Il faut choisir son camp, par Algirdas Paleckis

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Même si la campagne des présidentielles nous a ramenés vers une vision interne il faudra comme nous tentons de le faire ici voir à quel point c’est toute la planète qui est confrontée aux mêmes questionnements. Nous devons avoir le courage pour être le parti révolutionnaire dont nous avons besoin de nous confronter sur nos bases à nous et contre le trafic mémoriel dont nous sommes victimes à notre bilan, notre apport, nos erreurs, nos fautes, pas du point de vue du capital, du nôtre et c’est ce que ce texte des communistes russes fait à sa manière. En outre, on peut craindre vu l’évolution de la situation que nous allions vers un durcissement du camp capitaliste occidental, toujours plus belliciste et plus anti-démocratique, ce qui se passe en Europe devenue le lieu du combat par procuration d’une hégémonie dépassée témoigne de ce danger, celui d’un ministère de la vérité qui invente notre passé à cette fin. (note de Danielle Bleitrach, traduction de Marianne Dunlop)

https://kprf.ru/international/capitalist/209735.html

Propos recueillis par Yulia MIKHAILOVA, membre du comité central du KPRF.
8 avril 2022

La destruction de l’URSS, qui a eu des conséquences catastrophiques pour la grande majorité de la population soviétique, reste un sujet douloureux et parfois tabou pour les représentants des “nouvelles” autorités des États formés sur son territoire. Les tentatives de revenir sur ces événements, de les étudier en détail et de les analyser, suscitent invariablement leur hostilité et leur colère. Au fil des ans, la répression contre ceux qui cherchent à rétablir la vérité est devenue de plus en plus dure.

Algirdas Paleckis a été le premier homme politique de la Lituanie post-soviétique à être condamné pour avoir “nié l’occupation soviétique”. C’était il y a 10 ans. Et en juillet 2021, le tribunal de district de Siauliai a déclaré le chef de l’opposition lituanienne coupable d’”espionnage pour la Russie”. L’accusation avait précédemment confirmé que le “crime” de Paleckis était d’avoir écrit un livre sur l’affrontement du 13 janvier 1991 près de la tour de télévision de Vilnius et d’avoir recueilli les témoignages de témoins oculaires du massacre.

L’homme politique, publiciste et militant des droits de l’homme lituanien Algirdas Paleckis a répondu à plusieurs de nos questions.

Algirdas Yustasovich, votre procès actuel ressemble à une farce cynique. En décembre 2018, vous avez été placé en détention dans le cadre d’une enquête pénale pour espionnage au profit de la Russie. En même temps, pour autant que je sache, vous n’aviez pas accès à des secrets et n’étiez pas dans la fonction publique. Quel était le motif de votre arrestation ? Quelle était la raison d’une peine aussi sévère infligée par le tribunal de première instance ? Pourquoi font-ils traîner le procès en appel ?

– J’ai été accusé d’avoir été recruté par un “officier non identifié du FSB” et d’avoir transmis des “informations non identifiées à une personne non identifiée”. Je ne plaisante pas, ce sont les citations du verdict, pour lequel le tribunal de première instance demande 6 ans de prison. La cour d’appel conclura, je pense, au printemps. Oui, les choses ont traîné en longueur. Difficile de condamner en l’absence de faits. La raison de toute cette affaire ? Mon intérêt à la fois pour les événements de janvier 1991 et mon travail politique actif.

Les tentatives visant à poursuivre les dirigeants du parti communiste pour les morts à Vilnius en janvier 1991 ont échoué lors des audiences du tribunal. Ils ont été condamnés pour avoir participé activement aux activités du PCUS, qui est interdit en tant que parti politique sur le territoire lituanien. Les événements de janvier 1991 ont fait de vous en 2011 le premier dans l’histoire de la Lituanie post-soviétique à être condamné en vertu de l’article 170 du Code pénal “sur la négation de l’occupation soviétique”. Qu’est-ce qui a poussé les autorités à prendre cette mesure ?

