Un scénario totalitaire Par Alain Tournebise

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L’ADEME se livre régulièrement à des exercices prospectifs sur l’avenir du mix électrique français. Mais elle ne fait pas de la réduction des émissions de CO2 un critère central de décision. En réalité, son objectif principal est de démontrer l’inutilité de développer la filière nucléaire EPR.

Par Alain Tournebise [1]

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En octobre 2015, l’ADEME a publié une étude visant à démontrer la faisabilité d’un mix électrique 100 % renouvelable. Cette étude avait soulevé interrogations et protestations de la part de la communauté énergétique. L’ADEME a donc revu sa copie et a récidivé en laissant un peu plus de place au nucléaire historique, avec, cette fois, un mix renouvelable à 95 % !

Évidemment, la méthodologie n’ayant pas changé, les mêmes interrogations sont soulevées aujourd’hui. Cette nouvelle étude prétend mettre en évidence sept « résultats » principaux.

Le premier vise à légitimer un mix électrique quasi exclusivement renouvelable en 2060. Malgré le tollé qu’avait déclenché son étude de 2015, l’ADEME persiste et signe : « Pour des niveaux de demande compris entre 430 TWh et 600 TWh, l’optimisation économique de l’évolution du système électrique français conduit à une part d’EnR de 85 % en moyenne en 2050, et de plus de 95 % en 2060, dans l’ensemble des cas, hormis ceux avec déploiement volontariste d’EPR ».

Commençons par une remarque d’ordre sémantique. Dans le vocabulaire de l’ADEME, le développement de l’EPR ne peut être que volontariste, pour ne pas dire activiste. L’ADEME considère sans doute que développer 80 GW d’éolien et 80 GW de photovoltaïque, comme elle le propose, n’est pas du volontarisme mais relève d’un développement naturel et harmonieux, même si cela mobilise près de 20.000 km2 de surface au sol, soit 200 fois la surface de Paris, et plusieurs dizaines de millions de tonnes de béton.

Big brother is watching you

Mais passons sur cette petite supercherie sémantique pour en arriver à la conclusion principale : le système électrique français pourrait être composé d’EnR à plus de 95 % en 2060. Comment ? Comme dans tous les mauvais contrats, il faut lire attentivement ce qui est écrit en petit et dans les annexes. L’ADEME envisage soit une baisse drastique de la consommation jusqu’à 2030 (demande "basse"), soit au mieux une quasi-stagnation de la demande d’électricité jusqu’en 2060 (demande "haute"), et ce malgré de nouveaux usages. Comme le souligne l’Académie des Technologies, « cette hypothèse est plus basse que celle retenue par la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) du ministère de l’Environnement. Sur une aussi longue période, la prise en compte d’une croissance, ne serait ce que de 1 % par an, modifierait radicalement les résultats »[http://academie-technologies-prod.s3.amazonaws.com/2019/01/29/11/02/33/662/CdP_ADT_MixElectriqueAdeme.pdf].

Comment l’ADEME justifie-elle cette vision malthusienne ? Par une remise en cause radicale des principes mêmes du service public. Ce ne serait plus au système électrique de s’adapter à la demande mais à la demande de s’adapter aux possibilités du système électrique. Cette conception, pudiquement qualifiée de « flexibilité », nécessiterait en fait qu’une fraction considérable de la consommation soit effaçable à la demande de l’opérateur de réseau : effacements industriels (55 %) ; modulation de la charge des véhicules électriques (80 %) ; effacements ou reports de divers usages domestiques : production d’eau chaude sanitaire (100 %), chauffage (75 %), électroménager (56 %), etc. Comme le note Georges Sapy [https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/etudes/Etudes_Sapy/ADEME_Analyse-documents_Scenarios.pdf], « Cette flexibilité est effectivement une solution, mais limitée, alors que l’ADEME envisage des amplitudes de flexibilité pouvant atteindre la valeur astronomique de… 60 GW dans la journée ! Davantage que la puissance moyenne journalière actuellement consommée par le pays : 54 GW !!! C’est irréaliste, car cela signifierait que l’on effacerait jusqu’à plusieurs fois par jour des consommations industrielles et/ou ertiaires (avec quels impacts sur la productivité et l’économie ? Cela n’est évidemment pas dit), que l’on retarderait ou arrêterait des TGV en rase campagne, sans parler des consommateurs domestiques, qui seraient priés (en fait contraints) de bien vouloir arrêter de consommer au motif qu’il n’y a plus de soleil ou que le vent est tombé… ».

