Les contributions de la conférence départementale du Var

, par  Jean-Pierre Meyer , popularité : 2%

Motion proposée par les communistes varois

Évaluation de nos choix de congrès et poursuite de leur mise en œuvre.

Adoptée à l’unanimité de la Conférence départementale du 5 juin 2010

Notre conférence départementale se tient dans un contexte de crise majeure pour les peuples, induit par la plus grave crise que le système capitaliste ait connue depuis 1929 avec une dépression d’une profondeur jamais vécue depuis la dernière guerre.

Force est de constater en même temps que le capitalisme utilise sa propre crise pour renforcer sa domination, et particulièrement dans la sphère européenne et en France pour ce qui nous concerne, où il fait donner toutes les armes dont il s’est doté, en particulier dans les dernières décennies pour accentuer sa recherche de profits à tout prix. en l’absence d’un mouvement révolutionnaire fort

Nous sommes donc au beau milieu d’une période où les problèmes s’aiguisent, où les questions qui sont en jeu mettent de plus en plus en relief deux conceptions diamétralement opposée de la société et de son évolution, où donc le combat de classes est plus que jamais à l’ordre du jour.
Cette situation porte des exigences révolutionnaires nouvelles et des responsabilités tout à fait originales et inédites pour le Parti Communiste Français et donc aux communistes.

La nouvelle étape de la mondialisation du capitalisme continue de se caractériser par une extension géographique du système, par une mise en concurrence des travailleurs des différents pays, toujours plus que jamais, par une compétition entre puissances capitalistes et multinationales pour le contrôle des richesses naturelles et des marchés, avec un rôle nouveau dédié par le capital aux États et particulièrement aux États de la zone Euro.
Ces États (ou ce qu’il en reste face à la prédominance de la commission européenne) sont à la fois acteurs et victimes. Leur intervention massive pour soutenir les banques et la finance (380 mds euros en France ) sans que cela aide en quoi que ce soit au redémarrage de l’économie réelle et d’une relance saine, leurs choix politiques qui poussent à réduire sans cesse les prélèvements sociaux et fiscaux sur la richesse créée au profit des prélèvement financiers, leur pression inouïe sur l’emploi privé et public et sur les dépenses publiques, conduisent à l’accroissement des déséquilibres budgétaires publics et sociaux et aux recours de plus en plus massif des États à l’emprunt afin de parer au plus urgent et donc à la mainmise de plus en plus prégnante de la financiarisation.

Et dans cette logique de gestion, les États engagent de véritables cures d’austérité, qui vont dégrader encore plus les services publics, les salaires, les prestations sociales, l’emploi et donc à jeter les individus et les institutions dans toujours plus de précarité.

Il apparaît donc de plus en plus clairement pour ceux qui en doutaient ou en doutent encore, que ce qui pousse l’ensemble des peuples et des pays dans le marasme économique et social, et crée au plan intérieur comme au niveau extérieur une situation qui peut devenir du jour au lendemain explosive, sont les choix du capitalisme, de l’argent pour l’argent, du tout pour le capital et son taux de profit. .

Il est impératif de sortir de ce cercle vicieux et de prendre le chemin vertueux des dépenses utiles socialement et efficaces économiquement.
En même temps, le capitalisme, avec sa recherche effrénée de profit, n’est-il pas la source, directement et indirectement, de la destruction de nos ressources naturelles, obérant ainsi de façon durable l’avenir de l’Homme et du Vivant ?

Le besoin d’alternative devient aujourd’hui une urgence. Mais celle-ci a besoin de pouvoir prendre appui sur un mouvement social qui parvienne par ses objectifs et sa détermination à s’enraciner et à se développer au plus profond des entreprises et des quartiers. C’est une condition pour que la période ne débouche pas sur les pires situations.

