Une interprétation de la politique de l’État nord-américain - commentaires

Une interprétation de la politique de l'État nord-américain

La guerre des tarifs est vouée à l'échec

Concernant les relations entre la hausse des tarifs et l'économie mondiale, Global Times publie ce matin un éditorial intitulé
« Les barrières commerciales ne peuvent pas arrêter la mondialisation économique »
https://www.globaltimes.cn/page/202...

« La mondialisation économique est une voie inévitable pour le progrès humain, et la coopération ouverte est une tendance historique irréversible. Le réseau actuel d'accords commerciaux à travers le monde n'est pas dicté par un seul pays ; il s'agit plutôt d'une conséquence naturelle du développement des forces productives et de l'approfondissement de l'interdépendance entre les nations »

Contrairement à l'opinion courante, la mondialisation n'est pas synonyme d'impérialisme.
Des colonialismes peuvent chevaucher la mondialisation à certaines périodes et sillonner ses routes maritimes avec des navires chargés d'or, de porcelaine, et d'esclaves.
Des impérialismes peuvent prendre la tête de la mondialisation comme ils peuvent prendre la tête de l'industrialisation ou du commerce international.
Et nous avons même vu que les USA, devenus une hégémonie après la chute de l'URSS, ont imposé leurs règles dans la mondialisation. De sorte qu'ils sont apparus comme l'expression même de la mondialisation, et que celle-ci a été identifiée à la domination des USA.
Quand on parlait de mondialisation, on parlait des USA.

Mais la réalité est différente. La mondialisation ne date pas des années 90, elle remonte à la nuit des temps, et des pays, la Chine en particulier, ont pu se développer au cœur de cette mondialisation. Jean Claude dirait « dans le ventre de l'impérialisme ».
Et maintenant l'existence même de la Chine signifie la fin de l'hégémonisme.
La fin de l'hégémonisme US mais pas celle de la mondialisation, dans laquelle sont entraînés maintenant des régions entières, et des pays regroupés dans les BRICS par exemple.

L'article de Global Times rappelle que les précédentes périodes protectionnistes des USA ont été funestes pour les USA et pour le monde, que l'économie américaine n'est plus en mesure de dominer : « Si les États-Unis se positionnent contre la majorité des pays qui défendent le libre-échange et maintiennent un système commercial multilatéral, le résultat final ne sera pas une « démondialisation économique », mais plutôt une « désaméricanisation du monde ». ».

Dans un sens les USA prennent le contre-pied d'une mondialisation qu'ils avaient eux-mêmes accompagnée et dirigée, et à présent, la guerre tarifaire s'oppose à la circulation et à la production économique mondiale, au développement mondial des forces productives. C'est une entreprise vouée à l'échec même pour les USA.
« L'économie mondiale est depuis longtemps profondément interconnectée et il est impossible de revenir à une économie fragmentée et autosuffisante, façon « Robinson Crusoé ». Toute tentative de bloquer les lois économiques par de hauts murs sera finalement balayée par la vague de la mondialisation. »

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Je Crois voir clairement aujourd'hui ce que les communistes français ont à faire et réflechir à propos des embrouilles de Trump ; J'énonce Trois points et après je me tais.

