Il n’y a pas d’issue sans rupture, il n’y a pas de rupture sans parti !

, par  STALINE

Le 6 juin 2022 à 20:44, par STALINE En réponse à : Il n’y a pas d’issue sans rupture, il n’y a pas de rupture sans parti !

France Telecom a été privatisé il y a 30 ans par le PS (y compris Mélenchon donc) et la droite pour enrichir des oligarques milliardaires comme en Russie, Ukraine, UK, Italie, USA, etc. : en France c’est Niel, Drahi, Bouygues, Bolloré, pour qu’ils constituent des empires médiatiques qui servent ensuite, les partis politiques qui ont soutenu cette privatisation ; LR, PS, UDI, EELV, et maintenant RN et LFI issu du PS, car France télécom renommé en l’agrume Orange est obligé par l’ARCEP, l’ADLC, l’UE, la classe politique à l’exception du PCF qui prône la renationalisation complète du secteur avec Fabien Roussel, obligé donc à vendre à perte son réseau, ses services et sa R&D à ces mêmes milliardaire qui n’investissent pas dans les réseaux mais dans leurs empires médiatiques. Et d’ailleurs FT/Orange a interdiction d’investir dans les médias, seules 4 oligarques milliardaires privés en ont le droit et en même temps les 150 000 salariés de FT Orange travaillent pour eux.
C’est aussi ce qui arrive à EDF car Macron a décidé de l’obligé à vendre à perte 40% de son électricité nucléaire à ses pseudos concurrents.
Cette mécanique quasi mafieuse a été mise en œuvre dans les télécoms seulement en France. En Allemagne, USA, UK, Italie, Espagne, Pologne, Roumanie, etc…ce sont les grands opérateurs mondiaux qui ont investi dans le pays où ils ont décidé de concurrencer l’opérateur historique.
Ainsi DT (DEUTSCHE TELEKOM, le FT Allemand) a investi aux UK, en Pologne, dans l’Europe de L’est (son ancien empire), et les USA.
Telefonica a investi en Allemagne, en Europe et en Amérique du Sud (Brésil, Argentine).
Idem pour Vodafone, BT, TI, etc….

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