Il n’y a pas d'« exit » heureux - commentairesIl n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-25T13:05:33Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35802019-01-25T13:05:33Z<p>@ Brula<br class="autobr" />
La puissance du capitalisme sur une contrée dépends surtout du rapport des forces entre les exploités et les exploiteurs, Après un Brexit ou un Frexit, rien ne permet d'affirmer que la bourgeoisie pourrait être moins vorace, et le prolétariat plus combatif. Et c'est, évidemment lui, qui, in fine, devrait éponger tous les droits de douane...</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-25T11:21:41Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35792019-01-25T11:21:41Z<p>Il faut lire ce qui est écrit ; cette remarque est de la manipulation.</p>
<p>D'une part, c'est moi qui ait écrit : "<i> la sortie seule de l'UE et de l'Euro serait déjà un sacré coin enfoncé dans le capitalisme</i>" et non le camarade Allègre, donc le mieux serait de s'adresser directement à moi.</p>
<p>D'autre part, cette remarque ne concerne pas le Brexit, puisque la Grande-Bretagne n'est pas inféodée à l'Euro, mais bien à la France. Effectivement, l'UE tient essentiellement par le couple franco-allemand, la bourgeoisie française s'étant arrimée au capitalisme allemand (l'histoire se répète...). Donc si la France se retire de l'UE et donc de l'euro, le système explose. Et sans sortie du capitalisme (mais avec ce serait mieux), ce serait effectivement un "<i>sacré coin enfoncé dans le capitalisme</i>", compte tenu que si cela se passait, le rapport des forces aurait fondamentalement changé et ouvrirait d'autres horizons.</p>
<p>Quant au Brexit, il participe globalement à l'affaiblissement des forces capitalistes, mais de manière moins importante ; car il participe à l'affaiblissement de l'UE, et c'est pour cela que la bataille fait rage et que dans les médias on nous fait le coup du catastrophisme. Il faut quand même aussi se rendre compte que le gouvernement de Thérésa May est contre le Brexit et qu'elle fait tout pour le saboter...</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-24T11:53:06Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35732019-01-24T11:53:06Z<p>L'Union Européenne est un piège fasciste et antisociale ( Europe supranational capitaliste)<br class="autobr" />
Les mêmes qui ont soutenu Hitler dans son projet de grande Europe et de l'éradication du communisme.<br class="autobr" />
Les mêmes qui voulaient L'UE ( et ils l'ont fait) L'UE C'EST LA CONSTITUTION DES BANQUES<br class="autobr" />
ET DES MULTINATIONALES. <br class="autobr" />
Donc les institutions Européennes ont été voulu ,financées, promues, dans les médias par ces banques.<br class="autobr" />
Et finalement c'est leurs constitutions qui est appliqué<br class="autobr" />
Article 63<br class="autobr" />
Liberté totale des mouvement de capitaux ( interdiction aux états de limiter les circulation de capitaux.<br class="autobr" />
Des marchandises,et des entreprises.<br class="autobr" />
Article 123<br class="autobr" />
La création monétaire est interdite aux pays membres de L'UE, et obligent les états d'emprunter aux banques privées ( avec intérêts bien sûr)<br class="autobr" />
et mise en esclavagent des peuples par apport a leurs endettement .<br class="autobr" />
Sans sortir de L'UE ET DU CAPITALISME financier , il est impossible de mener une politique de réindustrialisation ,et sociale,pour mettre la France sur le chemin du socialiste pour le communisme.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-24T10:41:29Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35722019-01-24T10:41:29Z<p>@ allègre<br class="autobr" />
Selon vous, le Brexit est donc " un sacré coin enfoncé dans le capitalisme", j'avoue, umblement, mon septicisme...</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-24T08:21:35Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35712019-01-24T08:21:35Z<p>@ PBJN<br class="autobr" />
Vous soulevez divers problèmes qui méritent attention.<br class="autobr" />