Premier point ; Dollar/Pas Dollar. Ce que l'histoire montre sur le rapport entre monnaie et impérialisme, c'est que les communistes considèrent que la monnaie est secondaire. Ce qui pouvait se comprendre du temps de Lénine ou Boukharine doit être corrigé aujourd'hui. Il faut penser simultanément ou successivement le réel et le monétaire, la valeur et les prix. La solution des contradictions actuelles sera à la fois réelle et monétaire. Trump cherche une solution monétaire conforme aux intérêts du capital monopoliste mais correctrice des impasses dans lesquelles ce capital est engagé. Deuxième Point. Le court terme/Le moyen long terme. A mon avis, les communistes français doivent réfléchir et agir dès aujourd'hui sur les deux plans. a) Que va dire la délégation « européenne » a Trump ? Comment le capital monopoliste en Europe voit-il sa place dans l'imperialisme mondial au moment où se profile une nouvelle crise de l'Impérialisme global ? b) Quels sont les enjeux de long terme. J'ai lu le texte d'H et S. Ce n'est insulter personne que de dire : Il faut creuser. Derriere le bazar de Trump, il y a évidemment les chois technologiques qui prévaudront et qui en sera le maître ? Les impérialistes ou les peuples libres, Chine en premier ? Quel avenir l'Intelligence artificielle (IA) ouvre aux peuples ou au Capital monopoliste ? Troisième point : France toute seule ou France+Chine+Brics+... Derrière le bazar de Trump, il y a evidement, de sa part, la volonté de barrer la route du progrès au peuple Chinois. Le choix des communistes français doit être clair. Nous devons faire alliance avec la Chine et d'autres. Nous avons l'habitude de faire cocorico. Mais ça suffit. Nous sommes à l'époque de la planète. Conclusion Un mot pour conclure. C'est bien de parler de multipolarité, mais à mon avis pas suffisant. Peut être les promoteurs du Superimpérialisme US sont-ils en train d'y penser. Il nous faut donc donner du contenu à la multipolarité que nous cherchons à promouvoir ; Jean-Claude Delaunay

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Parmi les relations majeures il faut examiner la notion d'hégémonisme.
Si un petit état appliquait la guerre tarifaire ça n'aurait aucune incidence.
Dans le cas de l'hégémonisme, les rapports qu'il implique s'opposent au développement mondial des forces productives. Cela veut dire que ces rapports hégémoniques ne peuvent que disparaître.

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Bien d'accord, quand on commence à dire que les capitalistes sont absurdes, c'est comme quand on explique qu'Hitler était fou, c'est là qu'on commence à ne plus rien y comprendre.

Je ne suis pas expert sur la monnaie, et n'hésitez pas à me reprendre. Il me semble que si les USA imposent ces taxes, d'une part ils prélèvent une sorte de rente, un surprofit sur le monde, et d'autre part ils renchérissent les achats des américains et des entreprises. Ce sont ces derniers qui financent l'enrichissement des USA. On va faire des milliards dit Trump, mais ça dépend dans quel sens.
Sous un autre aspect, les dollars dépensés pour acheter plus cher ces marchandises sont dévalorisés par rapport au prix de ces marchandises. Dans un sens le dollar vaut moins cher.

L'objectif est de détourner la consommation vers une production nationale, qui n'existe pas encore ou bien qui n'existera jamais ou jamais assez pour certains produits.
Cela dit les USA sont un grand pays riche en ressources, qu'il serait faux de sous estimer, et ni les Chinois ni nous-mêmes ne souhaitons la fin des USA : « Peut-on sauver sauver les USA de l'hégémonisme ? » dit aussi notre livre « Quand la France s'éveillera à la Chine ».

Ensuite, après ce régime au pain sec et à l'eau, les USA devraient à nouveau inonder la planète de produits bon marché. Sauf erreur : d'où un dollar renchéri.

C'est un aspect de l'ensemble des relations parce que l'économie mondiale est un ensemble de relations. Les USA ne sont pas seuls mais face à l'économie chinoise et à l'ensemble des régions productrices et consommatrices. Ils sont face à elles et liés à elles, dans le rapport conflictuel mais aussi identique du marché mondial.

Nous voyons que simultanément la Chine met en ce moment l'accent sur le développement technologique et scientifique, et c'est un effort quotidien rappelé systématiquement sur le site théorique du CC du PCC Qiushi par exemple, effort imposé aussi et très officiellement aux entreprises et start up privées.
Cet effort s'accompagne d'un progrès collectif gigantesque dans ces connaissances et dans le développement de l'IA. C'était une nécessité pour pallier le blocus technologique depuis 2020, et maintenant cela devient un avantage.
Ici la relation entre la Chine Populaire et les USA nous dit que le protectionnisme des USA joue en défaveur de leur essor. L'essor du capitalisme vers la fin du XIX^e siècle s'est fait en parallèle avec le désenclavement des campagnes, et les progrès de l'humanité en parallèle avec la mondialisation, depuis la nuit des temps.

