Louis XVI et nous : Allons au faits

, par  Gilbert Remond , popularité : 5%

Intervention au repas républicain de l’improbable, repas traditionnel du 21 janvier à la tête de veau pour célébrer la mort de Louis XVI...

Nous nous retrouvons ce soir pour célébrer l’acte de fondation de la république pendant que d’ autres, nostalgiques de l’ancien régime, font acte de prière et de recueillement en se rendant a une messe du souvenir puis a un repas traditionnel pour en déplorer la naissance. Ces deux démarches ont une même cause, la guillotinade de Louis XVI et de sa femme Marie Antoinette.

Ces nostalgiques de l’ancien régime attendent leur heure. Ils n’ont jamais rendu leurs armes. La restauration reste leur horizon, même sous les pires hospices. Chaque épisode de la crise institutionnelle et politique que nous traversons vient réduire dans leur esprit la marge qui les sépare de leur retour en grâce. N’oublions pas à cet effet que dieu est le pilier de leur souveraineté, qu’en conséquence la religion est leur meilleur soutien. Seigneur et monseigneur se tiennent dans un même rang. Des rangs qui ont défilé en vagues nombreuses sous le générique « la manif pour tous ». Tous ? En effet, ils étaient tous là, les dévots de la fleur de lys et de la famille traditionnelle ! Oui, ils attendent leur tour, d’aucun pensant que 2017 récompensera leur persévérance dans un plébiscite identitaire et nationaliste.

Il y a 23 ans quand nous nous sommes rassemblés pour la première fois pour faire nos agapes républicaines, leur rite confidentiel pouvait sembler pittoresque et risible. Aujourd’hui leur assemblée est plus assurée et peut être plus inquiétante. Certes la manif pour tous et les reculades du Hollandisme leur ont donné un bon coup de main. Mais soyons sûr aussi que l’ombre et l’oubli leur sont d’indéfectibles amis. « Allons aux faits ! » demandait la plume de Régis Debray dans son essaie sur les « croyances historiques et les réalité religieuses ».

Allons aux faits et ne nous racontons pas d’histoires inutiles. Rappelons nous avec lui que « l’introduction à partir de 1769 au collège Louis le grand, de l’Histoire comme discipline à formé les hommes de 89 ». Rappelons nous le, avant de se perdre en conjectures sur l’intérêt ou pas de continuer la geste des anniversaires et des célébrations au prétexte qu’elles figent les événement ou en masquent les significations , n’oublions pas la mise en garde du médialogue qui nous dit « c’est une sage précaution pour l’ordre établi de réduire à l’école les heures consacrées à l’histoire » ( et notamment celle de la révolution française). Le gestionnaire « dynamique, équitable et innovant qui a fait du mot citoyen un qualificatif passe partout pour qu’il cesse d’être un sujet incommode, rêve à bon escient d’une jeunesse gavé d’économie sans référence intempestives ni souvenir incongrus ».

« C ’est bien vu, continuait -t-il car une révolution n’est jamais qu’une nostalgie qui prend les armes. Sans la république romaine, pas de révolution française, sans 93 pas de commune de Paris, sans commune pas d’octobre 17 a Moscou. Quand on nous ôte la mémoire, on nous ôte l’envie de recommencer. »

C’est une réflexion du même type qui animait le linguiste Jean Claude Milner dans « l’arrogance du présent » , ouvrage où il portait son regard sur les années 68 et sur son engagement. En effet a lui à non plus, il n’avait pas échappé que « Marx notait que la révolution française n’avait pu se parler que dans la langue de l’antiquité ». Il complétait cette remarque en élargissant le phénomène à d’autres grands bouleversements, mai 68 justement, qui à son tour se parait d’expressions venues d’ailleurs et se parlait dans la langue des révolutions françaises, de la grande, celle de 89 et des petites celles 1830, de 1848 et de 1871.

