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Bien sûr traquer et punir les coupables. Mais poser publiquement la question : comment se fait-il qu’ils aient pu (…)
Profitant de la période de pandémie, un décret gouvernemental du 23 avril 2020 est presque passé inaperçu. Pour les (…)
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Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20e anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34e congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires
Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.
Un peu plus d’un tiers des adhérents a participé à cette consultation, soit une participation en hausse par rapport aux précédents votes, dans un contexte de baisse des cotisants.
... lire la suite
Unir les communistes pour un PCF de combat, marxiste, populaire et rassembleur
Texte signé par 542 communistes de 64 départements présenté au 36e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3694 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 33 623 exprimés) .
Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.
Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37e congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).
L’ensemble des documents publiés pour ce 38e congrès sur ce site
lire la rubrique du congrès
et quelques articles clés complémentaires
– discours de clôture du congrès de Fabien Roussel, nouveau secrétaire national
– une analyse de classe du mouvement des gilets jaunes par Philippe Cordat
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– demandez le numéro 10 de la revue Unir les Communistes
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
– pour une autre société, le socialisme.
– le dernier congrès du PCF
– contribution de jeunes communistes au 39e congrès : Six chantiers pour affirmer l’ambition révolutionnaire du PCF
– un texte de Jean-Claude Delaunay le marxisme est la science sociale de notre temps
– un appel proposé aux partis communistes et ouvrier d’Europe
– les cinq chantiers pour contribuer au débat sur le projet communiste
Quelques réflexions, à chaud, pour lancer le débat...
Rien à dire ni contredire sur l’analyse rigoureuse, j’en partage la totalité, sauf, la conclusion. Ce débat est sérieux, parce qu’il dépasse, à mon avis, l’idée Parti : nous parlons d’une élection présidentielle, et même d’un système présidentiel, convoquée par notre peuple. Nous voulons le changer, pour une République parlementaire et une nouvelle Constitution. Alors, pourquoi y participer et s’y investir es-qualité ? Sachant que nous ne serons pas élu pour la changer ? Balayons l’argument d’autorité, qui n’a jamais convaincu personne, d’une décision de Congrès, puisque ce que fait un Congrès, un autre peut le défaire, sinon, à quoi serviraient-ils ? « Analyse concrète d’une situation concrète » C’est la fonction d’un Congrès, à un moment « T », j’ai participé à ceux qui fondent notre identité, la suppression du Concept de la Dictature du Prolétariat, la référence au Matérialisme historique, par exemple, etc. On construit en permanence...
Le fond est plus sérieux, je pense, il st même fondateur : Quelle est la fonction d’un Parti Communiste révolutionnaire, qui veut changer la société ? Nous disons, si je ne m’abuse : être utile à notre peuple. Être un parti outil par et pour notre peuple. J’ajoute, quel que soit notre score électoral, ferions-nous 20 %. Sinon, le M.P.A fait très bien l’affaire, dans sa fonction tribunicienne d’opposant systématique. Être utile jusqu’aux jours rêvés de la disparition de l’État et de la fonction parti, dont il est difficile d’imaginer les formes et les contenus... Être utile, consiste d’abord à ne pas être inutile et surtout pas frein ou obstacle. Accompagner notre peuple, se tromperait-il, un temps, pour mieux « l’éclairer », au sens du débat et de la confrontation d’idées, à partir de nos valeurs et nos convictions. Nous nous marginaliserons à se poser en obstacle à ses espérances fortes, quasi irrépressibles, si nous voulons bien ajuster nos analyses sur les enjeux cruciaux de notre époque et les aspirations à changer ce système exploiteur de 50 ans de Libéralisme échevelé, qui a fait la preuve éclatante de son échec, de l’aveu même de ceux qui sont obligés de convoquer l’état, contre le « Marché », incapable de « réguler » la crise actuelle. Cette aspiration populaire doit être « utilement » accompagnée par le Parti Communiste, pour créer les conditions d’une alternative et d’une alternance politique, dont le seul enjeu serait et sera : Une nouvelle Constitution, dont on aide à élaborer les grandes lignes, par un grand débat populaire, afin de la proposer à Référendum dés les lendemains de l’élection. Cette idée ne sera pas portée par quelque dirigeant de Partis que ce soit, ni Mélenchon, ni un autre, ni nous, lors de l’élection, tous y échouerons. Il faut une personnalité « neuve », hors dirigeant, en première ligne d’un Parti. C’est sur ces bases, que Macron a gagné. Du neuf et c’est possible, à partir du moment, où nous nous investissons pour y aider et construire ce programme indispensable afin de fédérer et unir. L’heure n’est pas au nombrilisme, mais aux rassemblements, montrons la voie et faisons tout pour y parvenir, c’est je crois, la seule façon d’être utile, aujourd’hui..
Je n’ai jamais été partisan du « solo funèbre », mais, aujourd’hui, toute attitude s’y apparentant, serait, à mon sens, non seulement une erreur politique, mais une faute lourde, face à l’histoire.