– La peur de la vérité historique. Les autorités ont peur de toute la vérité sur les événements de janvier à Vilnius en 1991. Ils ont donc adopté l’article mentionné afin de punir toute initiative visant à dévoiler toute la vérité.

Sans héroïsme, il ne peut y avoir ni véritable lutte, ni véritable victoire. Vous n’avez pas renoncé à vos convictions malgré les pressions énormes que vous avez subies. Qu’est-ce qui vous a aidé à persévérer ?

– Mon éducation et, probablement, ma force de caractère. D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais eu peur d’aller à l’encontre de ce que je croyais être injuste. Mes parents m’ont inculqué le sens du devoir envers la société et l’idée de travailler pour le bien de tous. Je remercie l’école de l’ambassade soviétique en RDA, où l’on nous a appris dans les années 1970 à lutter pour la justice. Après avoir obtenu mon diplôme de l’université de Vilnius en 1994, j’ai commencé à travailler pour le ministère lituanien des affaires étrangères. Mais je me suis vite rendu compte que la ligne pro-OTAN qu’il suivait n’était pas à mon goût. J’ai fait de la politique. J’ai été membre du Seimas, membre du conseil municipal de Vilnius et son vice-maire. Au cours de la lutte politique, beaucoup de choses sont devenues claires pour moi.

Quelle est, à votre avis, la raison pour laquelle les citoyens du grand pays autrefois uni sont plongés de force dans l’amnésie ? On réécrit l’histoire, on détruit les monuments aux fondateurs de l’État soviétique et à ses figures de proue dans divers domaines…..

– Si nous parlons des Baltes, c’est simple. Depuis 1990, les Américains ont commencé à y régner. Le capitalisme américain est un ennemi historique de l’URSS et de la Russie. Et il a commencé à nous utiliser, nous, l’Ukraine, la République de Moldavie, la Géorgie dans sa guerre. Nous sommes devenus des pions dans le grand jeu américain. Ce n’est pas nous qui avons démoli les monuments que vous avez mentionnés. Les gens ont toujours été et seront toujours contre la démolition de monuments, qu’il s’agisse de monuments à des hommes d’État, des écrivains ou des militaires. Ils sont démolis par les collaborateurs locaux pro-américains au pouvoir.

Ils ne sont pas des créateurs. Ils sont des gens de passage. Leur objectif n’est pas seulement de vendre l’espace libéré dans le centre-ville pour se remplir les poches, mais aussi de détruire le patrimoine culturel. Ces gens comprennent qu’ils ne peuvent gouverner que s’ils privent les gens de leur mémoire historique. Ils ont peur de toute discussion ouverte sur l’histoire de la Lituanie et de l’ensemble des pays baltes. En effet, il apparaîtrait au grand jour qu’au cours des 30 dernières années, le patrimoine culturel et industriel, l’éducation, la médecine, le logement et les services publics ont été détruits. Tout. Nos morales traditionnelles sont également attaquées. Afin de couvrir et d’occulter l’ensemble de ce processus, ces gestionnaires ont eu besoin de l’article du code pénal “Sur la négation de l’occupation soviétique” mentionné ci-dessus. Maintenant, ils peuvent l’utiliser pour faire taire tout militant de l’opposition.

En 1991, vous étiez étudiant à l’université de Vilnius. Quels sentiments prévalaient alors parmi les étudiants ? Beaucoup étaient-ils sincèrement attachés aux idées du socialisme ?

– Non, la population estudiantine lituanienne était principalement soit nationaliste, soit petite-bourgeoise. Et d’autres couches de notre société aussi. Ici, d’ailleurs, il faut distinguer le nationalisme de grande nation et le nationalisme de petite nation – Lénine a déjà écrit à ce sujet. En outre, à la fin de l’Union soviétique, ses dirigeants n’avaient plus le contrôle de nombreux processus en Lituanie. Des erreurs ont été commises tant dans la politique nationale, qui manquait de sensibilité aux problèmes nationaux, que dans l’éducation, qui propageait furtivement des valeurs bourgeoises.