(Anti)nucléaire historique

Deuxième résultat avancé par l’ADEME : « D’un point de vue économique, le développement d’une filière nucléaire de nouvelle génération ne serait pas compétitif pour le système électrique français. La construction d’un EPR en 2030 nécessiterait 4 à 6 Md€ de soutien public. À plus long terme, le surcoût de développement d’une filière industrielle EPR (24 GW en 2060) serait au minimum de 39 Md€ pour la nation ». À l’évidence, c’était là l’objectif premier de cette étude : torpiller le développement de la filière EPR. Il est vrai que l’opposition au nucléaire fait partie de l’ADN de l’ADEME, ses premiers dirigeants – à l’époque où l’établissement s’appelait encore Agence française pour la maîtrise de l’énergie (AFME) –, Michel Rolant et Bernard Laponche, s’étant illustrés dans une attitude antinucléaire systématique.

Donc, même si elle était vraie, cette conclusion pourrait faire sourire quand on sait que le soutien aux EnR coûtera, au dire même de la Cour des comptes [https://www.ccomptes.fr/fr/publications/le-soutien-aux-energies-renouvelables], 121 Md€ d’ici à 2045.

C’est le montant du soutien public auquel s’est engagé l’État par les contrats signés avant 2017 au bénéfice des producteurs d’EnR. Mais, en plus, cette conclusion est erronée, car elle repose sur un choix parfaitement arbitraire, pour ne pas dire une manipulation dans le calcul prévisionnel des coûts de l’EPR : le taux de financement – ou plus précisément le taux d’actualisation – retenu est beaucoup plus élevé (7,5 %) pour le nucléaire et les STEP que pour les EnR (5,25 %).

Le prétexte avancé serait la prise en compte des risques et de leur impact sur les conditions de financement des investissements. Choix tout à fait contestable quand on sait « que, par exemple, l’éolien en mer présente des risques industriels bien supérieurs à ceux de l’hydraulique ou du nucléaire, les travaux en pleine mer de construction et de maintenance étant difficiles et incertains, face à l’agressivité des tempêtes et du milieu marin, etc. » [https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/etudes/Etudes_Sapy/ADEME_Analyse-documents_Scenarios.pdf].

En fait, l’objectif de cette petite perfidie est tout autre : pour les investissements de très longue durée, le coût du kilowattheure est très sensible au taux d’actualisation : l’augmenter de 5,25 à 7,5 % élève mécaniquement le coût estimé de production d’un EPR de l’ordre de 25 à 30 % ! « La conséquence est donc claire : retenir un taux d’actualisation de 7,5 %, par ailleurs très élevé au regard des fondamentaux économiques et financiers actuels, est la meilleure façon de tuer artificiellement dans l’oeuf tout investissement massif de très longue durée, ce qui est le cas des STEP (100 ans ou plus) et du nouveau nucléaire (60 ans minimum) […]. Autrement dit, ce choix largement arbitraire défavorise a priori toute nouvelle installation hydraulique ou nucléaire et favorise indirectement les investissements EnR à durée de vie limitée à 20 à 25 ans, pourtant largement moins durables au regard de leur consommation de matières premières critiques ou rares » [https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/etudes/Etudes_Sapy/ADEME_Analyse-documents_Scenarios.pdf].

JPEGLes énergies renouvelables intermittentes n’intègrent pas les coûts de compensation de l’intermittence : maintien de moyens de réserve, coûts des moyens de stockage et déstockage, introduction d’intelligence artificielle dans les réseaux, coûts des effacements…

Coûts tordus

Le troisième résultat de cette étude de l’ADEME vise à rassurer le consommateur : « L’augmentation progressive de la part de renouvelable permet de faire tendre le coût total de l’électricité facturée au consommateur vers 90 €/MWh hors taxes (à comparer à près de 100 €/MWh de coût actuel), ceci malgré l’augmentation prévisible du prix des énergies fossiles et du CO2 ». Cette question des coûts est l’une des plus significatives des méthodes plus qu’approximatives de l’ADEME.

D’un côté, « Concernant le nucléaire historique, le coût moyen actualisé de l’énergie de 42 €/MWh est pris en compte par l’ADEME. Mais ce coût moyen (qui est un coût théorique moyen sur toute la durée de vie d’une installation) n’a aucun sens pour des installations largement amorties pour lesquelles c’est le coût “cash” (coût réel complet d’exploitation à décaisser) qui est pertinent. Or, ce coût “cash” se situe entre 32 et 33 €/MWh, très en dessous des 42 €/MWh qui sont en réalité le prix de vente […]. L’estimation de l’ADEME revient donc à surévaluer artificiellement les coûts réels du nucléaire historique de 29 % ! » [https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/etudes/Etudes_Sapy/ADEME_Analyse-documents_Scenarios.pdf].