C’est dans ce contexte que se situe en France la bataille sur la retraite et sur leur financement et que se mènent dans différents pays d’Europe, en premier lieu en Grèce, de nombreuses luttes sociales. La question de la retraite et de la protection sociale dans son ensemble est à proprement parler un enjeu de société et de civilisation. Elle impacte naturellement la sphère sociale (mieux vivre des gens) mais aussi le type de société et le mode de développement de cette dernière. Car le système de solidarité qui sous-tend toute l’architecture de la protection sociale est justement une socialisation de l’argent nécessaire à la protection de la santé, de la famille et de la vieillesse ce qui signifie que c’est autant d’argent qui échappe au circuit du capitalisme financier.

C’est dans ces caractéristiques de la situation présente qu’il nous faut tirer analyses et bilans de notre stratégie.

Tout d’abord, nous réaffirmons la validité des décisions du 34ème congrès sur la nécessité de garder un parti communiste français ancré sur ses positions de classe et sur notre démarche de rassemblement faisant front sur tous les fronts.

Oui, plus que jamais, face à un capitalisme dévastateur, les peuples ont besoin de Partis Communistes susceptibles de lutter avec eux, pour un changement radical de société, pour l’abolition du capitalisme, pour l’instauration du socialisme démocratique. Face à la mondialisation capitaliste, l’internationalisme communiste se doit d’être puissamment développé.
Plus que jamais, en France, nous avons besoin d’un Parti Communiste Français offensif, clairement anticapitaliste, internationaliste, rassembleur, unitaire, ne négligeant rien sur sa nécessaire existence et son nécessaire développement. Cette exigence souligne combien il est urgent de se ressaisir, en mettant un terme aux stratégies (mutation, collectifs antilibéraux, front de gauche de sommet, transformation … ), qui depuis le Congrès de Martigues (30ème Congrès), nous conduisent à un effacement progressif du PCF, ne pouvant qu’aboutir à sa disparition.

Cet aspect est essentiel pour l’analyse et pour tracer les perspectives nouvelles de notre démarche de rassemblement faisant front sur tous les fronts ( 34ème congrès) et donc du front de gauche.
Le Front de gauche a marqué le paysage politique depuis les élections Européennes, mais il a aussi montré ses limites. Ainsi l’offre politique nationale pour les régionales, base forte et validée par les communistes varois, si elle a permis de contrecarrer le carcan des alliances permanentes avec le PS et la recomposition politique avec le MODEM, ne s’est pas trouvée dans sa construction en phase avec ce que nous avions décidé au 34eme congrès.

Beaucoup de potentialités de changer les choses n’ont donc pas été travaillées et n’ont pas pu donner du souffle et des résultats tangibles à ce qui aurait du être un front de lutte offensif. L’évaluation de la stratégie de front de gauche, telle qu’elle a été ressentie et concrétisée par les électeurs et surtout par tous ceux qui ne sont pas aller voter, dans les quartiers populaires comme dans les entreprises du département, a le mérite d’être très claire. Le Front de Gauche de sommet, tel qu’il a été imposé dans les faits par la Direction nationale pour les régionales en PACA et dans le Var, s’est avéré en définitive contreproductif par rapport aux besoins exprimés par les gens. Que cela ait été ressenti douloureusement dans l’esprit et dans le cœur de nombre de militants communistes qui se sont investis dans la campagne du Front de gauche est un autre volet de cette leçon.

Et maintenant ?

Il apparaît donc important, tant pour la direction départementale qu’au niveau de chaque section, de consacrer un moment de réflexion pour reprendre les objectifs et axes de travail issus de notre 34eme congrès.
Il ne suffit pas de dire que nous voulons l’élargir, que nous ne voulons pas rester dans un tête à tête entre partis politiques (PCF/PG/GU), que nous voulons en faire un front populaire et non un cartel d’organisations, que nous voulons en faire un outil de luttes et non une machine électorale pour y parvenir et surtout pour choisir la bonne voie pour y arriver ?
Nous devons faire le choix sans ambiguïté du rassemblement de lutte le plus large sur des contenus de transformations sociales et de société, pour avancer et agir face à des enjeux sociaux fondamentaux, comme l’emploi, les retraites,…dans un cadre préservant à chaque parti son identité, son autonomie, son existence propre dans toutes les phases et les étapes politiques. Ces Fronts ont vocation à rassembler dans l’action, très largement, avec les partis politiques, toux ceux qui dans le mouvement social, le mouvement associatif et les citoyens, veulent avancer sur ces enjeux et contribuer ainsi à changer les choses dans notre société.