De ce constat, il extrayait la remarque suivante « mais cette langue, ce sont les historiens qui la lui transmettent ». Remarque qui le conduisait à une autre plus embarrassante : « Ils la transmettent parce qu’ils l’ont inventé ». Et en effet on touche là un point qui est celui ou peut disparaître la force de l’événement historique ainsi que ses leçons pour les générations suivantes. N’est-on pas en droit de se demander si dans les formes que sa relation prend, il n’avait pas perdu de son contenu, si celui-ci n’abandonnait pas ses significations édifiantes et subversives au profit d’une construction mystique d’où les masses agissantes étaient exclues ? C’est en tout cas ce que déplorait j.c Milner pour qui l’école française en faisant passer l’événement « sur un jour, un mois, une année pour sténographier du croisement en activité et en nombre » le réduisait et le vidait de sa substance active . Par ce procédé la réalité révolutionnaire et sa dynamique sont masqués. Il observe d’ailleurs que la raison classique pré-révolutionnaire a toujours mis en garde les élites contre la multitude. Elle y discernait une cause de la passivité des individus. ( « tout projet collectif ne peut être que passif. Seul l’individu est un centre actif » -Badiou sur Sartre ). Pour cette tradition, seul l’individu unique a le pouvoir de s’opposer au peuple et à sa passivité en le dominant, or la conviction moderne, née de la lecture de la révolution en inverse la proposition puisqu’ elle donne à croire depuis 1789, grâce à l’apport de Marx et à son regard analytique d’homme de masse, que « l’émergence de la multitude peut rendre le sujet plus actif » , que « la figure du rassemblement maximal peut être aussi la figure de l’activité maximale » . Selon Milner « toute l’interprétation de 1789 roule sur cette question : ce qui s’est passé sous les yeux du monde civilisé donne-t-il ou non la preuve matérielle que la multitude rend plus actif chacun de ses membres pris un par un ? » toujours d’après lui, Mai-Juin 68 en donne une preuve édifiante, raison pour la quelle sa porté devait en être camouflée sous le vocable « les événements ».

Claude Mazauric que nous avons reçu dernièrement à « l’improbable », s’inscrit lui aussi dans cette ligne d’interprétation . Il nous montre l’importance qu’a eu la révolution française dans la pensée de Marx. Pour lui nul doute qu’il en a été nourrie avant d’en éclairer en retour le sens et les effets. Pour appuyer cette idée, Claude Mazauric écrivait dans « l’histoire de la révolution française et la pensée marxiste »  : « La révolution française , comme événement signifiant et comme objet d’analyse historique, occupe on le sait une place considérable dans l’engagement politique et dans l’élaboration de la pensée philosophique et théorique de Marx et de F. Engels » Les deux théoriciens ne furent pas les seuls. La révolution française occupera longtemps la conscience politique européenne. Elle sera dans la mémoire populaire, comme dans la culture des élites, un événement formidable. Elle obsédera les milieux dirigeants, les philosophes, les écrivains, les poètes, les savants et sera considérablement redouté par les héritiers de l’ancien régime qui appelaient la république la gueuse il n’y a pas si longtemps , voir les émeutes de 34 , la cagoule, Pétain, mais aussi plus récemment la manif pour tous .

Marx a rempli des cahiers entiers de notes sur la révolution française, dans lesquels il a établi des listes de données chronologiques pleines de références ou d’allusions aux témoins, aux chroniqueurs et historiens de la période. Nous en retrouverons les traces dans l’œuvre de maturité et dans sa correspondance. Il nous permet de comprendre que « la révolution comme moment de l’histoire, intervient de manière directe dans l’élaboration de sa conception des catégories politiques et sociales et de tous ce qui est a l’œuvre dans sa compréhension du mouvement historique ».

