L’urgence de "Grand Débat" à propos de l’Union Européenne - commentaires

L'urgence de "Grand Débat" à propos de l'Union Européenne

Non à la dictature capitaliste -financier mondialisée et de L'EU supranationale fasciste qui écrase les peuples et les conquêtes sociales.
OUI à la dictature prolétarienne bolchevik pour le communisme,
l'indépendance des nations et sans ingérence des supers puissances impérialistes.
NON aux sociaux-démocrates- traîtres.
OUI à la bolchevisation des états, VIVE AUX GRANDS LENIN ET STALIN ,VIVE LE COMMUNISME.
FRATERNELLEMENT
IWONA DOTTA

L'urgence de "Grand Débat" à propos de l'Union Européenne

Je pense que le capitalisme et l'Etat sont déjà en dépérissement en Occident alors que dans les pays du tiers monde l'Etat est en voie de construction avec un capitalisme monopoliste d'Etat. L'Asie avec la Chine en pointe sont en passe de dépasser l'occident dans tous les domaines , ce qui appauvrit de fait le capitalisme occidental d'où les réactions de Trump sans vraiment aucune portée puisqu'il est englué dans une déficit record avec une armée qui coûte les yeux de la tête aux citoyens américains.
L'Europe est en échec parce qu'elle n'est pas fédérale avec une monnaie de type Mark qui fragilise tout les pays de tradition catholique avec une industrie manufacturière en déclin, avec une agriculture concurrencée par les produits à bas coûts de l'est européen, du Canada et du Brésil . La concurrence libre et non faussée met à mal nos industries françaises déclinantes et nos salaires de travailleurs. L'Europe de Maastricht est en train de couler par la force des choses du système économique. La réaction des masses face à cette crise se traduit par un sentiment anti-européen et un vote de plus en plus nationaliste ou une abstention massive. Tous les gouvernements de la zone Euro sont fragilisés et ne peuvent rien faire pour changer le cours des choses et leurs peuples sont laissés à leur sort et à la débrouille pour les plus intelligents . Alors il ne reste plus que la révolte pour changer le cours de l'histoire et c'est ce qui se déroule aujourd'hui avec les gilets jaunes et autres mouvements revendicatifs qui s'expriment avec de plus en plus de force . La grande bourgeoisie est mise au défi de son remplacement et elle cherche des solutions pour perdurer encore un peu par la peur et la répression. Mais le peut-elle ? L'histoire a une logique indépassable à travers les générations qui se succèdent et une classe dominante ne peut le rester quand son système économique se meurt par manque de résultats . Marx décrit d'une manière irréfutable cette logique historique .
Le mouvement révolutionnaire a donc toutes les raisons d'être optimiste et le succès de la Chine communiste va aider , plus que l'ancienne URSS, ce mouvement grâce à ses succès économiques bien pensés et bien dirigés par le PC Chinois qui a des dirigeants hors pair grâce à cette longue civilisation de l'empire du milieu. Les salariés des pays occidentaux n'ont plus les avantages liés à la colonisation des pays africains et asiatiques et ils sont obligés de revoir leur façon de vivre et aussi de revoir tout le système économique que leur a imposé la bourgeoisie capitaliste à travers ses gouvernants et son patronat. La société communiste est à l'ordre du jour et elle va s'installer progressivement malgré les obstacles idéologiques des anciennes générations conservatrices (le vote Macron le démontre). Les jeunes générations sont donc celles qui vont faire bouger la société en profondeur , déjà les jeunes femmes ont obtenu le respect par leur lutte féministe . La jeunesse de tous temps a fait bouger les sociétés depuis l'âge préhistorique et cela continue .... La mondialisation encourage les milliards d'hommes et de femmes de voir l'avenir de la planète autrement que gérer par le capitalisme qui a fait son temps...

L'urgence de "Grand Débat" à propos de l'Union Européenne

@ Pboularand
Le texte de Herrera est bourré d'idées qui auraient été des vérités, il y a 50 ans. Seulement, en un demi siècle le capitalisme a poursuivi son évolution dans la recherche effrénée du profit maximum. Quand un artisan fabriquait 100 pôts de confiture, en 1950, et les diffusait dans un département, la situation n'était pas comparable avec celle du capitaliste de 2019 qui, avec 1000 employés, en fabrique 1 000 000 qu'il diffuse en dans toute l'Europe, et même au delà.
Quand, en 1848, Marx constate la "circumnavigation", il ne demande pas son abolition, il explique que le prolétariat doit tout faire pour en tirer un max d'avantages au détriment des profits bourgeois.
Comme tous les euro-sceptiques, Herrera, préconise le retour sur les frontières nationales, comme si le combat anticapitaliste pouvait, comme du temps de Déroulède, se muer en combat pour l'Alsace-lorraine. Ou alors, sans ouvertement le dire, en sous-entendant que les capitalistes tricolores seraient finalement plus cool, pour le prolétariat, que les capitalistes européens. Comme s'il était encore possible de réaliser ce que l'URSS, a finalement raté, à savoir le "socialisme dans un seul pays".
Herrera, croit qu'on peut bien vivre en France, même si la vie était plus dure en Allemagne, ou en Belgique, et que comme avant 1789, les prolos ne savent pas se qui se passe au delà des frontières. Comme si la lutte des classes était soluble, par immersion, dans l'UE ou tout autre organisation supra-nationale.
En fait, comme bien d'autres, Herrera croît à l'éternité des nations alors que, dès leur apparition, la rouille de la vie attaque cette superstructure dont le destin final est l'obsolescence qui la frappera, sans rémission possible, dès que le capitalisme, cessant de dominer la planète, l'état lui-même, entrera en dépérissement.

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Excellente analyse de Rémy Herrera sur les contradictions d'une Europe qui n'existe que pour et par la finance au mépris de la plus élémentaire démocratie et des justes revendications populaires.
Le vote de 2005 sur le Traité Constitutionnel et les "réformes" Macron en témoignent.
L'argument "c'est l'Europe ou la guerre" ne tient pas. La situation économique de l'Allemagne à l'issue du Traité de Versailles et la misère du peuple allemand organisée par les "vainqueurs" (notamment la France, l'Angleterre et les Etats-Unis ont poussé le peuple allemand dans les bras du fascisme. A l'Est c'est également la misère des peuples qui a procédé à l'avènement d'un régime socialiste qui s'est avéré par la suite être un pouvoir dictatorial.
Et c'est bien la misère qui aujourd'hui fait descendre les "Gilets jaunes" dans la rue. Gageons qu'entre ces deux exemples ils auront la sagesse de détruire le capitalisme en conservant la liberté.

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@Agius Alain
Le pb c'est surtout la faiblesse des arguments. C'est la politique par les tripes, plutôt que par le cerveau...

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C'est toujours les même qui critiquent

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Je ne voterai pas pour le blairiste Brossat allié aux macronistes à la Ville de Paris.