L'Europe, le parti de la guerre

Déjà la chancelière Merkel et François Hollande avaient déclaré, cyniquement, qu'ils n'avaient pas l'intention de signer les accords de Minsk, qu'ils faisaient traîner les discussions pour donner le temps à l'Ukraine de s'armer en vue de faire la guerre avec la Russie. Sept ans pendant lesquels, après le coup d'état fasciste orchestré par les USA, le gouvernement formé par Victoria Nuland, a bombardé et mitraillé les régions du Dombass qui refusaient le coup d'état fasciste. Les nombreux groupuscules nazis, se revendiquant comme tels, se développaient et commettaient les pires exactions sur les populations, qu'il s'agisse du du bataillon Azov, intégré à la garde nationale,et plus cruel encore paraît-il de Pravi sector qui terrorisait surtout la population de Kherson.
De Porochenko qui proclamait : « nos enfants iront à l'école et aux jardins d'enfants tandis que les leurs vivront dans des caves, à Zelensky, de clown devenu tyran, qui s'était fait élire pour faire la paix, vite dissuadé déjà par Azov, qui a interdit en premier le PC ukrainien puis tous les opposants, les syndicats, supprimé le doit du travail.
En mars avril 2022, alors que des accords de paix à Istanbul allaient être signés,Boris Johnson s'est rendu à Kiev pour arrêter le processus de paix, déclarant « il en va de notre hegemon (occidental). On connaît la triste suite…

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