Le « Manifeste », le bilan, le 22e congrès - commentairesLe «<small class="fine d-inline"> </small>Manifeste<small class="fine d-inline"> </small>», le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-11T08:34:18Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33702018-11-11T08:34:18Z<p>@Y<br class="autobr">
Evidemment, d'accord avec votre intervention, en particulier : <i>«<small class="fine d-inline"> </small>il faut éliminer de la pensée de Marx toute trace de ce vocabulaire fataliste ou messianique…<small class="fine d-inline"> </small>»</i> C'est vrai, qu'à chaque ligne, on le sent occupé à veiller à ce qu'aucune de ses tendances, fatalisme ou messianisme, qu'il soupçonne de se planquer derrière chaque détail, n'émerge, même, et surtout, par surprise. Marx ne cultive qu'une plante : l'objectivité<small class="fine d-inline"> </small>! C'est là que siège l'essentiel de la puissance de son raisonnement.<br class="autobr">
Quand à Lénine dont on sait, depuis le dernier examen de sa momie, qu'il est mort des conséquences lointaines de l'attentat de la s.r. Fanny Kaplan (obstruction progressive de l'artère carotide), je ne croît pas qu'il a sombré dans le «<small class="fine d-inline"> </small>pessimisme<small class="fine d-inline"> </small>». Tout simplement parce qu'il sait, dit, et écrit que son gouvernement est une expérience, comme La Commune, qui peut échouer. Mais que d'autres prolétariats, il cite la Chine et l'Inde, où le potentiel de force de travail est bien plus important que dans l'<span class="caps">URSS</span>, reprendront le flambeau à partir des leçons, positives et négatives, laissées par la Révolution d'octobre.<br class="autobr">
Au passage je rends à Staline, et aux post-staliniens, ce qui leur appartient, le mérite d'avoir fait publier, par le menu, et diffuser, les écrits de Lénine où on peut trouver quelques pépites comme dans le tome 27 où il explique, moins de six mois après octobre, sa vision du socialisme, du «<small class="fine d-inline"> </small>capitalisme d'état<small class="fine d-inline"> </small>» sur laquelle il reviendra, après la guerre civile, qui s'annonce, pour lancer la <span class="caps">NEP</span>. <i>(Les tâches immédiates du pouvoir des soviets<small class="fine d-inline"> </small>; Sur l'infantilisme «<small class="fine d-inline"> </small>de gauche<small class="fine d-inline"> </small>» et les idées petites-bourgeoises)</i><br class="autobr"> Reste qu'il nous manque le collationnement des écrits de Lénine sur la <span class="caps">NEP</span>, qu'il n'a pas eu le temps de réaliser lui-même, qui serait décisif pour extraire Lénine de la gangue sectaire du «<small class="fine d-inline"> </small>marxisme-léninisme<small class="fine d-inline"> </small>». Et que, pour ce travail, on ne peut guère compter sur les trotskistes, englués qu'ils sont par les positions, hors <span class="caps">NEP</span>, adoptées par Trotski dans son combat anti-Staline. Alors qu'il avait été, jusqu'en 24, le meilleur soutien de Lénine sur cette politique....</p>Le «<small class="fine d-inline"> </small>Manifeste<small class="fine d-inline"> </small>», le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-10T22:40:46Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33692018-11-10T22:40:46Z<p>Pour comprendre l'échec de cette expérience et rouvrir l'avenir, il faut effectivement revenir à Marx, par-delà le «<small class="fine d-inline"> </small>marxisme-léninisme<small class="fine d-inline"> </small>», et à sa conception matérialiste, déterministe- évolutionniste de l'histoire. 2 Celle-ci est résumée dans la Préface de 1859 à la «<small class="fine d-inline"> </small>Critique de l'économie politique<small class="fine d-inline"> </small>» (mais on la trouve dans bien d'autres textes) et elle a été dévalorisée à tort par le courant althussérien. Elle nous présente l'idée d'une succession de modes de production dans l'histoire, qui obéit à des lois. Dans son prolongement, l'idée d'un nouveau mode de production à venir, mettant fin aux antagonismes de classes est envisagée (le communisme), mais sur la base de trois conditions (que d'autres textes précisent). Ici, c'est d'abord celle d'un fort développement des forces productives matérielles, ce qui signifie que le passage au communisme (via le socialisme) présuppose