Nous rejetons toute initiative visant à transformer la démarche de lutte en une organisation et qui plus est avec la possibilité d’y adhérer directement Cette perspective qui est largement ouverte par le PG et Mélenchon, mais aussi par des responsables du parti, engagerait une recomposition de la gauche dans laquelle la fusion ou la dilution du parti communiste serait programmée.
Ce serait le meilleur cadeau que recevraient la bourgeoisie et le grand patronat, car qui peut on penser une seconde que des transformations radicales de société pourraient voir le jour sans un parti communiste novateur et ambitieux comme l’exige les enjeux et les défis de ce 21ème siècle.

Caractériser mieux l’état du capitalisme actuel contribue de façon indiscutable à pouvoir situer le niveau de la réponse à apporter et donc à préciser la bataille sur les contenus politiques alternatifs, sur l’outil politique et sur la stratégie à développer.

Prendre le temps d’une telle réflexion n’est pas du temps perdu mais de l’efficacité de gagner pour créer les conditions d’un vrai changement de cap.
Garder l’acquis du Front de gauche dans la conscience collective et le transformer pour répondre aux exigences de rassemblements dans l’action sur des contenus transformateurs.

Il nous faut construire des fronts de luttes ou les partenaires ne sont pas désignés à priori, les contenus déterminant les contours du rassemblement.

Une chose apparaît de plus en plus claire.
Cette démarche est très exigeante et appelle énormément de réactivité en rapport de la situation. Elle ne pourra être efficace sans l’activité autonome, indépendante, de haut niveau d’un outil politique conséquent et cet outil est le Parti communiste français, élément incontournable et décisif.

Cela exige un parti communiste vivant, un parti communiste à l’initiative, un parti communiste qui tire vers le haut l’ensemble de notre peuple et de notre société et qui par le projet et les contenus qu’il sera capable de porter, créera les conditions du plus large rassemblement pour gagner et engager un dépassement effectif de ce capitalisme extraverti et dévastateur. Bref un parti communiste et des communistes qui retrouvent leur fierté révolutionnaire.
Identité et repère sont des mots forts, chargés de sens pour qui veut bien les entendre sans œillères et parti pris.

Les jeunes ne sont-ils pas ceux-là mêmes pour qui un projet de société résolument communiste, peut parler, réhabilitant les nécessaires socialisations des moyens de production et des principales banques par les nationalisations, la gestion démocratique des services publics, reprenant les principes forts tels qu’a pu les concevoir le Conseil National de la Résistance dans son contexte de lutte et d’émancipation des peuples, comme les acquis de mai 68. Un projet de justice sociale, fraternité, solidarité, ici et partout dans le monde.
C’est avec eux, avec une pratique de renforcement renforcée, qu’un PCF porteur de cela, qui retrouve ainsi son identité révolutionnaire, prendra toute sa place dans une société moderne comme la notre.

Aussi, le PCF doit-il être présent, es qualité, dans la construction des fronts de luttes indispensables face à la crise et aux attaques sans précédent que subit notre peuple.

Ainsi, le PCF doit-il être présent, es qualité, dans toutes les élections à scrutin uninominal à venir, cantonales, législatives et présidentielle, mettant la disposition du peuple des candidatures porteuses d’un projet de transformation de la société et d’une alternative progressiste anticapitaliste.

