’enterrer à la fois le parti et le mouvement en général. Et il n’y a malheureusement pas que les personnes susmentionnées qui avancent ces points de vue. Ces positions, comme nous le verrons plus loin, sont loin d’être fortuites et couvent au sein du mouvement et du parti depuis un certain temps. Mais aujourd’hui, avec la guerre, comme il était naturel, la dynamique change, les contradictions remontent à la surface et les masques tombent, que nous le voulions ou non. Même à propos de la première guerre mondiale, qui était purement intra-impérialiste, Lénine avait dit que “les têtes couronnées tomberont en tas sur la terre”. Les questions qui nécessitent une réponse immédiate et correcte sont donc les suivantes :

1. Qu’est-ce que l’impérialisme ?

2. Quelle est la nature des forces impliquées dans la guerre (pour l’instant) en Ukraine ?

3. Quelle est la principale opposition dans le monde aujourd’hui

4. Quelle devrait être la stratégie et la tactique d’un parti communiste aujourd’hui ?

5. Quelles sont les leçons du vingtième siècle et notamment de la grande guerre antifasciste ?

Lorsque nous disons “aujourd’hui”, ce n’est pas par hasard. Les communistes ont appris à parler concrètement, tangiblement. Pendant la guerre civile, un haut responsable de la Police nous a fait, sans s’en rendre compte, un compliment. Il nous a dit : “Je peux reconnaître les communistes au mot « concret » qu’ils mettent dans leur discours”. Examinons donc les questions une par une.

1. Il existe une énorme confusion sur ce qu’est l’impérialisme, même parmi les communistes. C’est évidemment dû au fait que depuis 1956, progressivement et de plus en plus vite, la formation intellectuelle a disparu au sein des partis communistes, plus ou moins rapidement selon les partis, et cela a bien sûr pris des proportions tragiques avec l’effondrement du camp socialiste. Rappelons-nous la définition scientifique. L’impérialisme, stade suprême du capitalisme selon Lénine, se caractérise par la fusion du capital bancaire avec le capital industriel, ce qui entraîne la création du capital financier, la création de monopoles, et dans ce processus, l’exportation de marchandises est progressivement remplacée par l’exportation de capitaux (1). On comprend que toute société capitaliste n’est pas automatiquement impérialiste, et encore moins toute société marchande (le féodalisme était une société marchande, la société esclavagiste aussi). Or une autre définition simpliste est très répandue : tout agresseur est un impérialiste – surtout si en plus il conquiert des territoires… Bien sûr, une telle acceptation n’a rien à voir avec le matérialisme historique ou avec Lénine, mais plutôt avec Karagiozis, le personnage du théâtre d’ombres (“La tête fait mal, on coupe la tête”). Sur la base d’une telle définition, nous sommes mathématiquement conduits à des conclusions erronées : doit-on qualifier d’impérialiste l’attaque de l’Union soviétique sur la Finlande en 1939, menée face à l’expansionnisme nazi ? ou encore sa proposition d’envoyer des troupes en 1938 pour protéger la Tchécoslovaquie de la partition – proposition rejetée par la Pologne ; tout cela ne tient pas debout. Ce qui est inquiétant, c’est qu’à l’époque déjà, la même rengaine était ressassée par certains communistes “purs”, comme nous le verrons plus loin.

2. La guerre en Ukraine n’est pas seulement une guerre locale. Il est fort possible qu’elle devienne plus générale, voire mondiale. Il est donc nécessaire de clarifier la nature des forces en jeu et leur dynamique, car une telle guerre a sa propre dynamique et, comme le disait Clausewitz, si on lit son livre au-delà d’une phrase sans cesse rabâchée : “entre les plans des états-majors et leur exécution (le résultat) il y a une friction (die Reibung) qui change complètement les faits” (2).

D’un côté nous avons non pas “l’Ukraine”, comme le crient tous les porte-voix des Américains, mais concrètement le régime issu du coup d’état de 2014, profondément imprégné des nazis successeurs directs et héritiers des collaborateurs et adeptes idéologiques des SS : un régime directement dirigé par les USA (puissance impérialiste par excellence) et par ses subordonnés impérialistes de second rang, anglais et français, c’est-à-dire “notre Europe” comme le disent les “démocrates” de tout poil. Notons une fois pour toutes que nous utilisons le terme “impérialiste” strictement dans sa définition scientifique, léniniste.