Le parti s’éloignait du peuple, et il n’y avait pas de discussion ouverte en son sein. Le détournement des biens des entreprises devenait monnaie courante : je l’ai constaté moi-même au cours de mes stages [cela s’appelait “praktika” à l’époque, avec un fort contenu soviétique, c’est le terme utilisé par l’auteur, NdT]. En bref, les dirigeants soviétiques pouvaient être tenus pour largement responsables du sourd mécontentement qui couvait dans les pays baltes. Une autre chose est que quelqu’un a réussi à en tirer profit, en premier lieu, les États-Unis. Par conséquent, les événements de janvier 1991 ont été perçus en Lituanie de manière ambiguë, et dans l’environnement de la jeunesse, qui est caractérisé par l’opposition, il y avait suffisamment de sentiments antisoviétiques.

Aujourd’hui, 30 ans plus tard, les gens se rendent-ils compte que les “vainqueurs” n’ont rien pu leur offrir à la place de l’idée socialiste ?

– Dans un pays qui suit la voie libérale et purement marchande, seuls les fricoteurs se sentent bien. Environ 30 % de la population lituanienne vit dans la pauvreté. Élever des enfants coûte cher, les traitements médicaux coûtent cher. Il y a de nombreuses raisons d’être stressé. Et il n’y a pas assez d’emplois bien rémunérés, alors les gens émigrent. L’”idée capitaliste” s’est avérée désastreuse pour le peuple lituanien, dont le nombre ne cesse de diminuer. Nous sommes maintenant environ 2,7 millions, alors qu’en 1989, nous étions près de 4 millions. Le pays occupe les premières places en Europe pour le taux de suicide, la consommation d’alcool, les inégalités sociales, et aujourd’hui aussi pour le taux de mortalité par СОVID-19. La Lituanie moderne est l’un des outsiders de l’Union européenne pour tous les indicateurs sociaux.

Les gestionnaires n’ont pas appris la dialectique et ont ruiné la Lituanie, avec leurs dogmes de marché. Oui, de plus en plus de personnes en Lituanie se rendent compte qu’elles ont simplement été “arnaquées”.

La Lituanie soviétique était célèbre pour ses nombreuses figures exceptionnelles de la culture nationale. Est-ce qu’elle se développe aujourd’hui ? Ou est-elle mise sur les rails du “monde”, et de fait – américanisée ?

– La comparaison de la culture de la Lituanie soviétique et des substituts culturels d’aujourd’hui est éloquente.

L’un de nos philosophes a appelé la période soviétique de son développement “l’âge d’or de la culture lituanienne”. Et en effet, la Lituanie n’a jamais eu de réalisations aussi remarquables qu’à cette époque. Les noms des écrivains Juozas Baltušys et Jonas Avižius, des poètes Eduardas Meželaitis et Justinas Marcinkevičius, des directeurs de théâtre Juozas Miltinis et Henrikas Vanckevičius, des acteurs Donatas Banionis, Regimantas Adomaitis, Juozas Budraitis, Algimantas Masiulis, des sculpteurs Gediminas Jokubonis et Juozas Mikenas, des chanteurs d’opéra Virgilius Noreika et Edvardas Kaniava, de l’artiste Stasys Krasauskas (dont la photo orne encore les pages de votre magazine littéraire Yunost dans les réseaux sociaux) étaient connus bien au-delà de la Lituanie et de l’Union soviétique.

