Mais quel est ce faux débat mis en scène autour d’un président au milieu d’une salle avec une petite centaine de (...)
Mais quel est ce faux débat mis en scène autour d’un président au milieu d’une salle avec une petite centaine de (...)
Les retombées positives d’une stratégie catastrophique, mais faut pas que ça dure trop…
... Les communistes sont (...)
Résultats de la consultation des communistes sur le choix de leur base commune pour le 38eme congrès extraordinaire (...)
Rendez vous national des signataires du manifeste et moment de convivialité
Samedi matin à 10h30
au stand du Nord (...)
La plateforme mise en place pour la préparation du congrès 2018 du PCF s’appuie sur un outil technique très avancé... (...)
Rappel pour les communistes intéressés par le réseau "Faire Vivre et Renforcer le PCF". Rencontre nationale ce samedi (...)
Emmanuel Dang Tran, auteur du texte alternatif nr 4 du congrès du PCF continue à utiliser une formule qu’il avait (...)
Un appel contre la participation du Parti communiste français aux « primaires de la gauche » vient d’être lancé.
Nous (...)
Pour unir les communistes, respecter les décisions de leurs organisations de base !
Le conflit entre la section de (...)
Annonces
Un film
Sur une musique de Hans Eisler, le requiem Lenin, écrit sur commande du PCUS pour le 20ème anniversaire de la mort de Illytch, mais jamais joué en URSS... avec un texte de Bertold Brecht, et des images d’hier et aujourd’hui de ces luttes de classes qui font l’histoire encore et toujours...
Le 21 mars 2009, 155 militants, de 29 départements réunis à Malakoff signataires du texte alternatif du 34ème congrès « Faire vivre et renforcer le PCF, une exigence de notre temps ». lire la déclaration complète et les signataires
Les résultats de la consultation des 16, 17 et 18 juin sont maintenant connus. Les enjeux sont importants et il nous faut donc les examiner pour en tirer les enseignements qui nous seront utiles pour l’avenir.
Un peu plus d’un tiers des adhérents a participé à cette consultation, soit une participation en hausse par rapport aux précédents votes, dans un contexte de baisse des cotisants.
... lire la suite
Unir les communistes pour un PCF de combat, marxiste, populaire et rassembleur
Texte signé par 542 communistes de 64 départements présenté au 36eme congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3694 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 33 623 exprimés) .
Texte nr 3, Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF et son résumé.
Signé par 626 communistes de 66 départements, dont 15 départements avec plus de 10 signataires, présenté au 37eme congrès du PCF comme base de discussion. Il a obtenu 3.755 voix à la consultation interne pour le choix de la base commune (sur 24.376 exprimés).
Extraordinaire ! Ce n’est pas possible que tu aies lu le texte présenté ci-dessus : tu lui donnes la signification à laquelle tu as rêvée… Je ne sais pas si tu t’en es rendu compte, mais ce texte ne partage absolument pas les conclusions de la Conférence nationale, il les combat. Notre texte est un texte d’opposition !
Mais revenons à tes arguments qui sont à l’opposé des nôtres. Il est clair que Podemos, Syrisa ou autres Front de gauche sont des impasses desquelles il faut se dégager ! Ces pseudo-solutions entraînent tout mouvement de contestation de ce que l’on subit, dans des illusions réformistes qui, à terme, amèneront à la disparition totale de toute contestation. Ces mouvements s’accommodent du capitalisme, prétendent le gérer sans le remettre en cause, alors que dans son stade actuel de "développement", il ne pourra y avoir de solution que dans une société de rupture, le socialisme. Il est clair qu’à chaque argument que tu développes, je pense l’inverse… Le spontanéisme gauchiste n’a jamais conduit à aucune révolution. Pour lutter efficacement contre le capitalisme, un parti communiste est indispensable. D’une part pour s’organiser, et d’autre part pour analyser correctement ce que l’on combat, et donc pour apporter des solutions révolutionnaires. Il est clair que le PCF actuel n’est pas ce parti. Ses dirigeants sont des réformistes qui cherchent à faire définitivement disparaitre la nature d’origine du PCF.
Autre divergence fondamentale. En tant que communiste, je pense que le libéralisme n’existe pas. C’est de la pure construction idéologique qui, dans sa perversité, fait croire à l’inverse de la réalité. Car pour combattre le capitalisme, il faut le connaître. Je te conseille donc de lire quelques textes de Marx, Engels et Lénine pour commencer à te faire une idée de ce que tu prétends combattre. Le capitalisme est bien l’inverse du libéralisme. Il exerce une dictature sur les travailleurs (ceux qui ne possèdent que leur force de travail à vendre au plus offrant) afin de les empêcher de se libérer de l’exploitation de l’homme par l’homme. C’est ce que les communistes ont étudié et analysé depuis des générations (http://lepcf.fr/Les-communistes-et-l-Etat-1). Contrairement à ce que tu crois, le capitalisme n’a jamais autant accru son emprise autoritaire et répressive sur la société que par l’intermédiaire de l’État et des organismes supranationaux que sont l’OTAN, le FMI, l’OMC, le tribunal international et pour les pays européens, l’UE. Refuser de s’en rendre compte, c’est être complètement désarmé. Je conteste donc catégoriquement ce terme utilisé par les réformistes qui permet de contourner le vrai problème : le capitalisme. Ce dernier ne connait que la force et la répression, particulièrement sur le plan économique, et lorsqu’il est dépassé par un cadre encore trop démocratique, il fait appel à son bras autoritaire, le fascisme.
Je suis désolé de te le dire, mais les arguments que tu développes relèvent du spontanéisme et ne mèneront à rien. Tu conclus que "Faire gagner nos idées ou faire gagner seulement le PCF, à un moment il faudra choisir !", et bien moi je soutiens qu’il ne pourra y avoir de véritable transformation de la société sans un parti communiste fort et influent. Tout le reste n’est que baratin. Enfin, en ce qui concerne les pays socialistes, tu te fais l’écho de l’idéologie dominante qui n’est jamais que celle de la classe dominante.