Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du CEN (Comité exécutif national) du 17 juillet - commentairesGrèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-08-07T18:31:58Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment15022015-08-07T18:31:58Z<p>Nous devons retrouver notre souveraineté nationale en abrogeant pour commencer les traités signés après le referendum de 2005, engager un programme de nationalisations ou de re-nationalisations d'entreprises ou de services (énergie, communications, transports, eau, santé, répondant aux besoins vitaux de nos concitoyens... ou se trouvant en position dominante sur le marché national) reconquérir la maîtrise de la monnaie et du crédit... Mettre un coup d'arrêt à la destruction de notre Sécurité Sociale, associer les mutuelles à la Sécu en les retirant du marché de l'assurance et du monde de la spéculation au moyen de lourdes taxes, limitation des remboursements sécu aux médecins pratiquant les dépassements d'honoraires qui ruinent actuellement les mutuelles... Lourdes taxes pour les grandes surfaces utilisant des caisses robotisées... (a bientôt pour la suite d'un vrai débat contradictoire)<br class="autobr">
Cela passe par la sortie de l'Euro et de l'<span class="caps">UE</span>, du <span class="caps">FMI</span> et de l'<span class="caps">OTAN</span>...</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-08-05T20:56:18Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment15012015-08-05T20:56:18Z<p>Nous sommes d'accord pour rejeter l'hypothèse d'une «<small class="fine d-inline"> </small>Europe sociale<small class="fine d-inline"> </small>».<br class="autobr">
De fait c'est l'Europe elle-même qui a clos le débat en Grèce. Mais il arrive que la conscience humaine ou partisane soit encore à quai quand le train de la réalité est déjà parti.<br class="autobr">
Aussi le débat reste nécessaire, indispensable même.</p>
<p>Europe ou capitalisme : l'Europe est la forme actuelle de notre capitalisme. <br class="autobr">
Existe-t-il une fraction bourgeoise monopoliste qui envisage réellement son développement hors de l'Europe<small class="fine d-inline"> </small>? Le 12 mai entre les deux tours, Gattaz reprochait fondamentalement à Le Pen de "recroqueviller" les entreprises (sur son blog : <a href="http://pierregattaz.fr/post/114675155011/1981-2015-toujours-la-meme-rengaine" class="spip_out" rel='nofollow external'>1981 - 2015 : toujours la même rengaine</a>). Les partis et groupes souverainistes doivent d'abord convaincre le <span class="caps">CAC</span> 40 pour être nominés, sinon manger leur chapeau.</p>
<p>Alors la question de la sortie de l'Europe et de l'Euro se pose ainsi :<br class="autobr">
Peut-on l'envisager dans le cadre du capitalisme, ou dans celui d'une révolution prolétarienne<small class="fine d-inline"> </small>?<br class="autobr">
Doit-on privilégier la sortie de l'Europe et de l'euro ou la révolution elle-même<small class="fine d-inline"> </small>?<br class="autobr">
Peut-on envisager une sortie de l'euro «<small class="fine d-inline"> </small>en douceur<small class="fine d-inline"> </small>», et peut-elle être menée à bien en dehors de toute contrainte envers les capitalistes, c'est-à-dire en faisant l'économie de la dictature du prolétariat<small class="fine d-inline"> </small>?<br class="autobr">
Vieux débat sans doute bâclé en 1976 sous la pression de la restauration capitaliste en <span class="caps">URSS</span>, des "dissidents", du Comité international des mathématiciens, des nouveaux philosophes et de la pseudo gauche anticommuniste et socialo.</p>
<p>En fait l'hypothèse de «<small class="fine d-inline"> </small>l'Europe sociale<small class="fine d-inline"> </small>» ruinée par le diktat franco-allemand se reforme ici sous les traits d'une sortie de l'Euro tolérée par la classe dominante. <br class="autobr">
Mais la réponse connue d'avance est la dictature du capital. Les faits montrent que la bourgeoisie ne s'embarrasse pas de scrupules démocratiques quand il s'agit d'argent, de dettes, d'intérêts et de concurrence, et la prudence conseillerait d'envisager la révolution.</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-08-03T15:05:29Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment15002015-08-03T15:05:29Z<p>Alexis Tsipras et Lénine <br class="autobr">
Long entretien avec le premier ministre mercredi 29 juillet 2015 à <span class="caps">STO</span> Kokkino ( radio proche de Syrisa ) <br class="autobr">
L'huma de vendredi 31 ( 7 : 2015 en publie de larges extraits. <br class="autobr">
Tsipras revient sur ce qu'il avait dit «<small class="fine d-inline"> </small>les memoranda supprimés par une seule loi<small class="fine d-inline"> </small>» <br class="autobr">
