Qui était Pierre Sémard ? Un texte d’août 1944 de André Marty, ancien membre du Comité Central du PCF, ancien député de Paris

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Profitons de la publication du discours dans l’Hérault d’un camarade cheminot prononcé à l’occasion de la commémoration du 70ème anniversaire de l’assassinat de Pierre Sémard, pour aller plus loin avec ce texte historiquement daté de André Marty (août 1944) qui nous livre une biographie complète de ce militant communiste ô combien respectable, à l’heure où le patronat européen et ses sbires cherchent à diaboliser à l’extrême le mouvement communiste qui hante toujours l’Europe...

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Alger, le 22 août 1944.

Le 7 mars 1942, les Hitlériens ont fusillé Pierre Sémard, Secrétaire général de la Fédération des Cheminots, membre de la Commission Administrative de la Confédération Générale du Travail, membre du Comité Central du Parti Communiste Français.

Son nom rappelle plus de 30 années entières qu’il a consacrées à la défense des intérêts de la classe ouvrière et du Peuple français, plus de 30 années de lutte et de sacrifices.

Sémard était connu et aimé, non seulement dans son pays natal, le département de Saône-et-Loire, fief des puissants Schneider du Creusot et l’une des plus anciennes régions métallurgiques et prolétariennes françaises ; toute la classe ouvrière de France le connaissait et l’aimait.

L’organisateur des cheminots

Sémard était cheminot, fils de cheminots. Son père était un travailleur du rail, un cantonnier. Sa femme était garde-barrière. Sa femme est la fille d’un mécanicien, qui perdit les deux jambes dans un accident de chemin de fer.

Pierre Sémard commença sa vie de labeur à l’âge de 15 ans, comme cheminot.

Toute sa famille travaillait à la même gare, à Valence.

En 1906, alors qu’il n’avait que 19 ans, il aida puissamment à l’unification des syndicats de cheminots dans le département de la Drôme.

De là, date le début de sa lutte pour un mouvement syndical uni, puissant et combatif. Il fut un des syndicalistes qui, en 1915, parvinrent à unifier les différents syndicats de cheminots de Saône-et-Loire.

Dès 1916, il était à la tête du syndicat unifié des cheminots de Valence, c’est là en pleine guerre mondiale et après les conférences de Zimmerwald et de Kienthal qu’il adhéra au Parti Socialiste, au moment donc où il y avait des coups à recevoir et non des sinécures à prendre.

En 1917, il fut élu membre de la Commission exécutive de l’Union des Syndicats de Cheminots du P.-L.-M.

A partir de cette époque, grâce à la remarquable énergie de Pierre Sémard et d’hommes de sa trempe, les travailleurs des chemins de fer constituèrent la force la mieux organisée de la classe ouvrière française. En 1921, au 4ème Congrès de la Fédération des Cheminots, qui comptait déjà 120.000 membres, Sémard fut élu Secrétaire général.

Véritable leader ouvrier, Pierre Sémard professait les plus nobles principes. Il mena une lutte incessante contre les traîtres et les renégats de la direction fédérale et réussit à les battre.

Mais ces renégats ne voulurent pas se soumettre à la démocratie syndicale et firent la scission, cependant ils ne furent suivis que par une faible minorité, de sorte que Pierre Sémard resta Secrétaire général de la Fédération Unitaire des Cheminots qui groupait les trois-quarts des cheminots organisés.

En 1931, les travailleurs du rail réélurent Sémard à la direction de la Fédération Unitaire.

En 1936, après que l’unité du mouvement syndical français eut été reconstituée en pleine bataille contre le fascisme, Sémard fut élu Secrétaire de la Fédération unifiée des cheminots de France et d’Algérie et membre de la Commission Administrative de la C.G.T.

Tribun populaire, organisateur dévoué des travailleurs, militant ardent de l’unité ouvrière, fondement de l’unité du peuple entier ; tel était Pierre Sémard, patriote et révolutionnaire : les enseignements de Lénine et de Staline avaient forgé ce type magnifique de combattant intrépide et ferme.

Dès les premières journées de la Grande Révolution Socialiste Russe de 1917, Sémard se dressa pour la défendre. Durant toute sa vie il montra que la Russie nouvelle est la grande amie du Peuple français, sa plus loyale alliée, le bastion le plus solide et le plus sûr, sur la voie du progrès et de la liberté.

