Conseil National des 16 et 17 mars - commentaires Conseil National des 16 et 17 mars 2019-03-23T19:30:35Z http://lepcf.fr/Conseil-National-des-16-et-17-mars#comment3721 2019-03-23T19:30:35Z <p>En total accord avec l'analyse de BERNARD SARTRON sur se texte. <br class="autobr" /> FRATERNELLE SALUTATION BOLCHEVICK</p> Conseil National des 16 et 17 mars 2019-03-23T06:25:43Z http://lepcf.fr/Conseil-National-des-16-et-17-mars#comment3720 2019-03-23T06:25:43Z <p>L'exemple algérien est instructif. Ce ne sont jamais les partis qui décident des moments historiques, mais les moments historiques qui révèlent ce que sont les partis.</p> <p>Et un moment historique, c'est quand des millions de gens se lèvent, pas seulement quand des milliers ou même des centaines de milliers se lèvent.</p> <p>Ce qui a rendu irrésistible le mouvement algérien, c'est que la grande majorité du peuple agit, et que cette force était telle que le pouvoir n'a pu utiliser la violence, car le mouvement ne lui en a pas laissé l'occasion, par sa masse, mais aussi par son refus de la violence, compte tenu de la terrible expérience des dix années de guerre civile.</p> <p>C'est un message aux luttes sociales en France et notamment aux gilets jaunes. Non, la violence ne fait jamais peur au pouvoir, c'est le peuple qui lui fait peur, et la violence divise le peuple... qui est donc moins fort, et fait moins peur au pouvoir.</p> <p>Il faut espérer que les efforts faits en janvier par les gilets jaunes pour déclarer des manifestations et organiser des services d'ordre aboutissent, contrairement à la fin de journée parisienne du samedi 16...</p> Conseil National des 16 et 17 mars 2019-03-22T13:50:30Z http://lepcf.fr/Conseil-National-des-16-et-17-mars#comment3718 2019-03-22T13:50:30Z <p>Pour mettre des millions de travailleurs-retraités-jeunes dans la rue pour supprimer le système capitaliste il faut organiser une grève générale insurrectionnelle basée sur un programme vraiment révolutionnaire sans compromis avec la grande bourgeoisie . Cela est possible aujourd'hui alors que le système est incapable de changer quoi que ce soit à son système économique financiarisé à mort . Il faut pour cela unir tous les révolutionnaires (PCF-NPA-LO-POI-Insoumis) et sortir de cette logique électorale qui n'aboutit à rien et que désertent les masses populaires . Changeons cette stratégie électoraliste qui démobilise les militants et qui ne change rien au système comme nous le voyons quotidiennement depuis des dizaines d'années. Même avec la proportionnelle la bourgeoisie gardera le pouvoir et le peuple exploité restera dans la misère et le manque d'avenir. Sans transformation révolutionnaire des institutions actuelles aux mains des valets de la grande bourgeoisie nous ne pourrons rien faire , ce qui se vérifie depuis 1958 avec le pouvoir gaulliste, giscardien, mitterrandien , chiraquien , et les 3 bandits Sarkozy-Hollande-Macron qui se sont succédé en renforçant le chômage et la misère ... Alors changeons de stratégie , mais sommes-nous suffisamment hardis et intelligents pour réussir cette révolution si nécessaire ??????</p> Conseil National des 16 et 17 mars 2019-03-18T11:30:30Z http://lepcf.fr/Conseil-National-des-16-et-17-mars#comment3715 2019-03-18T11:30:30Z <p>Cette info lue sur L'édition des abonnés de « Chez Pol » :<br class="autobr" /> Européennes : Roussel (PCF) s'inspire des discours de Georges Marchais de 1979</p> <p>Pour bien préparer la campagne des européennes où le PCF présente sa propre liste, Fabien Roussel a relu les discours prononcés par son illustre prédécesseur Georges Marchais pour le même scrutin en 1979. « C'est incroyable de lucidité et d'actualité. Il dénonçait déjà les traités. Il disait : 'Ça engendre le chômage, ça va favoriser la montée de l'extrême droite et ça va tuer notre industrie' », explique le patron des communistes. Une manière aussi de vanter la « constance » et la « cohérence » du PCF sur les sujets européens. Il souligne que c'est « le seul parti de gauche qui a toujours voté contre tous les traités », à la différence des socialistes et même de Jean-Luc Mélenchon, qui a depuis reconnu son erreur d'avoir voté le traité de Maastricht. Suffisant pour s'attirer les faveurs des électeurs de gauche qui auront l'embarras du choix entre plusieurs listes ? « Ils peuvent nous faire confiance, on n'a jamais trahi », fait valoir Fabien Roussel.<br class="autobr" /> (extrait de Chez Pol, notre newsletter politique quotidienne réservée aux abonnés)</p>