Danger de la division, acte II

, par  FABRICE SELINGANT

Le 21 mai 2017 à 19:38, par FABRICE SELINGANT En réponse à : Danger de la division, acte II

L’hégémonie n’est jamais une solution satisfaisante ; entre partenaires, le respect mutuel s’impose.
l’autoproclamation est une méthode qui peut réussir, surtout si les partenaires parviennent à être unitaires pour deux, mais comme de tout renoncement, on s’en lasse très vite.

Que les communistes parviennent vite à analyser ce qui s’est passé, et ce qui se passe encore, est primordial pour eux mais surtout pour l’ensemble des travailleurs de ce pays.

Comprendre qui à volontairement couvé l’oeuf du coucou, avec quel objectif inavoué, lorsque le coucou vire les poussins ses frères d’adoption en les virant du nid, n’était-ce pas prévisible dès l’adoption de cet ex-sénateur durant trente longues (très longues) années. Certains comme moi, on mené une campagne ardente pour son élection, avec l’analyse, que quand le vin est tiré il faut le boire, jusqu’à la lie et s’il se révèle qu’il a le goût du vinaigre c’est que la cuvée était sociale démocrate depuis le début... Pour un vin de qualité supérieure, il aurait fallu y mettre un prix plus sérieux à l’achat et le laisser vieillir, meilleur cépage ayant fait ses preuves, bon ensoleillement, avec vue bien éclairée pour tous , rien qui ne soit dans l’ombre, terre travaillée en se relevant les manches, moins de vert et plus de rouge. Bon arrêtons là les galléjades et autres gauloiseries provocatrices, soyons le plus sympathiques pour nos amis « in »soumis, ils mettront le temps qu’il convient pour se rendre compte de la nasse PG et de l’artificiel de leurs postures d’autogestion de leur « mouvement » de leur charte obligatoire..., ils saisiront certainement pour certains la phrase chantée de l’internationale qui dit :
" Il n’est pas de sauveurs suprêmes,
Ni Dieu, ni César, ni tribun,
Producteurs sauvons-nous nous-mêmes !
Décrétons le salut commun !
Pour que le voleur rende gorge,
Pour tirer l’esprit du cachot,
Soufflons nous-mêmes notre forge,
Battons le fer quand il est chaud !"

Laissons du temps en ayant une main bien caleuse offerte à ceux qui veulent travailler respectueusement avec nous, s’ils sont honnêtes, sincères et courageux, ils y viendront.
Fraternellement, aux communistes vrais et aux insoumis réels.
Fabrice

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