1- "L'oeuvre de la bourgeoisie" n'est évidemment jamais complètement finie, Mais il suffit de lire Marx et Lénine pour comprendre que l'important est l'accumulation primitive du capital qui permet au prolétaire de dépasser toujours plus la production nécessaire à sa seule survie (reproduction de la force de travail).<br class="autobr" />
2- Quand au patriotisme, il est pour moi positif quand il est "non-bourgeois" (KM), c'est à dire quand il rapproche les prolos au lieu de les opposer. Pour moi, contrairement à quelques posts de ce fil, les situations de classe sont plus importantes que les nationalités. Un bourgeois allemand est, pour moi, plutôt bourgeois qu'allemand, idm pour les prolos... J'observe que si les sentiments nationaux chinois ou cubain sont convoqués par les PCC, jamais le nationalisme n'est flirté.... Au passage il serai bon de revoir la critique "grand-russienne" de Lénine, contre Staline, et les siens, dans l'affaire de la Georgie. <br class="autobr" />
3- Vous liez la désindustrialisation française avec l'€ "allemand" ? En fait, si la bourgeoisie française a abandonné des industries, c'est un pb de profits, qui sont, parfois, plus faciles à obtenir dans la banque que dans la construction de modules industriels. La BCE a imprimé ces dernières années 750 milliards, versée gratuitement dans les cagnottes bancaires. Il aurait été plus judicieux, selon moi, soit de distribuer ce pactole aux états de la zone, soit de financer une vaste opération industrielle européenne.<br class="autobr" />
4- On peut toujours redouter le "militarisme allemand", mais par rapport aux autres peuples européens, je pense que les allemands sont, désormais, plutôt bien vaccinés contre cette maladie.<br class="autobr" />
5- Quand ALR parle des dérives de ceux, nombreux, de la bourgeoisie française qui furent aspirés par le nazisme, elle note que l'argument de fond c'était : "plutôt Hitler que le Front Populaire". Plus qu'un penchant irréprescible vers le nazisme, le profit, toujours le profit, rien que le profit...<br class="autobr" />
6- Enfin, l'URSS pouvait-elle devenir socialiste ? Bien sûr, le socialisme est, et sera, universel. Encore faut-il que la base économique, accumulation primitive du capital soit disponible. C'est dans cette acquisition que l'URSS a failli en défrichant une voie, "le socialisme dans un seul pays" qui n'avait pas d'issue positive. La Chine a attaque le pb par un autre bout, qui vivra verra...</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-23T22:35:47Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35702019-01-23T22:35:47Z<p>Tout à fait d'accord avec Pascal Brula quand il écrit :" la sortie seule de l'UE et de l'Euro serait déjà un sacré coin enfoncé dans le capitalisme". Ce serait une première et essentielle victoire pour notre peuple mais aussi pour tous les autres peuples européens car cela déstabiliserait l'UE et mettrait à mal tout les plans supranationaux des bourgeoisies européennes.<br class="autobr" />
Ceci dit reste pour moi le plus important : comment en finir avec les souhaits et les incantations ? Comment rassembler une majorité de français sur ces orientations ?<br class="autobr" />
Actuellement je ne vois aucune force politique proposant une stratégie concrète , crédible pour arriver à nous libérer de ce carcan.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-23T19:24:55Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35692019-01-23T19:24:55Z<p>CN46400</p>
<p>Pour finir, vous n'avez pas tort de rappeler les dangers de la germanophobie. Mais en l'occurrence, il s'agit seulement de dénoncer la main-mise de l'impérialisme allemand sur l'UE, qui est bien réelle : pour le prouver il n'est que de constater comment, par la monnaie unique, elle a plombé l'industrie entre autres des pays du Sud (dont la France) en leur faisant adopter une monnaie beaucoup trop forte pou eux. C'est un choix que la bourgeoisie française a approuvé entièrement, notamment pour torpiller les grandes concentrations industrielles où le PCF et la CGT étaient puissants (liquidation de nos chantiers naval parmi tant d'autres exemples). De plus, si l'impérialisme allemand n'est pas encore militarisé, il risque de le redevenir rapidement si le projet d'armée européenne se concrétise : Vu les rapports de force réels et vu le poids économique des impérialismes allemand et français, cette "armée européenne" serait quoiqu'il arrive sous contrôle allemand, avec a priori la bénédiction de l'impérialisme français qui approuve visiblement cette idée à des fins géopolitiques (en tout cas il ne la combat pas).</p>