En effet pour Marx « la période classique de l’intelligence politique , c’est la révolution française. Loin de percevoir dans le principe de l’État la source des faiblesses sociales, les héros de la révolution française perçoivent au contraire dans les faiblesses sociales la source des maux politiques » ( contre Ruge)

C’est à partir de cette connaissance critique et du regard porté sur les luttes de classes ou encore sur les grands conflits de l’époque et de son temps que se fondera sa théorie de l’histoire revendiquée ultérieurement comme science de l’histoire et qu’il fondera le matérialisme historique. « Ce que j’ai apporté de nouveau par rapport aux historiens et économistes libéraux et bourgeois, c’est démontrer que l’existence des classes n’est liée qu’à des phases historiques déterminées du développement de la production » ( lettre a Weydemeyer du 5 mars 1852) ou encore, dans Misère de la philosophie « ne dites pas que le mouvement social exclut le mouvement politique. Il n’y a jamais de mouvement politique qui ne soit social en même temps » car dit-il aussi « dans contre Ruge » « Toute révolution dissout l’ancienne société ; en ce sens elle est sociale. Toute révolution renverse l’ ancien pouvoir en ce sens elle est politique »

Aujourd’hui , comme nous le rappelle encore Debray, les philosophies de l’histoire sont au piquet pour cause d’idéologie. Les années Mitterrand de ce point de vue, ont été redoutables, en particulier quand il a donné pour tâche de célébrer le bicentenaire à renfort de grand spectacles. Ce fût en réalité une œuvre de toilettage des angles vifs de la révolution, de ce qu’elle avait de populaire, d’actif et profondément novateur, de tranchant si je puis dire en pensant avec ironie à ce que les historiens labellisé par le pouvoir et par ses idéologues nomment la terreur.

En effet « l’ego-histoire se porte bien, le collège de France se porte mieux que l’histoire de France et le Puy du fou encore mieux que le collège », nous dit l’homme d’ « allons aux faits ». De là, une nouvelle économie de la conscience. Tout grand dessein est un dessin à long terme alors que « le court-termisme d’une époque de zapping et de flash ne voit guère plus loin que la prochaine présidentielle », Nous somme entré dans l’ère du cabotage et du « du clapotis du quotidien »

Les événements se réduisent à quelques figures et à la magnificence de leur verbe . Arrogance du présent !

Alors oui devant cette montée de l’insignifiance il faut continuer de nous donner des occasions fraternelles pour continuer dans la mémoire, par les œuvres du peuple, l’œuvre de la révolution, célébrer entre égaux la cause de la liberté . Ces œuvres ce sont les romans populaires et les chansons qui nous viennent de ces temps rudes où les classes populaires ramenaient dans le politique, leur quotidienneté sociale faite de rapports conflictuel aux maîtres et aux exploiteurs. Cette conflictualité qui était et demeure la seule ouverture possible du destin puisque ce sont toujours les moments où l’action des masses se décline, que se décident le contenu des lois progressistes puis leurs applications .

Elles disent avec les mots de tous les jours les actions de chacun, leurs difficultés, leurs douleurs mais aussi leurs joies et leurs moments de convivialités. Nous connaissons tous « le meeting du métropolitain », « la commune n’est pas morte », « le temps des cerises » , « Nini-peau de chien », « le chant des ouvrier », toutes ces petites pièces d’existence que vous retrouverez dans le parolier distribué a l’occasion du banquet. Chacune dit une époque, nous renseigne sur ses détails et sur ses habitus. Mieux qu’un clip, elles nous posent au cœur de leur problématique, au milieux de ce qui faisait la vie de chacun. Elles nous permettent d’intérioriser quelque chose de l’esprit du temps , quelque chose que ne peuvent éteindre les trafiquants de la mémoire. Ceux là veulent nous soumettre à leur idéologies, nous démettre de nos jugements, abraser notre subjectivité . Vous devez en sentir l’influence, comprendre ce que je cherche à en exposer puisque chaque année nous les retrouvons pour un « tous ensemble » chanté et arrosé.

