Nous devons et pouvons être candidats de rupture avec l’insupportable, c’est notre utilité.

, par  Paul Carlé

Le 13 janvier 2017 à 15:37, par Paul Carlé En réponse à : Nous devons et pouvons être candidats de rupture avec l’insupportable, c’est notre utilité.

Bonjour,
une remarque sur ces quatre phrases :
« » Portons haut notre réussite : nous avons résisté à Martigues, en 2007 nous avons empéché qu’ils changent le nom de notre parti, qu’ils le liquident.
On gène profondément la direction. « On l’emmerde ». Ils veulent vider la coquille PCF puis s’en débarrasser, mais on existe : c’est le sens du nom de notre regroupement « Unir les communistes ». « »
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Ce que nous constatons autour de nous ( sud Ardèche ), c’est que les camarades, par exemple, qui vendent l’Huma-dimanche sur le marché sont au pcf parce qu’il y a le mot ‘communiste’.

À partir du moment où ce mot sera supprimé, ils n’y resteront pas.

Et ce n’est certainement pas un cas isolé en France. À Alès, lors des manifs contre la loi travail, nous avons rencontré des membres du pcf qui sont encore adhérents parce qu’il y a, encore, le mot communiste dans le nom du parti ( je suis communiste donc je suis membre du pcf, disent-ils ).

Alors, pourquoi ne pas laisser supprimer le mot communiste du nom du pcf pour regrouper, enfin, les communistes ( authentiques ) dans un nouveau parti communiste, mais vraiment communiste ?

Paul Carlé

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