le capitalisme développé, la société industrielle donc. Ailleurs (voir le «<small class="fine d-inline"> </small>Manifeste<small class="fine d-inline"> </small>»), une condition sociale impérative est indiquée : la constitution d'une «<small class="fine d-inline"> </small>immense majorité<small class="fine d-inline"> </small>» de travailleurs salariés, liés directement ou indirectement à l'industrie (ce qui suppose que l'on comprenne bien le terme de «<small class="fine d-inline"> </small>prolétariat<small class="fine d-inline"> </small>»). Enfin, il y a la démocratie politique, issue de cette majorité, «<small class="fine d-inline"> </small>l'émancipation des travailleurs ne pouvant être que l'œuvre des travailleurs eux-mêmes<small class="fine d-inline"> </small>». 3 Ces conditions n'existaient pas dans la Russie de 1917 et leur absence est la cause principale de l'échec qui a suivi, même si d'autres causes ont joué comme l'encerclement capitaliste. Certes, Marx à la fin de sa vie a envisagé qu'une révolution puisse se déclencher dans ce pays sous-développé, mais il a ajouté (ce qu'on oublie toujours) qu'elle ne pourrait réussir qu'avec l'appui d'une révolution en Occident lui apportant ses «<small class="fine d-inline"> </small>acquêts<small class="fine d-inline"> </small>» (= ses acquis)… qui n'a pas eu lieu<small class="fine d-inline"> </small>! Lénine en eut conscience et c'est pour cela qu'il opéra le tournant de la <span class="caps">NEP</span>. Mais il est mort trop tôt et très pessimiste quant au futur. 4 A partir de là on peut et doit (et sans oublier certains aspects positifs sur le plan économique et social) considérer le stalinisme (celui de Staline) comme l'exact opposé de ce que voulait Marx sous le nom de communisme, en particulier s'agissant de la liberté, du poids de L'Etat et du respect des hommes. Et l'on constatera qu'aucune révolution à visée communiste dans un pays sous-développé n'a réussi durablement : je le regrette mais je le comprends à partir de Marx<small class="fine d-inline"> </small>! 5 A l'inverse, on peut affirmer (quitte à me retrouver seul en le disant) que la social-démocratie était bien un chemin d'«<small class="fine d-inline"> </small>évolution révolutionnaire<small class="fine d-inline"> </small>» (Jaurès) vers le communisme, mais qu'elle s'est arrêtée en chemin, puis s'est convertie au social-libéralisme après la chute du mur de Berlin. 6 Nous sommes aujourd'hui, avec en plus la crise mondiale du capitalisme, dans les conditions que Marx avait globalement prévues (voir Badiou) et les conditions économiques, sociales et politiques (la démocratie formelle) existent (même si les conditions subjectives font défaut), qui rendent possible, par hypothèse, le passage au communisme dans son vrai sens, au moins en Occident. Mais ce ne sont que des «<small class="fine d-inline"> </small>présupposés objectifs<small class="fine d-inline"> </small>» (voir Sève) qui rendent ce passage possible mais non nécessaire ou inéluctable : il faut éliminer de la pensée de Marx toute trace de ce vocabulaire fataliste ou messianique… qui encombre parfois sa pensée<small class="fine d-inline"> </small>! 6 Par contre, il faut remettre au premier plan l'instance de la morale (et pas seulement celle de l'intérêt,) que Marx a dévalorisée théoriquement alors que son texte est aussi une critique morale du capitalisme (toute critique suppose des valeurs, ici morales)<small class="fine d-inline"> </small>! Il est vrai, comme me l'a rappelé depuis Vergely, la morale ne suffit pas et elle peut même être inopérante sans l'appel à l'intérêt matériel (que Marx ne méprisait pas) et aux luttes concrètes. Mais seule elle peut nous faire saisir ce que le capitalisme a de scandaleux sur le plan humain (et non seulement d'improductif ou d'inefficace aujourd'hui) et elle fait apparaître le communisme aussi comme une exigence morale. Dans une époque où le sens moral paraît se défaire un peu partout, il faut remotiver les hommes en politique sur cette base normative.</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-10T21:02:39Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33682018-11-10T21:02:39Z<p>Vérolé par l'idéologie dominante<small class="fine d-inline"> </small>; je me suis trompé, tu n'es pas un flic, ils n'avancent pas des arguments aussi débiles et infondés. Ils cherchent toujours à être crédibles.<br class="autobr">
