Bonjour à tous,

Je suis toujours signataire des textes de F.V.R lors des congrès pour en permettre l’expression (adhérent du P.C.F du 94), cette fois-ci je me reconnais très peu dans la mouture de "compromis" produite, je trouve que c’est un très mauvais texte pour exprimer nos idées. Du compromis il y en a très peu, il y a surtout en matière d’affirmation économique, notamment, beaucoup de thèses reprises de nos amis de l’A.N.R et c’est à peine si sur le sujet européen ils nous concèdent que "certains camarades s’interrogent sur la véritable nature de l’Union Européenne et le rôle négatif qu’elle jouerait dans nos vies". Je m’attendais à mieux en matière de pugnacité de la part de nos camarades F.V.R au C.N. Par contre la discussion initié par P.A.M et le texte du P.R.C.F ( une fois ôté le "ton" et le "style" l’Humanité Rouge" : "A bas les Social-bonzes fascistes.." je plaisante), m’intéresse. Je ne sais plus lequel des deux textes parle des effets droitiers des thèses de Sève et de Martelli sur"le communisme déjà " d’un sujet à libérer, mais je suis totalement d’accord avec cette analyse.

Et si on se décidait vraiment à parler du sujet qui fâche : la période Marchais. Pour moi c’est la véritable question. Continuer à désigner du doigt le corbillard "Hue" qui disparaît dans la brume, entre apercevoir par temps clair l’ambulance "Buffet" qui tourne ,elle aussi, en rond autour du giratoire. Ou s’intéresser au type qui est sortie de la voiture balai et qui crie dans le mégaphone" il faut continuer d’avancer, il faut continuer d’avancer !!!!" Tout cela a pour moi, aujourd’hui, un caractère anecdotique. Jusqu’à Georges
nous avons encore un langage commun, jusqu’à Georges nous représentons quelque chose dans la société française, après vient le début des "fins du communisme, sans souffle du tout !".

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