Contribution de la Fédération du PCF Var sur le texte 2 : Pistes de travail pour un Parti Communiste transformé.

Malgré des conditions de préparation inacceptables, délais trop courts pour mener une réflexion de fond, dispositions statutaires non respectées, les communistes varois se sont tout de même réunis au sein de 14 sections du département sur 21.

Le PCF a déjà subi plusieurs transformations dans son passé, notamment au 30ème Congrès de Martigues, au cours duquel les statuts ont été changés (mutation). Aucun bilan réel n’a été tiré de ces expérimentations, cela doit être fait.

Plutôt que de se « transformer » le PCF doit évoluer en permanence. Plus que de « transformation » il a besoin de redevenir lui-même, pour ses adhérents d’aujourd’hui et ceux qui l’ont quitté et qui doivent y revenir, pour ses électeurs, ceux d’aujourd’hui et ceux d’hier, qui ne le reconnaissent plus et doivent le retrouver, afin de gagner ceux de demain et en particulier les jeunes.

Nous traversons la plus grave crise que le système capitaliste ait connue depuis 1929 avec une dépression d’une profondeur jamais vécue depuis la deuxième guerre mondiale. L’oppression capitaliste s’aiguise encore davantage. Le combat de classe également entre les forces du Capital et les victimes de la crise.

Cette situation que nous devons analyser avec lucidité renforce l’exigence révolutionnaire de cette période, et les responsabilités qui incombent aux communistes.

Oui plus que jamais, face à un capitalisme dévastateur pour les hommes et la planète, les peuples ont besoin de lutter, de se rassembler. Les peuples ont besoin de partis communistes (comme le KKE en Grèce) qui luttent avec eux, pour un changement radical de société. Face à la mondialisation capitaliste, l’internationalisme communiste se doit d’être puissamment développé. Nous avons donc besoin d’un Parti Communiste Français offensif, clairement anticapitaliste, internationaliste, rassembleur, unitaire.

Un Parti Communiste qui mène une bataille idéologique de haut niveau, avec responsabilité en s’appuyant sur ses bases marxistes et qui occupe une place significative essentielle dans le débat d’idées bien au-delà de son influence électorale qu’il ne faut pas négliger. Un parti qui éclaire sur les enjeux et les responsabilités politiques des partis de Droite, mais aussi des Partis Socialistes, sociaux démocrates soutenant ou accompagnant le système capitaliste et le rôle des institutions politiques (Communauté européenne, Fonds Monétaire International, Banque Centrale Européenne).

Des milliers de femmes et d’hommes aspirent à des changements profonds et veulent construire une autre société respectant l’Homme et la planète. Ils militent dans le milieu associatif, syndical, ils manifestent, mais ne s’engagent pas davantage alors que leurs objectifs sont les mêmes que les nôtres. Ils doutent parfois de l’efficacité de l’action politique et de la crédibilité de l’action du PCF. Nous devons donc redonner du sens à leur colère en répondant aux désirs qu’elle cache en matière de justice sociale, d’emploi, de salaire, de solidarité, d’éducation, de santé,…autant de conditions essentielles à la reconquête de l’électorat populaire. Revaloriser l’action politique, montrer que l’engagement politique permet d’aller au-delà de l’engagement associatif ou syndical. C’est le cas notamment de ceux qui ont participé à la dernière campagne des régionales. Nous devons les convaincre que leur place est au PCF pour mener la lutte face à la domination des marchés. Le renforcement du parti est indispensable et en particulier pour les jeunes et pour les femmes. Le Parti Communiste doit s’adresser aux jeunes générations y compris à travers des actions de formations et une organisation tournée vers la jeunesse.
Nous devons montrer que le Parti et ses élus communistes sont utiles au peuple. Ces derniers sont à l’initiative et un point d’appui aux luttes. Dans l’exercice de leur mandat, ils contribuent à la définition et à la réalisation d’objectifs de transformation sociale.