As-tu regardé les archives de Moscou révélées depuis 1990<small class="fine d-inline"> </small>? Renseigne toi, écris, par exemple à Annie Lacroix-Riz, tu verras que ton rêve de Staline grand méchant loup est juste un cauchemar.<br class="autobr">
Il y a peut-être un problème psy<small class="fine d-inline"> </small>; que t'a fait Staline dans une vie antérieure<small class="fine d-inline"> </small>?</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-10T18:06:00Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33672018-11-10T18:06:00Z<p>@Dariokhos<br class="autobr">
Je travaille gratuitement pour la <span class="caps">CIA</span>... et j'ai découvert qu'entre 37 et 38,790 000 citoyens soviétiques étaient passé de vie à trépas par fusillade. (catalogue de l'association Mémorial). Pendant que trois million de voleurs de poules, souvent tirés au sort, travaillaient gratuitement, sans toujours être volontaires, dans les chantiers du dépassement des plans quinquennaux...</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-10T14:10:37Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33652018-11-10T14:10:37Z<p>Décidément, CNmachin, je suis en total désaccord avec toi.<br class="autobr">
Le vol de la force de travail, mais tu te fous du monde<small class="fine d-inline"> </small>?<br class="autobr">
Les condamnés étaient des contre révolutionnaires, pas des travailleurs.<br class="autobr">
Staline avait cent fois raison dans la citation que tu fais. La dictature du prolétariat 'relis, si tu l'as jamais lu, «<small class="fine d-inline"> </small>L'Etat et le Révolution<small class="fine d-inline"> </small>», c'est la contrainte d'un Etat maintenu par la majorité prolétaire contre la minorité bourgeoise et ses sbires.<br class="autobr">
Contrairement à toi, Staline était un authentique militant marxiste et léniniste, marxiste-léniniste.<br class="autobr">
Jusqu'à présent tu te contentais de défendre Trotsky tout en faisant semblant de le combattre et surtout Deng, l'ultra droitier, l'héritier de Bernstein et Kautsky.<br class="autobr">
Mais là tu remets en cause le concept même du marxisme-léninisme.<br class="autobr">
Je me demandais : <span class="caps">ES</span>-<span class="caps">TU</span> <span class="caps">UN</span> <span class="caps">FLIC</span><small class="fine d-inline"> </small>??????</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-09T12:59:14Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33632018-11-09T12:59:14Z<p>@remond Gilbert<br class="autobr"> "la lutte de classe se radicalisme sous le socialisme "<br class="autobr">
D'après Kroutchev, c'est avec cette formule que Staline justifiait tous les procès, et les fusillades, de 80% des participants au congrès des "vainqueurs" de 1934. Et aussi des millions de travailleurs forcés, parce qu'on ne pouvait pas les payer, des innombrables "goulags" du "socialisme dans un seul pays"comme celui-là :<br class="autobr">
<i>«<small class="fine d-inline"> </small>A Moscou au <span class="caps">CC</span> aux c. Kaganovitch et Molotov <br class="autobr"> Le manque de main-d'oeuvre, les départs en masse vers les travaux des champs peuvent mettre en péril le travail de construction de Magnitogorsk.<br class="autobr">
ll faut disperser les condamnés dans les v1llages et les secteurs de l'énorme chantier de Magnitogorsk et cela ne sautera pas aux yeux. Je demande [...] à ce que l'on autorise l'utilisation de 15-20 000 condamnés sur le chantier de Magnitogorsk. 0rdjonikidzé est d'accord. <br class="autobr">
Sotchi 14 juillet 1932, Staline.</i></p>