D’autre part, nous avons les populations qui se sont rebellées après le coup d’État, qui ont été massacrées par les nazis de Kiev et qui ont formé des démocraties populaires autonomes et plus tard indépendantes. Notons que ces régions ont toujours été les plus industrielles de l’URSS et que pour se défendre contre les nazis qui tentaient de les massacrer – et qui l’ont fait localement, voir Marioupol, Odessa, etc. – elles ont formé des milices populaires composées principalement d’ouvriers des mines et des usines.

Ces forces, alors que l’agression des forces reconstituées OTAN-Nazis était désormais un secret de polichinelle, ont demandé l’aide de la Russie, qui leur a été fournie (ici, ne faisons pas de confusion suspecte avec les diverses “révolutions de couleur” qui piègent parfois les travailleurs dans leur première phase) : imaginez un peu que les Russes leur aient dit, comme nos petits anges l’auraient voulu : “Non, nous ne vous aidons pas parce que nous ne voulons pas être traités d’impérialistes”. Alors ces forces, qui sont peut-être les seules milices véritablement ouvrières, engagées dans une véritable lutte de libération nationale, et plus encore dans une lutte pour la survie, nos « purs » communistes les traitent d’impérialistes et qualifient leur lutte d’impérialiste. Avec la même logique, la révolution grecque de 1821 devrait être qualifiée d’impérialiste, d’autant qu’elle a été aidée à la fin par les grandes puissances de l’époque.

Mais disons quelques mots sur la Russie : les rapports de production y sont aujourd’hui capitalistes, c’est vrai. Mais peut-on croire, à moins de ne rien avoir dans la tête, que le camp impérialiste planifie méthodiquement depuis quarante ans (oublions le travail de sape en URSS même, après 1956) l’encerclement et la disparition éventuelle de la Russie juste parce qu’ils se disputent des marchés ? Mais les querelles sur les marchés sont quotidiennes entre les véritables impérialistes sans pour autant se terminer par une guerre. Rappelons ici Marx qui écrivait dans sa “Critique de l’économie politique” que l’économie décide des rapports en dernière analyse (3). Il y a la superstructure, l’histoire des peuples, l’idéologie, etc. et ces éléments sont également sujets à conflit. Et sur ce point, les divergences sont frappantes : la situation culturelle de la société décadente jusqu’à l’os de l’Empire anglo-saxon et de “notre Europe” contraste fortement avec la société russe, ainsi qu’avec les sociétés du reste du monde – y compris avec la Grèce, sauf pour les admirateurs de “notre Europe”. Autre chose encore : dans le camp “occidental”, les sanctions contre la Russie incluent l’interdiction des œuvres de Dostoïevski, Tolstoï, Rachmaninov, etc. C’est une véritable hystérie de nature raciste. Une pensée surgit dans l’esprit de toute personne raisonnable : parmi les concepteurs de la stratégie du camp impérialiste, n’y en a-t-il pas qui, ayant une approche plus sérieuse de l’avenir, redoutent non pas tant la situation actuelle que surtout la dynamique des sociétés, surtout de celles dotées du fort héritage de la révolution socialiste ? Et qu’ils veulent s’en débarrasser une fois pour toutes ? Bien sûr, la même réaction, mais à l’inverse, vient de l’instinct de la classe ouvrière et surtout des communistes qui disent spontanément : “Je suis à cent pour cent contre les ukrainiens-nazis“. Qu’ils sortent de leurs bureaux et de leurs salons, nos « purs », pour apprendre ce qu’il y a dans le cœur des gens.

3. Les marxistes néophytes sont stupéfaits de découvrir la terrible vérité : les capitalistes oppriment et exploitent la classe ouvrière. Et au-delà de ça, ils ne peuvent rien voir d’autre. Rappelons Marx et sa 11ème thèse sur Feuerbach : “Jusqu’à présent, les philosophes ont interprété le monde. Mais la question est de le changer” (4). Et pour le changer, une vérité générale ne suffit pas. Il faut à chaque instant une analyse scientifique du rapport de forces, basée sur le matérialisme dialectique, une analyse qui déterminera la stratégie et la tactique du mouvement et, surtout, les alliances dont la classe ouvrière et son parti ont besoin pour atteindre le pouvoir. Malheur à nous si nous imaginons que, dès le départ, la classe ouvrière peut à elle seule prendre le pouvoir en luttant contre un système qui, depuis des siècles, a créé un réseau de pouvoir et d’oppression à l’intérieur de l’État de classe et au niveau international. Rappelons ici encore Marx et sa remarquable critique du ” programme de Gotha » du parti socialiste allemand, qui dit, dans son article 4 : ”La libération du travail doit être la tâche de la classe ouvrière, en face de laquelle toutes les autres classes ne sont qu’une masse réactionnaire“. Marx écrit ceci en confrontation avec la formulation du Manifeste communiste : “De ce point de vue, c’est une autre absurdité de faire des classes moyennes, avec la bourgeoisie et plus encore avec les classes féodales, “une seule masse réactionnaire” par rapport à la classe ouvrière. Lors des dernières élections, avons-nous fait appel aux artisans, aux petits industriels, etc. et aux paysans en leur disant :”Vous n’êtes, avec la bourgeoisie et les seigneurs féodaux, qu’une seule masse réactionnaire contre nous” ? (5).