D’un autre côté, les coûts des EnR calculés sont réputés intégrer les coûts de raccordement et renforcement des réseaux, selon l’ADEME. Or ce n’est pas suffisant pour être pertinent : ils n’intègrent pas, par nature, les coûts de compensation de l’intermittence : maintien de moyens de réserve, coûts des moyens de stockage/déstockage, introduction d’intelligence artificielle dans les réseaux, coûts des effacements, etc. Ces coûts ne sont donc pas directement comparables à ceux des moyens pilotables, hydrauliques ou nucléaires.

Dans son cinquième résultat, l’ADEME se gargarise des succès à l’export de son mix à base d’EnR : « Dans un contexte d’augmentation de la taxation du carbone, le mix électrique français offre des opportunités économiques pour décarboner de façon significative les autres vecteurs énergétiques et le mix électrique de nos voisins européens ».

Selon l’étude, « dans tous les scénarios, la France reste exportatrice jusqu’en 2050, avec des niveaux d’exports nets supérieurs à aujourd’hui jusqu’en 2030 : le coût de production du nucléaire historique (Grand Carénage compris) reste en effet bien inférieur au coût de production des autres filières fossiles à l’étranger ». On ne peut s’empêcher de poser une question simple : si le nucléaire est aussi compétitif, pourquoi s’acharner à l’éliminer ? Ni de faire une remarque tout aussi candide : pourquoi nos voisins européens resteraient-ils passifs et conserveraient-ils dans leur mix électrique des filières fossiles ?

Sans doute parce qu’ils n’ont pas la chance, comme la France, d’avoir à leur disposition un organisme aussi clairvoyant que l’ADEME. Comme l’écrivent Dominique Finon et Sylvestre Huet, « L’ADEME fait l’hypothèse d’un triplement des interconnexions (de 12 à 36 GW) avec des systèmes étrangers, lesquels évoluent comme par magie pour servir les besoins français tant en exportations qu’en importations. Nos voisins se dotent de capacités de stockage énormes, et leurs productions sont miraculeusement là en cas de besoin et pas là lorsque nous pouvons exporter » [Dominique Finon, Sylvestre Huet, https://www.lemonde.fr/blog/huet/2019/01/31/le-plan-tout-renouvelable-de-lademe-conteste/].

Les quatrième et sixième résultats concernent essentiellement le nucléaire "historique", dont finalement l’ADEME est bien obligée d’admettre les vertus, même si, on vient de le voir, elle fait tout pour en surestimer les coûts réels. « Le prolongement d’une partie du parc nucléaire historique, avec l’atteinte de l’objectif de 50 % de nucléaire entre 2030 et 2035, permet une transition efficiente d’un point de vue économique et climatique ». C’est une des concessions qu’elle a dû faire après les vives critiques qu’avait soulevé sa première étude sur un mix à 100 % renouvelable.

Oui mais cette concession a des limites : « À l’inverse, une prolongation trop forte du nucléaire historique maintiendrait les prix de marché bas et déséquilibrerait la rentabilité de tous les moyens de production… le seuil de rentabilité des EnR serait décalé en 2045 ». En clair, le nucléaire historique est trop compétitif et assure au consommateur des prix bas, insuffisants pour assurer une rentabilité suffisante aux producteurs d’énergie éolienne et photovoltaïque. Si on ne ferme pas le nucléaire historique assez tôt, « le soutien public devrait être augmenté pour compenser la perte de revenus des EnR sous système de soutien (historiques et nouvelles installations) ». L’ADEME, fidèle à sa culture d’écologie punitive, souhaite des prix élevés pour assurer la rentabilité et les profits des producteurs d’EnR. Tant pis pour le consommateur qui paiera.

Enfin, l’ADEME s’intéresse aux problèmes de stabilité du réseau que pourrait générer une telle pénétration d’énergies intermittentes. « Concernant l’inertie du système et sa stabilité, même avec 87 % d’EnR en Europe continentale en 2050, il serait possible, pour moins de 1 €/MWh, de maintenir en fonctionnement une puissance synchrone suffisante pour assurer la stabilité du réseau, selon les exigences que se fixe le gestionnaire de réseau irlandais EirGrid pour les prochaines années. Des analyses supplémentaires seraient nécessaires pour approfondir cet aspect du système électrique ».

