La fédération du Rhône du PCF a voulu à tout prix empêcher la présence de la presse à cette réunion sous peine d’être disqualifiée. C’est pour cela qu’elle n’a rien décidé pour appliquer la ligne décidée en avril 2011 par Pierre Laurent.
Conclusion : il n’y aura pas de conclusion publique puisque la direction fédérale a décidé de bafouer la souveraineté des communistes.
Elle continue de défendre coûte-que-coûte la candidature de Jean-Luc Mélenchon, l’ex-dirigeant socialiste, avec des arguments mensongers.
Nous avons assisté une nouvelle fois aux non-respects les plus élémentaires de la démocratie.
Les 16, 17 et 18 juin, les adhérents du parti communiste auront le dernier mot.
Les communistes décideront en leur âme et conscience du choix du candidat. Jean-Luc Mélenchon, dirigeant socialiste, ne sera peut-être pas le candidat des communistes aux élections présidentielles de 2012.
André GERIN