Nous devons préciser ici que l’opposition entre le travail et le capital est la contradiction fondamentale et historique des sociétés de classe modernes. Mais à chaque moment historique, le rapport de forces au sein des oppositions multiformes de classes et d’alliances façonne la contradiction principale propre à chaque époque qui déterminera à la fois les possibilités et la portée des alliances nécessaires du mouvement ouvrier. Par exemple, avec la montée du fascisme et du nazisme dans le monde, la principale contradiction était avec le fascisme, et la Troisième Internationale a déterminé à juste titre la ligne des fronts antifascistes. Aujourd’hui, nous pensons que la principale contradiction est contre le monstre impérialiste qui a atteint un tel point de crise économique et culturelle qu’il n’a plus que la solution désespérée de tout jouer dans une guerre. N’oublions pas que la guerre en Ukraine relègue – à tort – au second plan ce qui se passe avec le dollar, cette “monnaie” gazeuse qui, depuis 1973, ne repose plus sur rien d’autre que son imposition, sous une forme digne des pires gangsters, aux nations et aux peuples.

4. Il nous semble évident qu’avec cette contradiction principale, le combat est, à ce stade, une lutte de libération nationale par rapport, en ce qui concerne notre pays, à l’impérialisme américain et à ses laquais de “notre Europe”. Cela veut dire qu’il faut constituer un large front de libération nationale. Et ne nous vantons pas que dans un tel front nous trouverons – nous parlons de la base, pas des “leaders » quels qu’ils soient – seulement des alliés “purs”. Lénine a déclaré à propos des alliances : “Quiconque s’attend à une révolution sociale “pure” ne vivra pas assez longtemps pour la voir. Il n’est qu’un révolutionnaire en paroles, qui ne comprend pas du tout ce qu’est une révolution. La révolution russe de 1905 était une révolution démocratique bourgeoise. Il s’agissait d’une série de batailles menées par toutes les classes, par tous les groupes et éléments mécontents de la population. Parmi eux, il y avait des masses aux préjugés les plus barbares, luttant pour les causes les plus ternes et les plus fantaisistes, il y avait des groupes acceptant l’argent japonais, il y avait des spéculateurs et des aventuriers, etc. Sans cette participation, la lutte de masse n’est pas possible, aucune révolution n’est possible. Et tout aussi inévitablement, ils apporteront au mouvement leurs faiblesses et leurs erreurs. Mais, objectivement, ils vont s’attaquer au capital” (6). De nombreux « savants » d’aujourd’hui le qualifieraient d’opportuniste. Mais sous sa direction, la révolution d’octobre a réussi et la grande URSS a été créée, le premier État de l’histoire à brandir la bannière de l’abolition de l’exploitation de l’homme par l’homme ; cette URSS qui plus tard, sous la direction du parti bolchevique et de Staline personnellement, a écrasé le monstre nazi et a ouvert de brillantes perspectives dans l’histoire du monde jusqu’à ce qu’elle soit trahie par toutes sortes de révisionnistes et de complices.

5. Les communistes ont pour outil le matérialisme historique. Que nous dit pour l’essentiel l’histoire du XXe siècle ? Au sortir de l’abattoir de la première guerre, il y avait deux lignes : les positions de Wilson sur l’autodétermination supposée des peuples (en substance, vous partez et nous viendrons) et les positions de Lénine. La social-démocratie a adopté les positions américaines et s’est accrochée au char américain dont elle ne s’est jamais éloignée à ce jour, tandis que les communistes se ralliaient à la Troisième Internationale. Après le cataclysme qu’a été la Révolution d’Octobre pour la bourgeoisie, après l’intervention des impérialistes contre l’URSS avec l’aide des “Blancs” de Koltchak et de Dénikine (ils avaient déjà leurs complices) et son échec, l’obsession des impérialistes à cette époque a été de chercher comment détruire l’URSS.

