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À quelle rupture appelle la crise actuelle du capitalisme ?

Publié le : 29 septembre 2020

À l’heure où le capitalisme connaît la plus grave crise de son histoire, la question d’une rupture radicale se pose de plus en plus urgemment. Dans ce contexte s’enchaînent des mouvements sociaux qui, comme l’abstention à sa manière, marquent un désespoir et une volonté de ne plus continuer avec le système tel qu’il est. Il est alors de plus en plus évident que pour être au diapason de la population, le PCF du XXIème siècle doit porter haut et fort une proposition de rupture radicale.
La gestion de la (...)

L’aubaine des uns, la rancœur des autres

Publié le : 29 septembre 2020

La tempête économique est déjà là. Mais le plus gros du tsunami social est annoncé pour l’automne. Au deuxième trimestre, le PIB de la zone euro a reculé de plus de 12%, et même de 13,8% en France, où 715.000 emplois ont été détruits. N’en déplaise aux amoureux de la décroissance, on ne confine pas un pays – ce qui était probablement nécessaire – sans conséquences sur l’activité, la richesse produite, l’emploi.
Certes, le virus a déclenché un effet boule de neige. Mais de nombreuses entreprises, essentiellement (...)

Surprise : depuis 2013, le CICE a créé seulement 100.000 emplois… qui ont chacun coûté 900.000 euros au contribuable

Publié le : 29 septembre 2020

En 2012, quelques mois après l’arrivée au pouvoir du "socialiste" François Hollande, un technocrate de renom nommé Louis Gallois, ex-PDG de la SNCF et d’Airbus de son état, publie un rapport qui "brise les tabous" et appelle à augmenter la "compétitivité" des entreprises françaises en baissant le "coût du travail". Ses préconisations, saluées par le MEDEF, sont aussitôt exaucées par le gouvernement l’année suivante, et le Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) est mis en œuvre. Chaque (...)

La fraude patronale au chômage partiel pendant la crise sanitaire s’élève au moins à 6 milliards d’euros, voilà l’information

Publié le : 29 septembre 2020

Fin avril, Myriam* apprend qu’elle est en fait en chômage partiel depuis la mi-mars. Son employeur, le dirigeant d’un cabinet de conseil installé dans un bel immeuble parisien, les avait déclaré, elle et ses collègues, dans ce dispositif exceptionnel (dont l’appellation légale est "activité partielle") qui permet aux entreprises de faire prendre en charge les salaires par les contribuables lorsque les circonstances provoquent la fermeture de l’établissement ou la diminution de l’activité. Ce n’est (...)