Une autre relation s'établit entre la production de dollars et la consommation de dollars. Nous avons déjà vu que les USA exportent leur dette et que les pays émergents utilisent ces dollars pour se développer, mais que la hausse des taux rapatrie des masses monétaires immenses et brise les efforts de ces pays en les vidant de capitaux.
Que signifie la guerre des taxes pour les pays producteurs ? A priori elle les incite à commercer ailleurs, et éventuellement en monnaie locale. C'est un autre aspect du rapport entre l'économie mondiale et la valeur du dollar, comme monnaie de référence.

Je n'ai pas les réponses moi non plus, c'était juste pour faire avancer le schmilblick, en attirant l'attention sur la nécessité d'examiner les rapports d'identité et de contradiction à cette échelle, qui sont très complexes.

Il paraît indispensable d'étudier le marxisme-léninisme, le matérialisme dialectique, dans le monde d'aujourd'hui, qui se trouve en pleine transformation à cause des contradictions qui l'animent. Et de s'attacher non pas aux éléments qui meurent mais à ceux qui naissent.

Je retiendrai deux aspects, d'une part les contradictions internes aux USA, cause principale de leurs déficits, et d'autre part les contradictions entre les économies régionales du monde, et au sein même de chacune de ces économies, dans leur développement.

Enfin il serait imprudent de souhaiter l'effondrement des USA, parce que le risque de guerre en serait accru.

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Je trouve très interessant le commentaire de Danielle Bleitrach, et stimulant pour la réflexion. J'espère que la discussion va suivre son cours .

Que devons nous faire, nous communistes français, et comment réagir au regard de cette politique ? Mais auparavant, je vais chercher à clarifier 2 points.

1)Le premier est le mode de calcul des droits. Il a été expliqué par un gestionnaire du siteweb « Le Saker francophone ». Soit un pays P, exportant des marchandises X vers les USA et important des marchandises M des USA. Les USA sont déficitaires envers ce pays, soit (X - M) > 0 appelé Déficit américain, ou D. Trumpou, ou son esclave préféré, ont alors calculé D/X (en pourcentages). Ici par exemple, supposons que le déficit commercial des USA envers P soit de 50% des exportations de P. Ils ont alors divisé ce résultat par 2 et déclaré : « Voici les droits de douanes (25%) que nous appliquerons désormais aux exportations de P vers les USA. C'est une façon plus que sommaire d'élaborer une politique économique de grande ampleur.

2)Le deuxième point est : « Pourquoi un déficit commercial peut agir sur la valeur d'une monnaie ? ». Le pays P est excédentaire par rapport aux USA. Cela veut dire que les importateurs américains vont mettre plus de dollars sur le marché des changes que les importateurs du pays P vont mettre de monnaie du pays P sur ce marché. L'offre de dollars étant supérieure à l'offre de monnaie de P, la valeur du dollar par rapport à celle de la monnaie de P va diminuer.

C'est ce qui se passe aujourd'hui aux USA. Le déficit commercial des USA grandit et donc la valeur de sa monnaie diminue par rapport à celle des autres pays parce que la quantité de dollars offerte sur le marché des changes augmente sans que d'autres facteurs neutralisent cette augmentation. Il existe d'autres sources d'affaiblissement du dollar que le commerce extérieur. Mais, à mon avis, une action de réduction des importations américaines grâce à d'importants droits de douanes devrait avoir pour effet (toutes choses égales par ailleurs) d'accoître la valeur du dollar. M^e Trumpège ?

