Débat à Béziers : ce qu’a fait l’extrême droite - résistance et riposte - vers les cantonales

, par  Paul Barbazange

Le 14 novembre 2014 à 11:09, par Paul Barbazange En réponse à : Débat à Béziers : ce qu’a fait l’extrême droite - résistance et riposte - vers les cantonales

Merci de tes réflexions pam tout d’abord sur la gestion ça a, en l’affaire une importance réelle. C’est bien dans le concret de la vie que les biterrois se prononcent, se prononceront.
Pour ce qui est du PS, ce n’est pas l’institution médiatique de gauche qui a porté Ménard aux nues. Ce sont 19 ans dans notre ville de gestion UMP, droite populaire, avec un député et un sénateur UMP qui vont déposer des fleurs sur la tombe de fusillés pour leurs crimes commis dans l’OAS, accompagnés de plusieurs centaines de personne, sans que le préfet saisi par nos soins ne réagisse. Ce même maire UMP avait supprimé 200. 000€ de subventions au budget 2014 du BAS, en arrivant Ménard en a supprimé 200.000 de plus au total près de 20% de la dotation initiale. Une population qui malgré nos efforts ne répond pas au niveau, pire, en dehors de nous un affaiblissement très rapide , y compris électoral des autres forces de gauche et même de « gôche ». Ménard continue, amplifie la politique de l’extrême droite UMP. Cré les conditions politiques et idéologiques de du rassemblement de son camp. De ce fait libère plus qu’ailleurs la parole et les idéologies d’extrême droite.
Mais une seule ville de France est elle aujourd’hui épargnée ?
Hier en Bureau fédéral du PCF j’ai été amené à rappeler à des camarades de Montpellier, ceux qui sont attentifs aux rassemblement qui soulignaient les convergences de fait entre les situations biterroises et montpellieraines (désastre économique sur la longue durée, rejet des partis, progression du FN, grandes difficultés à rendre crédibles toute perspective ou action alternative...) qu’en dépit des ressemblances nous n’avions pas la même situation.
Comment redonner aux milliers d’électeurs biterrois en déshérence un minimum de perspectives pour agir ? J’écris bien agir et non seulement voter au lieu de s’abstenir.
Les communistes ne peuvent fuir cette question posée par la vie de façon nouvelle.
Ils n’ont pas fini de débattre dans l’action et d’agir chaque fois pour la construction quotidienne du parti révolutionnaire. Comme partout , je l’espère ;

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