« l’idéologie à pris le dessus sur la réflexion »
N’est-ce pas le cas de la part du gouvernement qui, aux ordres de l’OTAN etc., ne valide que certains vaccins (via contrats secrets) mais surtout pas les chinois, les russes, le cubain... ? Le même gouvernement qui a interdit des possibilités de soigner pour pas cher ?
« ce terrain-là n’est pas celui des factieux. »
Sauf que je me souviens de « la France d’en bas », dont l’évocation cynique a permis au FN de prendre les voix historiquement communistes de bien des secteurs ouvriers en capilotade. Tonton l’avait bien jouée, cette carte-là.
Sauf que la gauche dans ses multiples variantes, après la déception Passablement Socialiste et la chute de l’URSS, a laissé le pays s’ultralibéraliser à la remorque du capital US ou allemand via OTAN, FMI, UE contre lesquels « les factieux » n’ont pas manqué de s’exprimer, hypocritement mais efficacement.
Sauf que les bonnets rouges puis les gilets jaunes ont bel et bien combattu une taxation spoliatrice concomitante à un appauvrissement intolérable, dans la ligne d’une main-mise de la finance sur l’économie... et sur le peuple.
Sauf que la crise Covid instrumentalisée, occasion d’un verrouillage cynique de la vie sociale et de la démocratie, voit le(s) gouvernement(s), au moyen de la peur et du chantage à la protection des Réa et des personnes plus fragiles, réserver un marché extrêmement rémunérateur à des labos y compris notoirement meurtriers. La montée en puissance de la propagande pro-« vaccin », assortie d’une obligation rampante, que Macron avait pourtant repoussée absolument, rappelle les revirements autoritaristes depuis le début de la pandémie et les contraintes peu justifiées médicalement.
L’inégalité sociale dans le taux d’injection reflète certes le privilège au riche (qui gangrène de nouveau la santé publique), mais il correspond aussi au besoin de la France d’en haut à profiter des voyages, des terrasses, des spectacles et clubs de sport pour les gamins, toutes choses inaccessibles avec un demi-smic. Si je veux aller comme avant à la plage aux Seychelles ou en rave party, je me débrouille pour me vacciner et tant pis pour les caillots et les petites fièvres. S’il je n’ai ni deux euros pour un café en ville, ni le téléphone qui afficherait mon QR code, ni un médecin à tarif conventionné... ça devient moins pertinent de me faire piquer avec un produit controversé si lourdement soutenu par les menteurs patentés habituels.