Il se répond à ...lui-même «<small class="fine d-inline"> </small>Ne vous référez pas à mon discours de 2012. Nous sommes devant l'expérience inédite d'une gauche radicale dans une Europe néolibérale<small class="fine d-inline"> </small>» <br class="autobr">
1) Sauf que cette gauche n'est pas une gauche«<small class="fine d-inline"> </small>radicale<small class="fine d-inline"> </small>». Le parti communiste grec, lui, a refusé ce qu'il avait dénoncé dés le départ. Il est resté sur une position communiste De Classe<small class="fine d-inline"> </small>; il avait compris que Syrisa était le visage en apparence révolutionnaire mais en réalité, celui qui allait faciliter le compromis qui permet à l'<span class="caps">UE</span> de poursuivre son oeuvre destructrice. Qu'en est-il des 61,2<small class="fine d-inline"> </small>% de Non au référendum<small class="fine d-inline"> </small>? Exactement comme le <span class="caps">NON</span> au référendum de 2005 en France<small class="fine d-inline"> </small>! C'est ce parti «<small class="fine d-inline"> </small>révolutionnaire<small class="fine d-inline"> </small>» qui se révèle aussi antidémocratique que notre élite <span class="caps">UMPS</span> en France<small class="fine d-inline"> </small>? <br class="autobr">
Alexis Tsipras se justifie : «<small class="fine d-inline"> </small>la partie A est similaire à ce que le peuple a rejeté<small class="fine d-inline"> </small>» C'est justement la partie qui va permettre d'étrangler encore plus le peuple grec pour qu'il rembourse une dette ...qu'il ne pourra jamais rembourser<small class="fine d-inline"> </small>! Et la partie B avec 83 milliards sur 3 ans au lieu des 10,6 milliards sur 5 mois.<small class="fine d-inline"> </small>? On emprunte à nouveau pour rembourser plus , un peu pus tard<small class="fine d-inline"> </small>? <br class="autobr">
Tsipras se sert de Lénine pour justifier son compromis. L'exemple du bandit qui pointe son arme sur le révolutionnaire , l'argent ou la vie «<small class="fine d-inline"> </small>Le révolutionnaire<small class="fine d-inline"> </small>» doit donner l'argent" pour continuer la lutte. <br class="autobr">
Sauf que ce n'est pas la vie , en l'occurrence qui est en jeu<small class="fine d-inline"> </small>; c'est seulement le refus d'un système qui conduit le peuple grec à la mort<small class="fine d-inline"> </small>! Tsipras n'est donc pas un«<small class="fine d-inline"> </small>révolutionnaire<small class="fine d-inline"> </small>»mais un allié de la bourgeoisie européenne ( et non pas seulement grecque ) <br class="autobr">
Il se justifie «<small class="fine d-inline"> </small>je n'ai pas dit<small class="fine d-inline"> </small>; je fais un référendum pour nous sortir de l'euro<small class="fine d-inline"> </small>» <br class="autobr">
Hélas, c'est bien le problème. Bercer les peuples de l'illusion d'une«<small class="fine d-inline"> </small>autre construction européenne , une Europe sociale<small class="fine d-inline"> </small>» , c'est poursuivre l'enfermement dans cette Europe capitaliste , antidémocratique, antisociale , en empêchant toutes solidarités, avec la mise en concurrence féroce , la guerre de <span class="caps">TOUS</span> contre <span class="caps">TOUS</span> ( on voit l'exemple avec les éleveurs ) <br class="autobr">
L'Europe , prison des peuples <br class="autobr">
Oui , l'Europe est une prison . Il faut sortir de cette prison. <span class="caps">ET</span> je ne suis pas d'accord avec deux qui disent que le problème, c'est le capitalisme . Bien sûr que c'est le capitalisme<small class="fine d-inline"> </small>! Mais comment lutter contre le capitalisme en prison<small class="fine d-inline"> </small>? Et retrouver notre souveraineté ...en prison<small class="fine d-inline"> </small>? Il faut sortir de l'euro, de l'Europe de l'Otan et du capitalisme.</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-08-02T06:54:19Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment14992015-08-02T06:54:19Z<p>Le problème justement jean pierre, c'est que l'expérience grecque semble indiquer que c'est un voeu pieux d'espérer qu'un mouvement comme Syriza puisse faire reculer l'austérité. .. et c'est bien ce qui justifie le débat nécessaire sur la stratégie eurosociale suivie par le pcf. Pas parce qu'il ne serait pas communiste, mais parce qu'il choisit (tout du moins sa direction, enfin le gouvernement qui en est issu) prioritairement le respect de l'<span class="caps">U.E.</span> sur les intérêts du peuple. .. et ce voeu pieux devient une responsabilité politique historique quand il conduit Tripras à faire pire que Hollande ...</p>
