« Droit au retour » des djihadistes ? Quelle obligation ? - commentaires « Droit au retour » des djihadistes ? Quelle obligation ? 2018-06-18T06:11:58Z https://lepcf.fr/Droit-au-retour-des-djihadistes-Quelle-obligation#comment3001 2018-06-18T06:11:58Z <p>D'une manière ou d'une autre, "le peuple" c'est le dindon de la farce. <br class="autobr" /> Et particulièrement, les "radicalisés" traités comme la chair à canon du moment, les victimes directes, et les citoyens occidentaux... qui croient y gagner.</p> « Droit au retour » des djihadistes ? Quelle obligation ? 2018-06-17T09:06:30Z https://lepcf.fr/Droit-au-retour-des-djihadistes-Quelle-obligation#comment2997 2018-06-17T09:06:30Z <p>a chb...</p> <p>ce que montre l'article, c'est que ceux qui demandent le retour des djihadistes ne le font pas du tout pour mettre en cause la politique néocoloniale de la France, mais au contraire tentent de justifier leur affirmation nécoloniale d'une justice occidentale qui serait la seule légitime, et leur méfiance pour ne pas dire plus des indépendances nationales...</p> <p>pam</p> « Droit au retour » des djihadistes ? Quelle obligation ? 2018-06-16T11:27:35Z https://lepcf.fr/Droit-au-retour-des-djihadistes-Quelle-obligation#comment2994 2018-06-16T11:27:35Z <p>Castelnau : « aucune raison particulière pour la France de prendre la lourde charge de l'exécution de longues peines pour des ressortissants qui, brûlant leurs vaisseaux en partant, ont déclaré la guerre à leur propre patrie »<br class="autobr" /> Sauf que la France traditionnellement raciste et colonialiste a largement contribué au conflit, a applaudi jusque dans les sphères officielles ces « nouvelles brigades internationales », et envoyé des conseillers militaires aussi bien que des bombes... contre l'état syrien plutôt que contre les rebelles terroristes jihadistes. <br class="autobr" /> Je ne pense pas que l'auteur exonère notre pays des exactions auxquelles le Quai d'Orsay et notre armée ont contribué au Moyen-Orient : il est plutôt, quoique peut-être pour d'autres raisons, dans la ligne de la ministre qui préférait que les jihadistes français (vaincus !) meurent sur place. Les faire revenir, et juger, ici, cela permettrait d'éclairer la dérive atlantiste du gouvernement, si curieusement avide de "punir" les civils de Raqqa (voir Amnesty) ou le régime syrien.</p>