Du côté communiste, lors du 6e Congrès de l’Internationale en 1928, sur la recommandation de Boukharine, la politique de “classe contre classe” a été adoptée, ce qui a réduit les possibilités d’alliances du mouvement. Avec l’apparition de la montée du fascisme en Europe, notamment en Italie et en Allemagne, depuis 1922 mais aussi avec la crise économique de 29, nous avons un exemple bien connu de la complexité des interactions entre la superstructure et l’infrastructure : ce n’est pas la crise de 29 qui a donné naissance au fascisme, bien qu’elle l’ait alimenté, mais l’hystérie politique et la panique du grand capital contre l’existence de l’URSS. Lors du 7e Congrès de l’Internationale (1935), Dimitrov a fait une présentation historique dans laquelle, entre autres choses, il a dit que le fascisme était le remplacement d’une forme de gouvernement de la classe dominante par une autre, qu’il a caractérisée peu après de dictature terroriste brutale. (Par parenthèse, cela nous dit quelque chose sur ce qui se passe aujourd’hui lorsque les libertés les plus élémentaires et les principes démocratiques bourgeois les plus fondamentaux sont violés dans les pays “occidentaux” sous divers prétextes). Ainsi, le 7e Congrès a défini la politique des fronts antifascistes qui a finalement pu conduire à l’extermination du fascisme d’alors. Certains, bien sûr, même à l’époque, y étaient opposés. Il s’agit des partisans de Trotsky, qui ont décrit la seconde guerre mondiale comme intra-impérialiste. Cette position les a conduits inévitablement à la trahison et, après la guerre, a entraîné l’éclatement du mouvement syndical en Europe en 1946 et 1947, sous la direction et avec l’argent des services américains. Généralement, même aujourd’hui, les membres dirigeants de la réaction mondiale dans les pays dits occidentaux sont d’anciens ou d’actuels trotskystes organisés (Condolezza Rice, Paul Wolfowitz, Lionel Jospin, la liste est longue mais disponible).

Dans le cas qui nous occupe, c’est malheureusement une position plus générale que l’on peut voir en arrière-plan. Discrètement, la critique de la position du 7e Congrès de la Troisième Internationale sur les alliances antifascistes, ”qui coupent la lutte contre le fascisme de la lutte pour le renversement du capitalisme“, est promue. Cela nous rappelle quelque chose, quelque chose d’inquiétant… C’est ce que disaient les trotskystes à l’époque.

En bref, malgré les références totalement sélectives et détachées du contexte historique aux écrits de Lénine qui accompagnent des textes comme ceux de Vagénas et de Mottas, l’analyse est, au mieux, basée sur un marxisme non digéré. Le terme “d’impérialisme” est utilisé de manière irréfléchie et non scientifique : ce stade du capitalisme a une définition concrète et ne doit pas devenir un bonbon de propagande (voir ci-dessus).

Ne nous trompons pas. Ces textes visent à répondre aux protestations justifiées non seulement des communistes, mais aussi du peuple grec dans son ensemble, contre la politique des “distances égales” concernant la guerre en Ukraine. Si la critique de la Troisième Internationale était récemment passée relativement inaperçue, la guerre, comme toujours, ouvre les yeux. Quand on maintient une distance égale entre deux “méchants”, on se range, qu’on le veuille ou non, du côté du pire des deux. D’autant plus que dans un camp se trouve l’impérialisme flagrant des États-Unis et de ses alliés, qui a systématiquement massacré les peuples du monde, et dans l’autre les républiques populaires de Dombass – avec le soutien et l’aide de la Russie (aujourd’hui capitaliste).

Voilà les faits réels, et ils montrent sans aucun doute que la lutte du peuple du Dombass et de toute l’Ukraine, qui gémit sous le coup d’État des nazis, est une lutte de libération nationale et rien d’autre. Faisons donc attention, surtout en tant que communistes, au chemin que nous prenons, car comme le dit la chanson populaire, “il y a un sentier malin qui va tout droit sur une pente glissante”

Vive la lutte de libération nationale des peuples ! Vive les démocraties populaires de Dombass et de Novorossiya !

1.Lénine, 1916/17, Der Imperialismus, als höchstes Stadium des Kapitalismus (L’impérialisme comme stade suprême du capitalisme)

2.Carl von Clausewitz, 1832. Vom Kriege (De la guerre)

3.Marx, 1859. Zur Kritik der politischen Oekonomie (Critique de l’économie politique)

4.Marx, 1845. Thesen über Feuerbach (Thèses sur Feuerbach)

5.Marx, 1875. Kritik des Gothae Programms (Critique du programme de Gotha)

6.Lénine, 1916. Bilan d’une discussion sur le droit des nations de disposer d’elles-mêmes

Voir en ligne : sur le blog de danielle bleitrach, histoireetsociete.com

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