Publié le : 28 juin 2019
Pour comprendre comment s’articulera la stratégie de ces groupes armés, il nous faut revenir sur les guarimbas, du nom donné au Venezuela à ces épisodes insurrectionnels qu’a connus le pays au cours des dernières années. Dès le jour de l’élection de Nicolas Maduro, le 14 avril 2013, Henrique Capriles, mauvais perdant, appela ses partisans à prendre les rues. Bilan : 11 morts, et 78 blessés. L’opposition réitérera sa volonté d’engager un bras de fer avec le pouvoir en réactivant les guarimbas en 2014 (43 (...)
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