Quoiqu'il en soit, une chose est sure, cette augmentation tarifaire, là encore toutes choses égales par ailleurs, « va foutre le bazar ». Quel type de bazar ? Qu'est ce que les communistes disent face à ce « bazar » ? J'imagine que les députés communistes n'ont pas attendu cette discussion pour intervenir et que les cellules d'entreprises ont déjà réagi à cette agression impérialiste.

Je vais seulement dire deux ou trois choses et ce serait bien, à mon avis, que la discussion embraye là-dessus, pour nourrir la réflexion qui nourrit l'action.

1)Le premier point est la méthode. Nous devons protester vigoureusement contre ces façons de faire. Nous vivons dans un monde fini. Nous avons la responsabilité de coopérer calmement pour résoudre calmement les problèmes. Le temps où l'impérialisme nord-américain prenait des décisions unilatérales et menaçait devrait être considéré comme terminé.
2)J'ai entendu dire que « les Européens » (j'imagine que Macron la Carpette fait partie dela délégation) se préparent à se rendre à Washington pour discuter avec « Le grand Manitou ». je trouve cela parfaitement indigne. Mais ce n'est qu'un avis. Qu'en pensent les communistes de ce pays ? Et de quoi vont-ils causer les Macron-VanLeyden et Cnie ?
3)La méthose Trump est une méthode de Seigneur. Il ordonne et les ChienChiens arrivent pour discuter de la soupe. Personellement, j'anticipe deux points majeurs de discussion : a) la prise en charge par « l'Europe » d'une partie des dépenses guerrières de l'Impérialisme, b) La coordination avec l'Amérique du Nord d'une politique antichinoise. Car derrière « le bazar » de Trumpou , il y a évidemment « l'ennemi chinois ». Et l'ennemi chinois n'est semble-t-il, pas prêt à courber l'échine. Qu'en pensent les communistes français ? Comment réagissent-ils face à ces deux éventualités (une alliance avec l'Amérique contre la Chine et la mise en place d'une économie de guerre en Europe, avec ou sans participation du complexe militaro industriel américain ?).
4) Que devrions proposer, nous, communistes français ? Comment voyons nous le futur de la planète ?

Cette dernière question est la plus importante et sans doute la plus difficile. Mais je crois que nous avons l'obligation d'y répondre.

J'ai envoyé deux documents à PAM du 07/04/2025. L'un explicite la position générale des Chinois devant lapolitique de Trumpou (China Daily), l'autre fait état de la très récente menace du dit Trumpou si les Chinois ne retirent pas « immédiatement » leurs menaces d'augmentation tarifaire de représaille (Russia Today). J'espère que cette discussion et ces envois sont utiles. Fraternelles Salutations. JClaude Delaunay.

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j'ai développé plus longuement le texte ci-dessus dans le blog histoire et societe :en insistant sur de nombreux points :
1) au delà des phénomènes boursiers comprendre qu'il s'agit d'un affrontement entre le capital et le travail à l'ère du numérique
2) le problème est non seulement de faire face aux effets du monstrueux endettement sur le dollar mais en jouant encore de celui-ci pour faire payer au travail la tentative de réorganiser le capitalisme hégémonique en lui faisant aspirer tout le potentiel industriel réel qui a quitté les USA , une tentative de régression qui se heurte à la difficulté de reconstituer toute une industrie.
3) c'est une affaire qui va durer au minimum quelques années ... et il faut s'inscrire dans la durée qui est justement perturbée par les jeux boursiers et les batailles de « factions » électorales qui sont des leurres.

on ne comprend rien à la stratégie de la Chine si on ne voit pas qu'elle s'inscirt dans la durée et dans la dynamique des contradictions de cette tentagtive de l'hégémonie avec ses « alternatives » européennes et ou fascistes...

https://histoireetsociete.com/2025/04/08/trump-est-il-fou-a-lier-faut-il-accepter-un-minimum-pour-ne-pas-tout-perdre-par-danielle-bleitrach/?fbclid=IwY2xjawJhmNRleHRuA2FlbQIxMQABHs4kOqZETEBFm8GPvVzCijKwqOm5Uq5yuIJma9gJsOZPk9nYdrFYqxGVVhw__aem_Y5RZ87IxZNuG2e9t8n6hyw

