Un débat : pour éviter d'avoir une droite ou une gauche, ils ont tourné en rond.

Je n'ai pas lu l'article, mais seulement son titre.
Il est à lui seul la caractérisation de son contenu. Quand, enfin, ceux qui se prévalent d'être « communistes » sortiront-ils du débat droite gauche qui n'a jamais été un clivage reconnu par les marxistes ?
C'est la dérive du PCF dès les années 40/50 qui a conduit à remettre dans le jeu ce concept qu'on avait oublié et qui n'avait existé en 36 que pour combattre le fascisme.
Et encore, c'est la chambre du Front Populaire (l'expression la plus progressiste de la gauche) qui a interdit le PCF, emprisonné des syndicalistes, validé la recherche des « terroristes », comme le demandait Ribbentrop et installé Pétain au pouvoir.
Il semble que l'Histoire n'apporte aucune leçon pour les opportunistes.
Le seul clivage valable est celui qui sépare les révolutionnaires des tenants du capitalisme. C'est une option, la mienne, aucun candidat ne se réclamant du socialisme, on s'en tamponne de la présidentielle. Oui, il y a quand même Arthaud, mais c'est un peu comme quand Zebda parle des banques : Oui, mais LO, c'est LO, comment vous dire, les mots me font défaut....
Il y a une autre option : le clivage est pour ou contre la loi travail ; ça parle pas mal ; c'est un peu le clivage choisi par Gabriel, qui commente avant moi, et ça se respecte.
En tout cas, la gauche, il serait temps de la brûler, comme Lissagaray et Lénine. La fin du PCF mode Hue-Buffet est lancée par le Thorez d'après 45 et surtout Waldeck Rochet, de la même manière que Gorbatchev n'est pas une génération spontanée et que Khrouchtchev et Brejnev lui ont servi de point de départ.
Tant que les « communistes » parleront de la gauche, ils ne seront pas communistes. Et si vous parliez du mouvement ouvrier ?

Un débat : pour éviter d'avoir une droite ou une gauche, ils ont tourné en rond.

Si vous cherchez un candidat communiste dans cette élection vous n'en trouverez pas , mais ça on le sait !dans les circontances actuelles s'il y en avait eu « un » ( authentique) combien de voix aurait-il fait ? aurait-il eu le soutien
du PCF ? voyant les manoeuvres de la direction de celui-çi « pour l'unité de la gauche » avec Hamon .
Du temps de Thorez,Duclos,Marchais nous nous posions pas ces questions, il y avait une représentation communiste
aux élections sans complexe .
Etre communiste aujourd'hui,ce n'est pas de chercher dans un des candidats (potentiellement de gauche) des propositions « communistes » qui ne peut pas porter puisqu'il n'est pas « communistes ».Mélenchon entre autre dit
bien qu'il n'est pas communiste .Faire la fine bouche à son propos c'est ridicule pour les communistes, ceux-çi
doivent porter eux-même le projet communiste,le faire connaître et faute d'avoir un candidat,utiliser ses atouts
d'emballement d'une partie des milieux populaires pour replacer la nécessité des 4 sorties et la perpective socialiste
c'est ainsi qu'un parti communiste peut réapparaître

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