<p>Le marxisme-léninisme, c'est aussi cela : le vol de la force de travail. Ni Marx, ni Lénine n'ont préconisé cela, mais réunis dans le marxisme-léninisme çà devient possible<small class="fine d-inline"> </small>!.....</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-09T11:18:25Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33622018-11-09T11:18:25Z<p>cn 46400 s'agit-il d' un numéro de prisonnier victime du goulag de l'affreux Staline<small class="fine d-inline"> </small>? Tout le monde le sait sa dictature est égale a celle du conte Dracula, et bien sur n'a rien a voir avec le pouvoir exercé par le prolétariat<small class="fine d-inline"> </small>! Tant pis si ce n'était pas l'avis des nazis dont les armées ont tué 27 millions de soviétiques ni celui des impérialismes ligués, qui de partout se sont acharnés sur les frontières du socialisme en un seul pays<small class="fine d-inline"> </small>? Tant pis si de toute évidences les révolutions hongroise, polonaise, allemandes, italienne , autrichiennes ont été écrasée dans le sang<small class="fine d-inline"> </small>! Tant pis si Staline, n'était ni le premier secrétaire du parti bolchévique a cette époque , ni le responsable de l'armée rouge<small class="fine d-inline"> </small>! sans doute les soviets auraient du rester sous domination bourgeoise, s'en remettre a Kerensky et ses maréchaux putschistes en leur abandonnant le pouvoir, puisque d'un seul pays<small class="fine d-inline"> </small>! Non sérieusement sur tous les points que j'ai abordé dans mon texte, il n'y a que le marxisme léninisme qui doit être retoqué pour cause de dogmatisme stalinien<small class="fine d-inline"> </small>? On voit de quels côtés penchent vos préoccupations<small class="fine d-inline"> </small>! Curieusement l'un des enjeux de fond du texte vous échappe complètement , celui qui concerne l'élection de la direction du parti et de son secrétaire . Il s'agit justement de s'opposer a toute dérive présidentialistes c'est a dire a l'ouverture de la voie qui conduit a la personnalisation du pouvoir politique, ce qui en d'autres temps et d'autres situations conduisait au culte de la personnalité voir a la déification du grand dirigeant désigné ( par exemple le roi de France était le représentant de Dieu dans la nation, idem pour le Tsar). Et puis il y a cette petite finasserie assez hypocrite par quoi vous invoquez Marx puis Lénine comme deux entités séparées, deux stars en sommes du mouvement ouvriers, deux phares de la littérature politique qui n'auraient aucun lien entre eux et avec lesquels vous entretenez une relation affective :«<small class="fine d-inline"> </small>j'aime le marxisme, j'aime le léninisme<small class="fine d-inline"> </small>», relation de faire valoir a un autre sentiment vous permettant de mieux dire «<small class="fine d-inline"> </small>je hais le stalinisme<small class="fine d-inline"> </small>»<small class="fine d-inline"> </small>! Nous ne sommes pas sous les sun ligths pour briller dans des salons mondains en phase avec la pensée dominante, nous voulons être des militants révolutionnaires pragmatiques éclairés par une théorie qui leur dévoile les enjeux de classe a l'œuvre tout en leur donnant les outils efficaces nécessaires pour fabriquer l'avenir. Se réclamer de Marx et de Lénine c'est ne vous en déplaise être marxiste-léniniste dans notre tradition communiste. L'un a défini et analysé ce qu'était le mode de production capitaliste, dessiné une perspective pour en sortir, l'autre s'appuyant sur le premier a construit l'organisation pour le permettre et produits les stratégies de classes qu'elles se devait de mettre en œuvre pour réussir, tout en laissant a chaque fois une ouverture a la dynamique engagée, un espace a la critique de la phase écoulée. ( la lutte de classe se radicalisme sous le socialisme d'où la nécessité d'une vigilance active et démocratique des classes populaire appelée par l'un puis par l'autre dictature du prolétariat) Enfin sur la question de l'expérience soviétique, de son bilan , nos pensons qu' il reste a faire et c'est ce que propose le manifeste et les amendements que nous voulons lui apporter, mais nous pensons aussi qu' il reste a faire en dehors de toute dogmatique réactionnaire, qu'il doit se faire en tenant compte de l'ensemble des conditions ( interne et externes) qui l'ont travaillé .</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-08T07:19:46Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33602018-11-08T07:19:46Z<p>Le marxisme-léninisme<small class="fine d-inline"> </small>? Deux questions pour une réponse<small class="fine d-inline"> </small>!<br class="autobr"> 1-Existe-t-il encore un connaisseur de Lénine qui peut démontrer que Lénine aurait approuvé cette formule avec le culte qui allait avec<small class="fine d-inline"> </small>?<br class="autobr"> 2- Qui peut démontrer que Lénine aurait approuvé la thèse du «<small class="fine d-inline"> </small>socialisme dans un seul pays<small class="fine d-inline"> </small>» et de l'autarcie que cela supposait<small class="fine d-inline"> </small>?<br class="autobr">
