Publié le : 12 juin 2018
Quelques réflexions après lecture des documents préparatoires au congrès.
On a coutume de dire depuis que Nicolas Boileau (fin du XVII ème siècle) a mêlé son grain de sel au bon usage des mots : « ce qui se conçoit bien s’énonce clairement. » Ou encore
« Fuyez de ces auteurs l’abondance stérile Et ne vous chargez point d’un détail inutile Tout ce que l’on dit de trop est fade et rebutant L’esprit rassasié le rejette à l’instant… »
Alors que nous vivons une crise à la fois écologique et anthropomorphique (...)
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