Une interprétation de la politique de l'État nord-américain

Le point d'accord avec l'hypothèse de jean Claude Delaunay est que Trump n'est pas fou et qu'il y a une stratégie dont la finalité est de conserver son rôle au dollar. Mais en revanche, on peut au vu des choix opérés au contraire penser que ce qui est joué est l'affaiblissement du dollar et donc de la dette abyssale. Certes Powell et la FED n'abaisse pas les taux d'intérêt :Ce vendredi 4 avril, Jerome Powell a littéralement envoyé Wall Street dans le mur, en jugeant une baisse de taux prématurée ; alors que tout ce que les marchés espéraient, c'est qu'il se déclare « vigilant » face à tout signal de « désordre » ou de risque récessionista. mais Trump avait suggéré le contraire et cette résistance ne parait pas faire partie de sa stratégie.

On s'effraie et on feint de croire que c'est là une situation inusitée mais les trois précédents "krachs boursiers" (1987/2001/2008) nous enseignent qu'aucun actif spéculatif n'échappe à ce genre de correction qui accule à la vente les « mains faibles », et que les vrais initiés comme Warren Buffett ne se précipitent pas pour attraper le « couteau qui tombe ». Ce genre de correction ne se résout pas en trois mois, puisque cela en prend entre 6 et 18. Les optimistes argueront que les temps ont changé et que les stigmates du covido-krach de mars 2020 avaient été effacés en six mois, grâce à l'argent magique des banques centrales et des taux ramenés à zéro. Jerome Powell avait l'occasion de rappeler qu'en cas d'urgence – et la séquence des 3 et 4 avril en était un – il veillait au grain, mais il ne l'a pas fait.

Pourquoi changerait-il de stratégie demain, alors que Donald Trump a confirmé que « la hausse des tarifs est là pour durer » ? C'est-à-dire que nous sommes entrés dans un épisode qui est fait pour durer et pour faire payer aux "faibles" le choc que très officiellement le gouvernement chinois a défini comme l'affrontement entre le capital et le travail à l'ère du numérique. La vraie question est donc quel est le système qui va être en mesure de résister à ce coup de boutoir et la nouveauté, la seule qui est la réponse de la Chine qui offre d'autres conditions de négociations (y compris à l'Europe et à la France si elle daignait le mesurer).

Quel partenariat stratégique se joue déjà : un exemple, l'affaiblissement du pétrole est le résultat probable 1) de l'anticipation de la récession et de l'affaiblissement des échanges 2) de la décision de Trump qui avant même d'être intronisé aurait obtenu des texan forant le gaz de schiste d'aller à tout van pour freiner l'inflation interne, 3) comme le résultat d'une stratégie des Russes et de l'OPEP jouant l'abaissement à 65 dollars le baril c'est-à-dire à perte pour le pétrole texan gaz de schiste des USA.

Autre constat si l'on regarde qui a un maximum de perte en bourse ce sont les 7 magnifiques, dont Elon Musk, jeff Bezos et tous les autres qui se sont ralliés de puis le camp démocrate et qui pour le moment ne se rebellent pas. Ce sont ceux qui sont le plus aptes à mesurer à quel point les valeurs d'innovation technologiques dites de la Silicon valley sont en perte de vitesse, pareil pour l'autre économie "réelle" l'armement…

Donc si l'on peut penser que ce qui est visible ici par tous l'est également par la Chine dans son partenariat avec la Russie et ses ouvertures à ceux qui ne veulent pas faire les frais de cette opération comme le japon et la Corée.

Que va faire l'Europe, l'Allemagne en particulier qui a rompu les digues de sa politique traditionnelle du refus du déficit budgétaire et en train de s'imposer aux velléités françaises ?

Rien n'est écrit d'avance mais il y a des constantes et des "opportunités" ...

La Bourse est une arme mais c'est la politique qui sert.