Cette formule n'a rien a voir avec la notion de communisme qui est l'antithèse de la flagornerie ubuesque qu'elle à justifiée après l'installation de la dictature de Staline. C'est l'habillage idéologique du culte de la personnalité et de tous ses attributs. Rappelons que la compagne de Lénine a été placardisée pour avoir refusé le Mausolée de la Place Rouge.<br class="autobr"> En fait, le marxisme-léninisme était utilisé comme un dogme chargé de déconsidérer toute critique objective.<br class="autobr">
En clair, j'aime le marxisme, et le léninisme aussi, mais je hais le mixage stalinien des deux.....</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-08T06:04:09Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33592018-11-08T06:04:09Z<p>Le problème ,ce sont ,Marie-Pierre Vieu,l'entourage direct de Pierre Laurent,le couple Cohen-Seat,Borvo,qui exigent de lui,qu'il reste,au plus grand mépris de la démocratie militante.C'est indigne et pourtant,réel.Pierre Laurent s'accroche et se couvre de honte,mais il est trop influencé par ce groupe d'anti-<span class="caps">PCF</span> qui est autour de lui. Voici l'article du Figaro,hier :<br class="autobr">
‘Pierre Laurent défend sa candidature,alors que il a été mis en minorité.<br class="autobr">
Dans une lettre envoyée lundi aux membres de la commission nationale des candidatures, Pierre Laurent a répété sa disponibilité. «<small class="fine d-inline"> </small>Je crois mon expérience utile à cette période<small class="fine d-inline"> </small>», leur a-t-il écrit, avec la promesse de «<small class="fine d-inline"> </small>construire un renouvellement profond du Parti communiste, dans tous les domaines<small class="fine d-inline"> </small>». Une lettre qui ne semble pas avoir convaincu les membres d'une commission en partie composée par la direction sortante…<br class="autobr">
Du côté de Pierre Laurent, on considère que le vote de mardi «<small class="fine d-inline"> </small>ne peut pas être considéré comme une décision, puisque seules 50 personnes sur les 118 membres étaient présentes<small class="fine d-inline"> </small>». «<small class="fine d-inline"> </small>Un déni inquiétant, selon un membre de cette commission, qui pèse sur notre capacité à sortir rassemblés du congrès<small class="fine d-inline"> </small>». La commission doit de nouveau se réunir dans 15 jours.<br class="autobr">
Mardi, à la majorité des membres présents, la commission des candidatures du <span class="caps">PCF</span> a rejeté la proposition du secrétaire national, Pierre Laurent, de conduire à nouveau la liste en vue du congrès extraordinaire du parti qui se déroulera à Ivry (Val-de-Marne) du 23 au 25 novembre. Ce refus de le laisser briguer un troisième mandat est un nouveau désaveu après sa défaite de début octobre. À l'issue d'un vote interne aux militants communistes le 6 octobre, son texte – la «<small class="fine d-inline"> </small>base commune<small class="fine d-inline"> </small>» -, non seulement n'avait pas obtenu la majorité absolue, mais était arrivé 4 points derrière un texte alternatif porté par les députés André Chassaigne et Fabien Roussel.<br class="autobr">
Peu après ce vote, Fabien Roussel comme Pierre Laurent avaient dit leur disponibilité pour conduire la liste. Mardi cependant, à 26 voix contre 24 et une abstention la commission des candidatures a jugé, rapporte un participant au Figaro, que «<small class="fine d-inline"> </small>la disponibilité de Pierre Laurent comme secrétaire national divise le parti et empêche une liste commune<small class="fine d-inline"> </small>»'.</p>Le manifeste, le bilan, le 22<sup class="typo_exposants">e</sup> congrès2018-11-07T22:05:45Zhttps://lepcf.fr/Le-manifeste-le-bilan-le-22eme-congres#comment33582018-11-07T22:05:45Z<p>A bas la ligne liquidatrice appliquée depuis plus de 25 ans par les arrivistes incompétents Hue, Braouezec, Wurtz, Martelli, Buffet, Tartignol, et Laurent. Vive le <span class="caps">PCF</span>, vive la <span class="caps">CGT</span>, vive le marxisme, vive le communisme, vive la classe ouvrière élargie en France qui n'a jamais été si nombreuse<small class="fine d-inline"> </small>!</p>