La loi immigration et le crétinisme parlementaire...

, par  bernard SARTON

Le 2 janvier 2024 à 17:18, par bernard SARTON En réponse à : La loi immigration et le crétinisme parlementaire...

La loi anti-immigration ne sert à rien car elle ne s’attaque pas aux passeurs maffieux qui font leur beurre sur les immigrés . Le FN-RN se frotte les mains sur le plan électoral avec cette équipe Macron qui lui fait la courte échelle vers le pouvoir où il ne fera que subir l’émigration comme sa copine italienne. De plus il est possible que de nombreux immigrés choisissent d’autres lieux que la France pour gagner leur vie ,vu les restrictions prévues à leur égard, et nous verrons le patronat se plaindre de manquer de main d’oeuvre sous payées comme il en a l’habitude . Donc une loi pour rien si ce n’est pour permettre à Marine Le Pen de s’approcher du pouvoir le plus rapidement possible. La gauche est KO debout à cause de son manque de crédibilité sur ce sujet, faut-il rappeler qu’on ne change pas le système politique de son pays en s’enfuyant à l’étranger comme le font beaucoup d’africains , surtout les jeunes. Il faut batailler dans son propre pays pour changer les choses comme le font de nombreux révolutionnaires de cette grand région du monde comme nous le voyons en Afrique du sud, en Ethiopie, au Mali-Burkina-faso etc ...La préférence nationale est une utopie de division des exploités chère à notre bourgeoisie colonisatrice des temps passés. A mon avis le brassage des populations, malgré le nationalisme idiot ambiant, est irréversible même s’il faut préserver l’idée de nation souveraine comme le plus petit village de chaque pays concerné.
La fracturation des pays de l’union européenne sur ce sujet est voulu par le capitalisme pour se maintenir au pouvoir économique en divisant les travailleurs et renforcer leur exploitation.
Loi ou pas loi le combat de classe est toujours d’actualité et Macron n’y peut rien car c’est la logique du mouvement historique en perpétuelle évolution. Le RN porté au pouvoir par la bourgeoisie ne fera pas mieux et se discréditera très vite vis à vis des masses populaires déçues par sa politique de défense du patronat et autres balivernes sociétales sur la famille, l’ordre ou le système éducatif. Les communistes auront donc une possibilité dite révolutionnaire de remplacer les fascistes malgré leur autoritarisme prévisible, ce que l’histoire corrige plus ou moins quand les peuples se rendent compte de leur erreur d’essayer ce courant de pensée qui date depuis l’empire romain avec ses dictateurs comme César, Auguste etc ...

Brèves Toutes les brèves

Annonces