Ce soir, je voudrai vous parler plus précisément d’un livre que j’ai lu pendant les vacances dans un moment difficile et qui m’a redonné une pêche d’enfer à cause de l’optimisme qui le transcendait. Il avait dans son écriture, quelque chose de ce désir de révolution qui nous avait fait sortir de l’ennuie dans lequel, d’après un certain éditorialiste célèbre du monde, la France et sa jeunesse avaient sombré. Ce livre d’une ex établie qui était venue témoigner il y a quelque années, pour le public de l’improbable, d’un « Retour sur la condition ouvrière » avec Michel Pialloux à pour titre « Mathias et la révolution ». Proposition énigmatique raisonnant avec une chanson célèbre des années soixante. Son auteur Leslie Kaplan s’était fait connaître pour un recueil de textes réunis sous le titre « l’excès l’usine » dans lesquels elle parlait de son établissement et des murs qui l’on reçue, c’est a dire de son environnement. Elle décrivait comment l’environnement conditionne l’être de l’usine et donc par conséquence les rapports de ceux qui y travaillent . Ici, elle renouvelle le procédé tout en nous révélant que la ville intra-muros peut servir de musé imaginaire de la révolution quand on prête attention au nom des lieux qui l’organise et l’irrigue .

Mathias a quelques difficultés avec sa copine et il sort prendre l’air. Paris est une ville pleine de ressources ! Elle est surtout caractérisée par une sorte de profondeur qui peut regarder vers des temporalités infinies. On y marche sans fin sur des kilomètres en croisant des foules innombrables . Femmes, enfants , étudiants, travailleurs, touristes, artistes, flâneurs s’y croisent et nous brassent. De page en page, il évolue dans un espace chargé de signes et de noms qui lui donnent des réminiscences. Des scènes de la révolutions s’actualisent au gré des rencontres et des circonstances qu’elles fabriquent. Chacune d’elle trouvent une correspondance dans le présent. Elles se répondent et s’actualisent, donnent à comprendre que rien n’est acquis sans l’intervention humaine. Au gré de ces rencontres, nous faisons connaissance avec le peuple de Paris celui d’hier comme celui d’aujourd’hui . D’ailleurs, arrivé à un certain moment nous faisons la connaissance de Rémi et nous apprenons qu’il fait parti d’une bande surnommée les sans culottes. « Ce qui les avait réuni ? Il y avait déjà bien longtemps, le 21 janvier, jour anniversaire de l’exécution, du roi en 1793, manger la tête de veau. Faire un festin contre la monarchie, les roi, l’armée, toutes les églises. Le banquet durait longtemps, boire manger, et boire dormir…. Des amitiés durables s’étaient crées et ils se retrouvaient régulièrement chez les uns, chez les autres, square Monge ou aux buttes Chaumont ou dans le square Henri Galli, ou sous le pont d’Austerlitz »

L’histoire de Mathias commence sur une phrase « le bonheur est une idée neuve en Europe ». C’est lui qui parle. Il le dit à haute voix, très fort et nous apprenons qu’il venait de la Bastille. Puis quelques instants plus tard, une envie de pleurer le prend. « La révolution est glacée » dit-il alors. Il pense au contrôleur Foulon et à l’intendant Berthier , sa tête sur une pique. « Il a été l’esclave des riches et le tyran des pauvres. Il a bu le sang de la veuve et de l’orphelin ».

Mathias trouve toutes ces phrases dans sa tête. Si elles viennent à lui c’est que l’on y a avait mis ! Elles ne sortent pas de nulle part ! Traces de l’histoire dans son histoire. Traces des leçons d’histoire ? Mais pourquoi aujourd’hui ? Pourquoi dans ce désordre des sentiments. L’auteur ne le dit pas. L’auteur laisse Mathias avec les phrases, qu’il nous récite, comme celle-ci « les maîtres , au lieu de nous civiliser … nous on rendu barbare, parce qu’ils le sont eux même. Ils récoltent et récolteront ce qu’ils ont semé ». La roue, poursuit Mathias dans un murmure, l’écartèlement, le bûcher. Il pense a Marie Antoinette qui est blonde comme Sylvie, sa copine et là on comprends les associations d’idée, la violence interne, l’influence des lieux.

