« Camarades de l’intérieur et de l’extérieur de faire un bilan honnête de discours et d’ actions antisociales qu’ils ont tolérées, ou encore soutenues de cette duplicité qui consiste à vider les mots, à les détourner, à fabriquer une inversion de leur sens, en regard de nos échecs communs afin que nous puissions avancer concrètement vers la construction d’un socialisme à laquelle la contribution du PCF ne doit être ni caricaturée, ni effacée ? »

Le bilan le pose la réalité.
Un champ de ruines.
Le PCF devrait redevenir communiste. Cela signifie renouer avec le marxisme-léninisme, le centralisme vraiment démocratique, les céllules d’entreprise, la priorité à la classe ouvrière, à l’internationalisme prolétarien à la dictature du prolétariat, bref, à tout ce que le PCF a laissé derrière lui ou n’a pas pratiqué.
Communiste ce n’est pas une appellation contrôlé ni une marque registrée.
C’est le parti de la révolution mondiale. Celui qui avait pour base tactique et idéologique les premiers congrès de l’Internationale Communiste, celui qui n’était pas patriotarde.
Très loin de la réalité du PCF et de son candidat.
Si les communistes (rarissimes aujourd’hui) veulent devenir communistes, qu’ils le prouvent.
Hic Rhoders, hic salta !
Le candidat du PCF aujourd’hui, est un social démocrate de droite.
Leur but, un but purement propre, conserver le parti, tactiquement erroné et politiquement sectaire, aidant la droite, l’extrême droite et macron car il reste de voix à la seule possibilité de gauche réelle, objective.
En plus avec un candidat qui se positionne de plus en plus à la droite de ceux qui ont tout fait pour le faire candidat du PCF.
Par ce chemin, les communistes hônnetes du PCF se leurrent car, les déviations de droite ne se combattent pas avec des déviations « de gauche ».
Il faut tout recommencer dès le début mais avec des bases solides, pas pour lever un drapeau ou garder un structure, pour garder encore, si possible quelques postes, mais pour bâtir un parti communiste qui ne soit ni l’allié secondaire de la social démocratie, ni le parti qui caresse dans le sens du poil les institutions repressives bourgeoises (la police) ni une structure sectaire à la LO qui ne s’occupe que des son propre parti, n’importe la situation politique générale, n’importe les besoins réels des masses et leur possible, j’ai dis possible étape en avant pour sa solution.