En 1919, à la fin de la première guerre mondiale, alors que la réaction française s’efforçait d’écraser les masses sous le lourd fardeau des charges de guerre, de leur restreindre leurs libertés et avant tout leurs libertés syndicales conquises au cours d’un siècle de luttes, les cheminots se levèrent pour défendre leurs droits, entraînant l’ensemble de la classe ouvrière dans les grèves générales de 1919-1920. Sémard fut, avec Lucien Midol, un des dirigeants les plus marquants de ce gigantesque mouvement qui devait réussir à sauvegarder les libertés populaires.

En 1922, Pierre Sémard connut le grand honneur d’un entretien personnel avec Lénine, signe de la valeur que ce dernier attribuait à son œuvre.

En janvier 1923, lors de l’occupation de la Ruhr par la réaction française, qui allait nourrir Hitler et ses bandes fascistes, Pierre Sémard figurait parmi les signataires du célèbre manifeste des leaders révolutionnaires du mouvement ouvrier français et allemand qui faisait appel à l’action commune contre les réactionnaires des deux pays.

Pour cet appel hautement patriotique, Sémard, avec Gabriel Péri et d’autres militants du mouvement syndical unitaire et du Parti Communiste, fut traduit devant la Haute-Cour.

Et ce sont les collaborateurs Pucheu et Laval, ceux qui ont jeté le peuple français sous le joug abject de Hitler, qui ont fait assassiner Sémard et Gabriel Péri et tant d’autres, parce qu’ils luttèrent pour l’alliance véritable des peuples français et allemand contre les Hitler et les Laval.

Cependant les masses populaires françaises firent alors échec aux manœuvres de la réaction, Sémard, Péri et les autres accusés furent acquittés. Dès qu’il eût quitté la prison, Sémard se jeta de nouveau dans l’ardente bataille qui devait décider du sort des travailleurs de France pour l’avenir immédiat.

Il s’agissait de savoir si la Confédération Générale du Travail Unitaire, qui rassemblait les syndicats les plus importants et les plus actifs allait rompre complètement avec les anarcho-syndicalistes pour prendre le chemin de la véritable défense des intérêts des masses laborieuses, inséparables de ceux de l’ensemble du Peuple français.

La lutte, suscitée par la réaction au sein de la C.G.T.U., devenait chaque jour plus aiguë. Au Congrès de Bourges, en septembre 1923, la motion Sémard obtint l’écrasante majorité des voix : elle demandait que la C.G.T.U. engage un combat infatigable pour la défense des travailleurs.

Tels sont les services inappréciables qu’à cette époque Pierre Sémard avait rendus à la classe ouvrière et au Peuple français. Ce n’était là pourtant qu’une toute petite partie de ce qu’il devait accomplir au cours des quinze années qui suivirent.

Le dirigeant communiste et l’armée française

En janvier 1924, Pierre Sémard fut élu membre du Comité Central du Parti Communiste Français, au mois de juin de la même année, il en devint le Secrétaire général. Commentant cette décision du Bureau Politique du P.C.F., l’Humanité écrivait :

"Pierre Sémard est le type consommé de l’ouvrier communiste. Il a consacré toute sa vie à la lutte active et pleine d’abnégation pour la cause des travailleurs. La désignation de Sémard à la tête du Parti Communiste est le symbole de la volonté du Parti de collaborer loyalement et sans réserve avec les organisations syndicales."

A ce moment là, le P.C.F. se trouvait encore en voie de formation. En utilisant la violence et la ruse, les ennemis des travailleurs et du peuple français en général essayaient sans cesse d’influencer le Parti, à la fois de l’intérieur et de l’extérieur et de le faire dévier de la bonne route.

Il fallait expliquer et défendre infatigablement la ligne communiste, convaincre et organiser, montrer la juste voie, sans négliger une minute le travail quotidien du Parti.

Il fallait chasser du Parti les déviations petites bourgeoises. Sémard sut trouver la ligne juste lorsque en janvier 1925, au Congrès de Clichy, il fut décidé dans l’enthousiasme la réorganisation du Parti sur la base des cellules d’entreprise.

Une solide base prolétarienne allait transformer le P.C.F. qui allait devenir ainsi une des forces essentielles de l’Unité Nationale et allait pouvoir - sans défaillance - tenir tête victorieusement à la scientifique et féroce Gestapo.

Précisément en 1925, les ploutocrates français déclenchaient la guerre du Rif en vue d’augmenter leurs profits.

En sa qualité de dirigeant du Parti Communiste Français, Pierre Sémard appela le Peuple français à fraterniser avec les Marocains ; car il voyait dans cette solidarité une des garanties de la liberté et de la sécurité françaises.

Dans les années qui suivirent, Sémard eut également à faire face à une tâche difficile, celle qui consistait à mener une lutte sans merci contre les provocateurs trotskistes qui essayaient de prendre pied au sein du mouvement ouvrier français pour se transformer ensuite en agents avoués des hitlériens.