Et qu’avons-nous aujourd’hui ? Un poète lituanien exceptionnel, Eduardas Mieželaitis, dont le nom et l’œuvre sont complètement oubliés dans la Lituanie moderne, a eu le temps de voir les premiers fruits de la politique “culturelle” des nouvelles autorités. Dans l’une de ses rares interviews de ces dernières années, il a déclaré qu’après les “réformateurs” actuels, un trou profond serait laissé à la place de la culture lituanienne, comme après l’invasion d’Hitler.

L’antisoviétisme et la russophobie font partie intégrante de l’arsenal de l’Occident moderne, qui cherche à détruire définitivement le souvenir d’une Russie forte, qui a uni de nombreux peuples au XXe siècle. La Lituanie ne fait pas exception. La langue russe est-elle vivante en Lituanie ? La culture russe est-elle représentée de quelque manière que ce soit ? L’histoire et la littérature russes soviétiques sont-elles enseignées dans les écoles ?

– La russophobie dans notre pays a en fait été élevée au rang de politique d’État. On peut dire qu’elle est devenue une sorte d’idée nationale. L’espace de la culture russe en Lituanie se réduit progressivement. Cela s’explique en partie par des raisons naturelles : la minorité russe en Lituanie a presque diminué de moitié par rapport à l’époque soviétique, et un certain nombre d’écoles russes ont fermé.

Mais il existe également une politique consciente de restriction de la langue russe : la diffusion de chaînes de télévision russes est parfois interdite, les concerts et autres activités de personnalités culturelles russes sont interdits, etc. L’histoire russe est étudiée de manière très superficielle dans les écoles. Et l’étude de l’histoire soviétique est hors de question – cette période est appelée “un trou noir” et elle ne peut pas être mentionnée objectivement, parce que l’article du code pénal, que vous avez déjà mentionné, fonctionne.

En un mot, les autorités lituaniennes sont en guerre avec la géographie du pays et son histoire séculaire, au cours de laquelle les liens étroits, culturels et autres, de la Lituanie avec la Russie et la République du Belarus se sont formés et développés.

Mais tout cela est dicté de l’extérieur et ne sert pas les intérêts du pays : la Lituanie n’a pas de politique indépendante, ni intérieure ni extérieure.

Beaucoup de gens se rendent compte aujourd’hui que le capitalisme sous sa forme actuelle est définitivement épuisé, et que tous les domaines de la vie sociale se dégradent. Un virage à gauche est nécessaire pour faire avancer le progrès. À votre avis, quelles sont les perspectives de l’idéologie de gauche et du parti de gauche en Lituanie ?

Il est de plus en plus évident que le capitalisme mondial conduit l’humanité dans une impasse sociale, écologique et morale, l’amenant au bord de l’autodestruction ou de la transformation en un camp de concentration numérique. Mais on ne peut nier l’existence d’un conflit de civilisations, comme en témoigne, par exemple, l’éternel antagonisme des mondes anglo-saxon et russe. Le virage à gauche est nécessaire, mais je crois que dans chaque région, il prendra sa forme particulière, ses caractéristiques propres.

En tout cas, je suis un optimiste historique. Avec des personnes partageant les mêmes idées, nous avons fondé le mouvement public de gauche “Aube de la justice” en Lituanie, que nous transformons actuellement en un parti politique portant le même nom. L’un des points de notre programme est de rétablir des relations de bon voisinage avec la Russie et le Belarus. En général, nous prônons la justice sociale, la restauration de la souveraineté de l’État lituanien et la vérité historique.

Le récent congrès du mouvement politique lituanien “Aube de la justice”, qui a rassemblé des représentants de nombreuses régions lituaniennes, vous a désigné comme candidat à la présidence. Les orateurs du congrès ont noté que la nomination de Paleckis est un pas concret vers la formation d’une alternative au système “Landsbergiste”. Quelles sont les principales thèses de votre programme en tant que candidat au poste de chef de l’État ?

– Tout d’abord, l’aspiration à la justice sociale, l’établissement de relations de bon voisinage avec les pays environnants, la fin de la psychose militariste.

