Présidentielles : s’en servir ou les laisser faire ?

, par  collet

Le 27 février 2011 à 12:30, par Noël Collet En réponse à : Présidentielles : s’en servir ou les laisser faire ?

Quelles que soient les bonnes volontés, s’il l"on n’en revient pas aux fondamentaux, les gens continueront à considérer comme normal que les capitalistes possèdent le capital, la propriété de leur outil de travail. Pendant les manifs pour la retraite, j’ai réalisé une enquête d’opinion : faut-il laisser aux capitalistes, la propriété des usines et des banques. réponse : non à 100%. Faut-il nationaliser : oui à 100%.
Sinon, on va continuer pendant des siècles à pleurnicher sur les méfaits du système. Il faut supprimer la cause, pour ne plus avoir les conséquences. A moins d’en avoir fait un fond de commerce !
Un grand mot d’ordre : rendons-nous propriétaire, chacun, chacune, de notre outil de travail ! visons le mot d’ordre de Marx : tous producteurs associés ! Les syndicalistes se plaignent du manque de motivation dans les entreprises pour s’investir dans les structures syndicales, les mutuelles, etc... si le travail politique, marxiste était réalisé, les mentalités changeraient. Le patronat a réussi à faire penser les communistes et la cgt comme il voulait : pcf, vous êtes des ringards, avec votre lutte des classes et autre. Cgt, vous êtes la courroie de transmission du Pcf. Voilà à quoi sert l’argent de mme Bettancourt, à financer les penseurs de la démobilisation. Même les shampoings et les poudres de perlimpinpin doivent être nationaliser. Que l’argent reste à ceux qui le produisent.
Il faut voir grand, et fort. Les demi-mesures, ce n’est pas mobilisateurs. Une taxe par ci, un prélèvement par là....

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