Les commentaires de Georges Sapy à cet égard sont sans appel : « Ces affirmations sont des extrapolations qui ne reposent sur aucune base sérieuse […] le taux de pénétration de 65 % d’électricité "non synchrone" pris en compte dans le réseau EirGrid inclut classiquement l’éolien et le photo voltaïque, mais également l’électricité acheminée par les deux liaisons à courant continu de 500 MW chacune reliant l’île irlandaise à l’Écosse et au pays de Galles, dont l’une apporte une puissance qui ne peut varier que lentement et l’autre une puissance au contraire modulable rapidement. Par conséquent, bien que n’apportant pas de puissance synchrone, ces liaisons à courant continu contribuent à la stabilisation des fluctuations rapides de l’éolien et du photovoltaïque (pour la première) et au réglage de puissance du réseau (pour la deuxième) […]. Enfin, extrapoler à la France les caractéristiques du "petit" réseau irlandais (pour l’île entière, Nord et Sud, une puissance appelée de l’ordre de 4,5 GW en moyenne et 7 GW en pointe, soit respectivement 12 et 14 fois moins qu’en France !) ne peut être fait sans de solides études, totalement absentes ici. » [https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/etudes/Etudes_Sapy/ADEME_Analyse-documents_Scenarios.pdf].

Après moi le déluge

Au demeurant, l’ADEME reconnaît elle-même que son scénario de référence ne respecte pas les recommandations de l’ENTSOE (l’association des opérateurs de réseau de transport européens) qui nécessiterait qu’une puissance synchrone d’au moins 150 GW soit constamment disponible sur l’Europe continentale. Mais elle en fait peu de cas : « La trajectoire de référence ne serait donc pas satisfaisante en 2050, mais les retours d’expérience de systèmes électriques avec des taux d’énergie renouvelable élevés montrent que cette exigence est susceptible d’évoluer à la baisse ». Circulez, il n’y a rien à voir. Une désinvolture qui fait dire à Georges Sapy qu’« il est plus que surprenant que les auteurs de la note, qui n’ont aucune compétence dans ce domaine (ce que l’on ne saurait leur reprocher), se permettent de remettre en cause les "métriques" (sic) de l’ENTSOE, dont les ingénieurs sont des spécialistes de la conception et l’exploitation des réseaux. Alors que les retours d’expérience évoqués par l’ADEME ne sont par ailleurs ni conformes à la réalité des faits, ni représentatifs des grands réseaux européens » [https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/etudes/Etudes_Sapy/ADEME_Analyse-documents_Scenarios.pdf].

Bien d’autres hypothèses retenues par l’ADEME sont très critiquables, voire complètement exotiques. Il serait trop long de les commenter toutes ici. Le lecteur intéressé pourra se reporter utilement aux sites mentionnés en notes. En résumé, cette trajectoire de référence du mix électrique à l’horizon 2060 élaborée par l’ADEME nous donne à voir une France couverte à marche forcée de millions d’hectares de champs éoliens ou photovoltaïques, produisant une électricité chère, beaucoup plus chère que l’électricité nucléaire, et malgré tout incertaine et peu fiable. Les consommateurs y seront instamment invités à renoncer à consommer, à se chauffer, à se déplacer ou à se laver plusieurs fois par jour, voire par mois, à la demande du Grand Gestionnaire de réseau qui, grâce aux réseaux et compteurs intelligents, saura à tout instant ce dont nous avons besoin et comment nous en passer. Même Georges Orwell n’avait osé imaginer pareille vision du futur. On pourrait en sourire si tout cela n’était financé sur fonds publics.

1. http://academie-technologies-prod.s3.amazonaws.com/2019/01/29/11/02/33/662/CdP_ADT_MixElectriqueAdeme.pdf
2. https://www.sauvonsleclimat.org/images/articles/pdf_files/etudes/Etudes_Sapy/ADEME_Analyse-documents_Scenarios.pdf
3. https://www.ccomptes.fr/fr/publications/le-soutien-aux-energies-renouvelables
4. Dominique Finon, Sylvestre Huet.
https://www.lemonde.fr/blog/huet/2019/01/31/le-plan-tout-renouvelable-de-lademe-conteste/

Voir en ligne : Sur la revue progressistes du PCF

[1Alain Tournebise est ingénieur Supélec et directeur de la diffusion de Progressistes.

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