Il fallait écraser la trahison, combattre les hésitations et le manque de clarté.

Il suffira de rappeler les noms des coquins contre qui Sémard eut alors à lutter pour saisir l’importance et l’ampleur de l’œuvre qu’il mena à bien. C’était Frossard, aujourd’hui valet de la réaction vichyssoise qui se considère lui-même comme le père de "l’idée fasciste de la Révolution Nationale" ; c’était ce bandit de Souvarine, trotskiste et hitlérien conséquent ; c’était le "métallurgiste" Roy et l’infâme Dumoulin, aujourd’hui agents directs de Abetz, l’ambassadeur d’Allemagne à Paris.

En 1927, l’ennemi lui-même prouva combien il redoutait l’activité de Sémard en le jetant de nouveau en prison.

C’est ainsi qu’au feu des dures batailles qui ont rempli une période de plus de 10 ans, furent éduqués les cadres éprouvés du Parti Communiste et des Syndicats qui, en 1934-1936, allaient lancer et organiser le formidable mouvement en faveur de l’unité des travailleurs, puis de l’unité de la Nation Française tout entière contre le fascisme.

Il faut toujours avoir présent à la mémoire le fait que la constitution du front unique prolétarien et du front populaire ne fut possible dans notre pays que parce qu’y fut édifié, au prix de la lutte la plus acharnée et des plus grands sacrifices, un Parti ouvrier d’un type nouveau, le Parti qui suivit avec fermeté la voie de Lénine et de Staline et qui devint la base de la victoire du peuple français dans son combat contre le fascisme intérieur.

Ainsi Pierre Sémard fut un des militants dont l’activité contribua le plus à la croissance et à la consolidation du Parti Communiste Français.

En juillet 1936, peu après la victoire du Front Populaire, les fascistes allemands et italiens déclenchaient la guerre contre l’Espagne républicaine avec l’aide de Franco et de la Phalange.

Pierre Sémard ne se donna pas seulement avec ardeur à l’agitation pour l’Espagne républicaine, en soulignant que chaque Français devait aider le peuple espagnol - garantie de la sécurité de la France - mais de même que Jean Catelas, député d’Amiens guillotiné au mois de septembre 1941, sur condamnation d’un tribunal pétainesque, il fut parmi ceux qui s’efforçaient d’apporter la plus grande assistance pratique possible à ce peuple.

Nuit et jour, Sémard et les travailleurs français du rail étaient en état d’alerte ; grâce à leur vigilance l’Espagne républicaine reçut toutes les armes qu’il était possible de leur faire passer, étant donné le sabotage des gouvernants français d’alors.

En septembre 1938, l’infâme accord de Munich est signé ; aussitôt les valets d’Abetz, les Dumoulin et les Belin, tentèrent de l’utiliser comme moyen de rompre l’unité syndicale, démolissant ainsi les fondations du Front Populaire et livrant le peuple français à la merci de Hitler ; mais l’écrasante majorité de la Fédération des Cheminots, dirigée par Sémard, condamna au contraire la politique munichoise et déclara qu’elle ne signifiait nullement la paix, mais la guerre, guerre dont la première victime, après la Tchécoslovaquie, serait la France.

C’est en premier lieu à l’indéfectible fermeté de ces militants, formés à l’école du Parti Communiste et des syndicats durant les dures années de bataille contre tous les ennemis du peuple de l’intérieur et de l’extérieur, que la France est redevable de l’actuelle grande unité nationale populaire, contre les oppresseurs hitlériens, cette unité qui leur porte des coups nombreux et décisifs et a rendu possible la grande insurrection nationale libératrice.

C’est à ses fils de la trempe de Pierre Sémard que la France doit tout.

Telle fut la vie magnifique et fière de Pierre Sémard. Sa mort ne devait pas être moins héroïque.

"Je meurs certain de la victoire"

Le 2 septembre 1939, le jour même où la guerre éclata, Pierre Sémard était mobilisé.

Afin de l’empêcher de continuer à remplir ses fonctions de Secrétaire général de la Fédération des Cheminots, De Monzie, ministre des Travaux publics aujourd’hui hitlérien le relégua comme employé à la gare perdue de Loches, dans le département d’Indre-et-Loire.

Cependant, même dans ce coin isolé, Sémard ne cessa pas son activité.

Avec l’allant qui l’animait, il continua la lutte pour les intérêts des cheminots, de tous les travailleurs, du peuple français. Voilà pourquoi il fut arrêté une fois de plus au cours du mois d’octobre 1939, par ordre de De Monzie.

