Mais quel est ce faux débat mis en scène autour d’un président au milieu d’une salle avec une petite centaine de (...)
Intervention de Clara Gimenez au Conseil National du 30 janvier
, popularité : 5%
Nous avons besoin d’amplifier notre présence, notre organisation et nos prises de paroles, d’être les porteurs d’un autre modèle de société, une société socialiste, de porter un espoir pour cette classe ouvrière.
Nous avons été dans l’Hérault à la rencontre des travailleurs en lutte, Edf, Schneider ou encore Sanofi. Les salariés que nous avons rencontrés ne se contentent pas de défendre leurs emplois ou leurs métiers, ils élaborent des propositions quant à un vrai service public de l’énergie, à la lutte contre la précarité énergétique, à l’avenir du modèle énergétique français, au besoin d’une recherche publique au service de tous, au besoin d’une réindustrialisation de la Nation.
Ces travailleurs mènent un combat pour la dignité, en même temps qu’un combat de classe.
A chaque fois, nos interventions, celles de nos élu-e-s, et les communications de Fabien sont appréciées et même relayées. Tous ont conscience de la nature profondément politique de leurs luttes, et nous trouvent sur leur chemin comme des porte-voix.
Nous avons besoin d’amplifier notre présence, notre organisation et nos prises de paroles, d’être les porteurs d’un autre modèle de société, une société socialiste, de porter un espoir pour cette classe ouvrière.
Et quoi de mieux qu’un candidat à la présidentielle pour proposer une alternative révolutionnaire au capitalisme, et qui de mieux pour la porter que Fabien qui se fait déjà le relai des luttes sur le terrain mais aussi médiatiquement.
Nous devons nous mettre en ordre de bataille pour affirmer à l’occasion de la présidentielle et des législatives la nécessité d’un Parti Communiste en France pour porter la voix du monde du travail et des quartiers populaires, pour porter une ambition révolutionnaire, que personne ne pourra porter à notre place.
(2002) Lenin (requiem), texte de B. Brecht, musique de H. Eisler