Il faut maintenant développer la diplomatie de peuple à peuple. La première visite d’une délégation de la société civile lituanienne en République de Biélorussie en janvier 2022 a eu un grand retentissement en Lituanie. Les gens ont apprécié le courage des membres qui se sont rendus à Minsk, sachant que les forces encore puissantes en Lituanie allaient déchaîner sur eux toute la force de la machine à informer. Mais les temps changent. Le plus important aujourd’hui est de maintenir des contacts directs entre les pays et les peuples. Nous devons développer des initiatives d’échanges de délégations culturelles, d’experts, d’échanges d’informations : téléconférences, forums économiques.

Nous devons chercher ensemble des moyens de protéger les travailleurs ordinaires qui constituent l’épine dorsale de nos pays. Il n’y a pas d’autre voie que celle de la paix, des contacts, de la coopération et du bon voisinage !

Les États baltes sont ouvertement hostiles à la Russie. L’opération militaire spéciale de la Russie en Ukraine, qui a débuté le 24 février, a suscité de vives critiques de la part des pays occidentaux et de la Lituanie officielle. Quel est votre point de vue sur ces événements ?

– L’opération spéciale russe en Ukraine est une conséquence directe du coup d’État du Maidan. Déjà à l’époque, un autre scénario aurait pu être prédit. Celui qui vient avec une épée meurt par l’épée.

Les nationalistes ukrainiens radicaux de l’ouest de l’Ukraine constituaient une minorité absolue de la population du pays. Cependant, ils constituaient une minorité bien organisée, fanatique et soutenue par l’Occident. Entre leurs mains, l’Occident a cherché à dérussifier l’Ukraine, où les Russes ou les russophones constituaient une grande partie de la population et, dans l’est de l’Ukraine et en Crimée, une majorité absolue.

L’Occident a cherché à faire de l’Ukraine une sorte d’anti-Russie, destinée à briser les liens fraternels et de parenté de la population. L’Ukraine a été militarisée, intégrée dans la sphère d’influence de l’OTAN, et des armes ont été placées sur son territoire contre la Russie.

Les négociations au format de Minsk n’ont pas fonctionné ; Kiev a refusé de parler au Donbass. Le président Vladimir Zelensky, précédemment dépeint comme une “colombe de la paix” et un “serviteur du peuple”, est devenu un “faucon” après l’élection, servant fidèlement l’Amérique.

Cela ne pouvait pas durer. Nous, patriotes de gauche, l’avons dit en 2014. Les événements nous ont donné raison.

Les États-Unis ont utilisé l’Ukraine pour stopper le développement de la Russie. Washington a utilisé les pays baltes dans le même but, en installant des régimes nationalistes radicaux, pro-américains et russophobes dans les anciennes républiques de l’Union soviétique. Par conséquent, la responsabilité de la tragédie ukrainienne incombe avant tout aux États-Unis et à leurs marionnettes.

Une dernière chose. Où étaient les amis actuels de l’Ukraine lorsque les nationalistes du Maïdan lançaient des cocktails Molotov sur la police ? Où étaient les amis actuels de l’Ukraine lorsque des nationalistes ont brûlé vifs 48 personnes dans la Maison des syndicats d’Odessa ? Lorsque les nationalistes ont tiré pendant 8 ans sur les habitants des régions de Donetsk et de Lougansk – femmes, enfants et personnes âgées ? Alors que personne à Kiev n’allait enquêter sur ces crimes ? Lorsque la vie du pays était de facto contrôlée par une force étrangère – les États-Unis d’Amérique, dont les émissaires se sont installés dans les plus importants couloirs du pouvoir ukrainien ?

Il ne peut y avoir de compromis entre le nationalisme et le nazisme d’une part et l’humanité et la justice d’autre part !

Un côté ou l’autre gagnera. Et dans cette confrontation, chacun doit faire son choix.

Voir en ligne : sur le blog de danielle bleitrach, histoireetsociete.com

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