Cet aventurier dont la vénalité est devenue proverbiale en France, accusa Sémard de "détournement de fonds syndicaux" parce que ce dernier s’était refusé à livrer à ses émissaires, les un million et demi de francs en possession de la trésorerie générale de la Fédération des Cheminots.

Le 6 avril 1940, Sémard était jugé par le même Tribunal militaire de Paris qui venait de condamner les députés communistes. Le tribunal ne put exécuter les ordres de De Monzie et il fut contraint d’abandonner la vile accusation de "détournement de fonds syndicaux" portée contre Sémard. Malgré tout le dit tribunal le condamna à trois années de prison pour son appartenance au Parti Communiste.

Sémard fut enfermé à la Prison de Bourges.

C’est là que le trouvèrent le désastre et la capitulation de la France. Les capitulards et les traîtres avaient livré la France et son armée, ils livrèrent aussi à l’ennemi un des meilleurs fils de France, Pierre Sémard.

Les agents de la Gestapo exultaient. Ils utilisèrent tous les moyens à leur disposition pour essayer d’ébranler l’inébranlable Sémard. Ils lui firent savoir que sa femme avait été condamnée à 10 ans de travaux forcés ; il ne vacilla pas.

Alors ils eurent recours à la torture. Le coquin de Pucheu accourut à l’aide des bourreaux de la Gestapo. Une lutte terrible commença derrière les murailles épaisses de la prison de Bourges.

Les ennemis savaient quel était le prestige de Sémard parmi les cheminots, combien chacune de ses paroles avait de poids pour eux et pour l’ensemble de la classe ouvrière française. Ils essayèrent de lui arracher une renonciation à ses opinions et de faire de ce grand Français un instrument de leur odieuse oppression. Quand ils se rendirent compte qu’ils n’y parviendraient jamais, ils exécutèrent Pierre Sémard.

Quelques minutes avant d’être fusillé, Pierre Sémard écrivit la lettre ci-après, adressée au Comité Central du Parti Communiste.

Chers amis,

Une occasion inespérée me permet de vous transmettre mon dernier mot, puisque dans quelques instants je serai fusillé.

J’attends la mort avec calme. Je démontrerai à mes bourreaux que les communistes savent mourir en patriotes et en révolutionnaires.

Ma dernière pensée est avec vous, camarades de lutte, avec tous les membres de notre Grand Parti, avec tous les Français patriotes, avec les héroïques combattants de l’Armée Rouge et son chef, le grand Staline. Je meurs avec la certitude de la libération de la France.

Dites à mes amis, les cheminots, que ma dernière volonté est qu’ils ne fassent rien qui puisse aider les nazistes.

Les cheminots me comprendront ; ils m’entendront ; ils agiront ; j’en suis convaincu.

Adieu, chers amis, l’heure de mourir approche. Mais je sais que les nazistes, qui vont me fusiller, sont déjà vaincus et que la France saura poursuivre le grand combat.

Vivent l’Union Soviétique et ses Alliés ! Vive la France.

Pierre Sémard.

Sous le coup qui atteignait notre Parti par l’irréparable perte de Pierre Sémard, l’auteur de ces lignes écrivait en mars 1942, quelques jours après le crime :

"Tous les Français qui veulent savoir ce qu’il faut faire pour délivrer la France de l’horrible cauchemar du temps présent, tous nos amis lointains qui veulent savoir si la France tient tête, n’ont qu’à lire et à retenir le dernier message de Pierre Sémard.

Tous les Français comprendront clairement ce qu’il faut faire, tous les amis de la Nation française verront comment ils peuvent l’aider.

Les hideux gangsters hitlériens torturent, fusillent et égorgent des milliers d’hommes, comme Pierre Sémard, Jean Catelas et Gabriel Péri, mais la cruauté de l’ennemi est le signe de sa faiblesse croissante. Déjà on peut entendre les premières rafales de la formidable tempête qui porte dans ses flancs la destruction du fascisme."

Seize mois ont suffi pour que la tempête irrésistible de l’Insurrection Nationale libère Paris et la France de la souillure du fascisme allemand et français.

Dans cette bataille unique dans l’Histoire, les cheminots, appliquant les ultimes directives de leur grand dirigeant, tiennent la tête !

Et les communistes et jeunes communistes formés par le grand Parti dont Pierre Sémard fut un des fondateurs éminents, ont compris ses leçons, inspirées des prestigieux enseignements de Lénine et de Staline.

Union ouvrière,

Union populaire,

Union nationale.

Pour l’action féconde, sans recul, d’où doit sortir par l’effort de tous la France nouvelle, libre, démocratique et indépendante.

André Marty, le 22 août 1944

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