Dans l’entreprise, lieu où se forge l’exploitation, lieu de conquête sociale, de droits nouveaux, le combat de classe est féroce. De nombreux camarades adhérents ou sympathisants ont renoncé à agir politiquement, d’autant plus, que nationalement, le Parti a délaissé depuis plusieurs années, l’action à l’entreprise. Ainsi se structure un comportement d’effacement devant le management libéral des politiques de ressources humaines des entreprises publiques ou privées où l’Homme est considéré de la part du Capital comme une vulgaire variable d’ajustement comptable pour répondre au seul critère du profit. Le rapport Capital/travail ne fait plus l’objet d’explications, d’analyses, d’actions pour faire avancer les perspectives révolutionnaires. Il faut des communistes présents, militants, rayonnant sur leurs lieux de travail : nous avons un effort énorme à faire, car nous avons perdu beaucoup de bases militantes. La reconquête passe par un développement des secteurs Entreprises au niveau national, départemental et local apportant les moyens nécessaires. Reconquérir la présence du parti dans les entreprises. , doit redevenir la priorité.

En ce qui concerne les luttes, le PCF doit développer sa propre politique autonome et indépendante vis-à-vis des syndicats et des autres forces politiques. Si nous pouvons nous satisfaire du choix d’une campagne autonome sur les retraites et voulons la pousser jusqu’à un niveau suffisant - ce qui n’est pas le cas à présent - il faut impérativement des initiatives de haut niveau du PCF. Il est anormal que nous soyons à la remorque de ATTAC/Copernic avec leur pétition.

L’opportunité nous est donnée à l’occasion de la préparation du Congrès de réfléchir au fonctionnement de la démocratie dans le parti :

1) Il faut privilégier la vie des structures de proximité du parti : cellule, section. Le texte nous propose un management centralisé venu d’en haut alors que nous avons besoin de démocratie. Il faut faire vivre en interne nos ambitions d’émancipation des gens, de transparence et de fonctionnement démocratique réel. Il faut mettre un terme au centralisme actuel qui conduit une poignée de dirigeants à décider de tout, pour tous, quand ce n’est pas contre le plus grand nombre. Comment accepter en notre sein ce que nous refusons et combattons dans la société ? Nos statuts doivent être revus en profondeur pour donner effectivement les pleins pouvoirs à celles et à ceux, qui par leur adhésion, par le règlement de leur cotisation, par leur engagement militant font et sont le Parti Communiste Français.

2) Dans cet esprit il faut revaloriser le rôle des militants. Nous souhaitons que soit acté le principe d’une assemblée annuelle nationale des secrétaires de section qui pourrait devenir statutaire. De même la place doit être faite aux délégués des sections à l’occasion des Congrès statutaires, sans le filtre des Fédérations.

3) Nous souhaitons que soit réaffirmée la règle de vie selon laquelle les décisions majoritaires, issues d’un vote démocratique organisé dans la transparence, doivent être appliquées.

De nombreuses sections réclament des stages de formation et des moyens pour élever le niveau de réflexion dans cette période d’affrontement idéologique intense (la question des retraites en est un exemple). Notre Fédération a commencé à prendre ce besoin en compte. Il faut maintenant développer des stages au plus près des demandes des sections notamment pour les jeunes et les salariés. L’apport de documents nationaux est indispensable.

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  • (2002) Lenin (requiem), texte de B. Brecht, musique de H. Eisler

    Un film
    Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20ème anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...

  • (2009) Déclaration de Malakoff

    Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34ème congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires

  • (2011) Communistes de cœur, de raison et de combat !

    La déclaration complète

    Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.

    Un peu plus d’un tiers des adhérents a participé à cette consultation, soit une participation en hausse par rapport aux précédents votes, dans un contexte de baisse des cotisants.
    ... lire la suite

  • (2016) 37eme congrès du PCF

    Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.

    Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37eme congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).