Cuba, c’est bien connu, est un enfer antidémocratique qui foule au pied les libertés de conscience, d’expression et écrase le pluralisme sous la botte du parti unique...
On peut d’ailleurs le constater en suivant le blog du monde sur l’amérique latine ou on trouve cet article titré Le congrès du Parti communiste de Cuba : un débat
Article qui conteste avec force
la pertinence du marxisme, aussi bien la matrice soviétique, que sa variante guévariste, volontariste, revenue à la mode. A son avis, l’incapacité démocratique, l’intolérance, sont consubstantiels aux révolutionnaires.
Pour l’auteur, l’actualisation du socialisme engagé par le dernier congrès du PCC est
une « perestroïka sans glasnost », c’est-à-dire une restructuration socio-économique sans transparence, sans libéralisation politique
L’auteur est Alexis Jardines, professeur de philosophie à... l’université de la Havane, auteur de nombreux ouvrages publiés aux éditions Ciencias Sociales, de ... La Havane, et participant récemment à un débat organisé par le forum Estado de Sats à ... à La Havane
A vrai dire, l’analyse de ce philosophe sur le dernier congrès ne surprendra personne, à Cuba en tout cas. C’est lui qui a écrit en 1991 un Réquiem al marxismo, publié bien sûr à ... la Havane. On peut d’ailleurs mesurer toute la pertinence de sa pensée quand on tente de comprendre la crise actuelle du capitalisme... Même les libéraux sont obligés de citer Marx pour ne pas paraitre trop stupide...
Quand on vous dit que c’est un pays sans liberté de parole... !
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