<p>Et c'est peut être la le fonds de la difficulté en France a développer un mouvement type Podemos Syriza. ... Le peuple français très politique a tranché depuis 2005... il sait que l'Europe sociale n'existe pas et par contre ne voit pas comment gagner face aux oligarchies et aux gouvernements droite gauche qui se succèdent. ..et comme le parti communiste lui dit que pour les luttes, il faut attendre la grand mouvement qui va transformer l'Europe. .. il décroche. ..</p>
<p>Pam</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-07-31T14:31:47Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment14982015-07-31T14:31:47Z<p>Il n'y a aucune ambiguïté dans ce texte. Il s'adresse aux adhérents du <span class="caps">PCF</span> qui semblent avoir accepté majoritairement la position de la direction (en fait, il n'y a jamais eu vraiment de moment décisionnaire). Ce texte demande à ce qu'il y ait un vrai débat dans le <span class="caps">PCF</span> pour discuter de cette position qui a laissé apparaitre, à l'occasion des évènements de Grèce, des contradictions insurmontables et incompatibles avec l'existence d'un parti qui se dit communiste. Alors effectivement, la déclaration pose un certain nombre de questions tout en laissant ouverte la discussion.</p>
<p>Toutefois, si tu veux connaître la position du réseau «<small class="fine d-inline"> </small>Faire vivre et renforcer le <span class="caps">PCF</span><small class="fine d-inline"> </small>», il te suffit de lire le texte qui a été soumis au vote du congrès de 2012, à savoir «<small class="fine d-inline"> </small>Unir les communistes pour un <span class="caps">PCF</span> de combat, marxiste, populaire et rassembleur<small class="fine d-inline"> </small>» et que tu peux trouver en <a href="http://lepcf.fr/Unir-les-communistes-pour-un-PCF" class="spip_out" rel='nofollow external'>une du site</a>. Tu verras, notamment au chapitre 4, que nos positions pour la sortie de l'euro et de l'<span class="caps">UE</span> sont sans ambiguïté. Mais nous nous positionnons également pour la sortie de l'<span class="caps">OTAN</span> et du capitalisme, car pour être vraiment libre, le peuple de France a besoin de désentraver ses quatre membres. Et puis, si tu cherches un peu sur le site, tu pourras trouver de nombreuses déclaration allant dans ce sens depuis de nombreuses années.</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-07-31T11:03:32Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment14972015-07-31T11:03:32Z<p>Bonjour et merci pour cette contribution, un peu longue, mais dont je partage l'idée principale :<br class="autobr">
La pression financière exercée par les capitalistes a fait plier les engagements de la gauche alternative grecque. C'est un nouveau désaveu qui ressemble étrangement à celui de Hollande (même si on s'y attendait un peu plus). Il n'y a donc aucune souveraineté nationale tolérée quand elle prend une autre direction que celle prévue par la banque centrale européenne et le <span class="caps">FMI</span>. C'est une première chose à dénoncer. Un constat à partir duquel nous devons ensuite nous demander la seconde chose : comment il est possible de faire pour éviter cette domination, surtout lorsque la gauche alternative arrive au pouvoir municipaux, régionaux ou nationaux<small class="fine d-inline"> </small>? <br class="autobr">
Je pense effectivement qu'il n'est plus tolérable que le <span class="caps">PCF</span> ou l'un de ses partenaires électoraux, pensent encore pouvoir changer l'Europe de l'intérieur, répète pour s'en convaincre que 'il faut changer d'Europe. Non. Il faut d'abord <span class="caps">SORTIR</span> de cette Europe puis construire une autre coopération économique (avec monnaie...) avec tous les pays du <span class="caps">MONDE</span> (et non seulement l'Europe), toutes les régions et les villes qui adopteront des règles sociales et écologiques fermes (la Chine, le Vietnam, le Laos si ils appliquaient les droits de l'Homme, le Venezuela, l'Equateur, le Pérou, la Grèce, Barcelone, les villes gérées par la gauche alternative en France et en Europe). Il nous faut construire un nouveau réseau économique, sociale et écologique avec tous les territoires qui souhaitent participer à la construction d'un autre modèle. Nous pouvons tous, à tous les niveaux, participer à la construction d'un autre monde<small class="fine d-inline"> </small>!</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-07-30T14:01:38Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment14962015-07-30T14:01:38Z<p>Dans un mail précédent je constatais que le soutien populaire à la Grèce en France et en Europe avait été bien faible et je demandais quelle est la position du réseau sur l'<span class="caps">UE</span> et l'euro.<br class="autobr">
Dana la déclaration du 28 juillet il est bien dit que c'est difficile à définir. Dire il faut ouvrir un débat est un peu court et conclure<br class="autobr">