Mathias se reprend mais on le sent entraîné par la confusion de ses sentiments. Il rêve, il rêve la révolution à partir du chaos qu’il vit, les réminiscences épiques et l’environnement qu’il traverse. Une autre phrase vient le troubler « On ne peut régner innocemment. La folie est trop évidente ». Arrivé a ce point il évoque l’Incorruptible, pense aux privilèges, à la nuit du 4 Août, aux grands moments d’enthousiasme de l’assemblée nationale et singulièrement à ce passage tiré de l’intervention d’un député breton : « qu’on nous apporte ces titres qui humilient l’espèce humaine, en exigeant que les hommes soit attelés à une charrue comme les animaux du labourage. Qu’on nous apportent ces titres qui obligent les hommes à battre les étangs pour empêcher les grenouilles de troubler le sommeil de leur voluptueux seigneur ».

Si la joute était belle, il faut dire aussi que la grande éloquence de ces élus du peuple avait pour fond le grondement des révoltes paysannes. C’était la grande peur des privilégiés. Il y avait « des jacqueries partout. Les paysans réclamaient les chartes des droits féodaux pour les brûler. Ils les brûlaient et brûlaient les châteaux. La nuit du 4 août, on a supprimé les droits sur les personnes , les corvées, mais les droits sur la propriété devaient être rachetés. Racheté les droits injustes ? C’est un comble, « l’assemblée nationale détruit entièrement le système féodal », oui mais c’est seulement après la révolution du 10 août 1792, et le renversement de la monarchie, que les droits féodaux sont abolis sans rachat, mais là encore sans décret d’application, et il a fallu attendre la convention montagnarde après la chute de la gironde, en juin 1793, et la répression continue du mouvement paysan, pour qu’ils soient complément supprimés sans indemnités…. »

Mathias pense à l’ordre ancien, à l’ordre nouveau, à la fin du régime féodal, à la fin de la monarchie, à la trahison du roi. Fallait-il un procès ? Fait-il le juger ? « Pour Robespierre et Saint Juste c’était non., pas de procès. Louis ne doit pas mourir parce qu’il est coupable mais parce qu’il est roi Louis ne peut être jugé ; il est déjà condamné ou la république n’est point absoute... » « les peuples … les peuples ne jugent pas comme les cours judiciaires, ils ne rendent pas de sentences, ils lancent la foudre….. ils ne condamnent pas les rois , ils les replongent dans le néant…. »

Tout le roman sera construit sur ces allers et retours entre les noms des lieux, les gens croisées les situations qu’ils vivent et des pages entières de l’histoire de la révolution française. Tout n’est pas qu’affaire de circonstance. Il s’y mêle la volonté et l’action des gens sans quoi rien n’est possible. Mais je vous laisse en découvrir le charme par la lecture du roman lui même s’il s’en trouve pour vous la possibilité, où bien de nous remettre a une rencontre avec l’auteur lui même ce qui reste possible dans l’ordre de nos programmations. En attendant je vous remet aux minutes de notre banquets, c’est a dire a notre capacité d’en faire un moment de commémoration active et joyeux après quelques minutes accordé a « la panne de son » dont lecture va être faite. Nous ne tremperons pas ce soir de brioche dans la soupe, mais nous boirons a l’indépendance du monde.

Gilbert Rémond

Référence biographique :
- Régis Debray « Allons aux Faits » Gallimard France Culture
- Jean Claude Milner » l’ Arrogance du présent » Figure grasset
- Alain Badiou « Petit panthéon portatif – Sartre- » la fabrique
- Karl Marx « Les luttes de classes en France » folio
- Claude Mazauric l’Histoire de la révolution française et la pensée marxiste Actuel Marx PUF
- Leslie Kaplan « Mathias et la Révolution » POL

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