«<small class="fine d-inline"> </small>.. A moins qu'il y ait une véritable révolte populaire pour les faire reculer. A moins que certains pays, mesurant les avantages comparés du maintien dans la zone euro et d'une sortie, ne viennent gripper la machine. A moins que des forces politiques véritablement progressistes, des forces de rupture avec le système, en un mot des forces communistes ne se lèvent.<small class="fine d-inline"> </small>»<br class="autobr">
Cela relève au choix du voeu pieux ou du rêve quand il n'y a pas en France de mouvement comparable à Syriza en Grèce ou Podemos en Espagne. Et même quand ces mouvements arrivent au pouvoir ils sont contrés.<br class="autobr">
Il ne faut pas sous estimer la force des positions du système politico-économique qui ne peut être infléchi que par un large mouvement populaire en Europe. Mais actuellement en Europe et en France il y a peu de chose.</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-07-30T13:41:37Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment14952015-07-30T13:41:37Z<p>Peu de choses à ajouter sur cette importante déclaration, mais c'est mieux en le disant.<br class="autobr">
S'agissant d'un plan B, nous devrions tirer tous les enseignements du coup d'état financier et de l'ingérence des monopoles franco-allemands en Grèce.<br class="autobr">
Nous y avions déjà assisté en septembre 2011 en Grèce et en Italie, mais cette fois l'hypothèse de sortie de l'euro a été posée, l'affaire a fait la Une et marqué les esprits.</p>
<p>Les dernières mesures de Bolloré, (d'ailleurs proche des socialos) concernant Canal + et la censure du film de Médiapart, font partie du tournant fascisant pris par l'Etat (peut-être en préparation des élections), et ne sont pas l'expression individuelle d'un potentat, mais devraient être liées à ce qui précède.</p>
<p>Quel plan B<small class="fine d-inline"> </small>? Indépendamment de l'indispensable solidarité avec les peuples d'Europe, de l'internationalisme prolétarien, il apparaît que seule l'autorité d'une démocratie populaire pourrait faire plier le diktat du Capital. <br class="autobr">
Là aussi la note du <span class="caps">CEN</span> parle beaucoup de la «<small class="fine d-inline"> </small>lutte de classe<small class="fine d-inline"> </small>» mais n'en tire aucune conséquence.<br class="autobr">
La dictature du prolétariat n'est rien d'autre que la démocratie pour le peuple et la dictature pour les requins de la finance. Les institutions bourgeoise ont été créées justement pour l'éviter.</p>
<p>Comme le dit Gautier «<small class="fine d-inline"> </small>l'objectif reste l'établissement du socialisme<small class="fine d-inline"> </small>» et non un hypothétique aménagement, désormais condamné par les faits.<br class="autobr">
fraternellement</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-07-30T07:09:20Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment14942015-07-30T07:09:20Z<p>Je ne suis pas d'accord. Le véritable problème, c'est le capitalisme, comme ne cesse de le dire le <span class="caps">KKE</span>. Ce n'est pas la construction européenne, qui n'est qu'un outil du système. Tout comme l'euro. En conséquence, si sortie de l'euro et de l'<span class="caps">UE</span> sont des incontournables (tout comme sortir de la V<sup class="typo_exposants">e</sup> République, par exemple), l'objectif reste l'établissement du socialisme. Sinon, c'est donner du crédit aux forces fascisantes qui proposent la souveraineté nationale, sur la base d'une illusion d'un capitalisme national. Aucun intérêt.</p>Grèce et U.E. : premières réflexions pour ouvrir le débat après la note du <span class="caps">CEN</span> (Comité exécutif national) du 17 juillet2015-07-29T18:56:41Zhttps://lepcf.fr/Grece-et-U-E-premieres-reflexions-pour-ouvrir-le-debat-apres-la-note-du-CEN#comment14932015-07-29T18:56:41Z<p>Enfin<small class="fine d-inline"> </small>! Une expression de communistes qui ose pointer ce que je considère comme le véritable problème : la construction européenne est un piège mortel pour les peuples à disposer d'eux-mêmes. Reste à convaincre ceux qui persistent à prétendre possible une modification de cette construction européenne dans un sens plus progressiste... Comme si l'on pouvait espérer persuader un marigot de crocodiles à devenir végétariens. <br class="autobr">
Pour ma part, je n'ai pas manifesté en faveur des grecs car cela m'est apparu parfaitement inutile, tant que le préalable de rester au sein de la dictature de l'oligarchie de l'€uro restera tabou au sein des organisations appelantes à manifester. Pour moi, il est donc clair que si l'on persiste, en tant que parti, à participer à cultiver l'illusion d'un changement possible au sein de l'Europe en laissant aux fachistes le soin d'apparaître comme les seuls champions de la souveraineté de notre peuple, notre utilité politique (sociale) sera voisine de zéro.</p>