<p>Inutile de préciser que la condamnation des effets de l'impérialisme allemand sur notre pays n'implique pas d'épargner l'impérialisme français puisque ce dernier est aussi complice, et donc responsable, de la destruction de notre pays. C'est même parfaitement compatible avec la solidarité envers les prolos allemands, puisque nos intérêts convergent : Combattre les impérialismes Allemand et français qui sont complices entre eux, combattre "nos" capitalistes (qui suivent actuellement le modèle des capitalistes allemands), lutter pour le socialisme.</p>
<p>Ce n'est pas la première fois d'ailleurs que les capitalistes français ont décidé de suivre les choix d'autres impérialismes plus forts, voire à ce sujet les travaux d'Annie Lacroix-Riz qui montrent comment ils se sont successivement alignés sur le fascisme allemand (de 1933 à 1940) puis sur les USA. Naturellement ça n'a pas été leur unique stratégie (L'épisode De Gaulle), mais force est de constater que sur la longue durée, c'est leur comportement privilégié. On pourrait aussi citer leur aplatissement devant Bismarck pour écraser la Commune, ou encore leur complicité avec l'Europe Monarchique pour abattre le Robespierre. C'est une spécialité historique de nos classes dirigeantes. Face à cette bourgeoisie, mobiliser le patriotisme républicain n'a rien de farfelu : La dictature du prolétariat n'est absolument pas incompatible avec l'état-nation jacobin, au contraire. Lénine lui-même considérait le parti bolchevik comme l'héritier naturel des jacobins montagnards. Et même si, comme vous le savez mieux que moi, il n'a jamais abandonné la NEP, il estimait également que l'URSS avait le potentiel pour devenir "un pays pleinement socialiste" (cf son texte "De la coopération", janvier 1923), à condition bien sûr d'accomplir une révolution culturelle de grande ampleur (entendue ici dans un sens non-gauchiste).<br class="autobr" />
Et aujourd'hui encore, le Parti Communiste Chinois prend la Révolution Française comme référence absolue avec la Révolution Russe.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-23T19:14:03Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35682019-01-23T19:14:03Z<p>CN46400</p>
<p>Il ne s'agit en aucun cas de nier l'existence de l'impérialisme français, au contraire les contributeurs de ce site ne le sous-estiment pas, en atteste la condamnation unanime que les communistes favorables au Frexit ont faite de l'agression contre la Libye et la Syrie. De la même manière , la "Françafrique" est sans cesse dénoncée...</p>
<p>En revanche il s'agit de prendre acte du fait que la bourgeoisie française, par le biais de l'UE et de l'euro, s'est dotée d'un outil formidable pour broyer notre souveraineté nationale et détruire ainsi les acquis progressistes de la révolution française et du CNR. Et pour le coup, ce n'est absolument pas comparable à l'oeuvre progressiste que la bourgeoisie de notre pays a édifiée jusqu'à la chute de l'Ancien Régime (développement des sciences, de l'humanisme et du rationalisme, construction de l'état-nation...). Nous ne sommes plus à l'époque de Marx où ce dernier pouvait encore regarder avec respect l'oeuvre de la bourgeoisie. Nous sommes à l'époque de l'impérialisme, où la bourgeoisie est désormais "réactionnaire sur toute la ligne" (Lénine). Réactionnaire sur le plan politique et culturel en tout cas, dans la mesure où elle peut même tenter de détruire ce qu'elle a mis des siècles à construire : c'est le cas du fascisme par exemple, qui est une charge ultra-violente contre les acquis positifs de la démocratie bourgeoise/libérale et contre la philosophie progressiste (cf les travaux de Georg Lukàcs).</p>
<p>Cela nous amène à l'expérience Chinoise. Vous avez tout-à fait raison de dénoncer les gauchistes qui estiment stupidement que la Chine Populaire ne serait qu'une vulgaire puissance capitaliste de plus. Votre défense de la Chine de Deng Xiaoping, fondée sur la réhabilitation de la NEP de Lénine, est brillante. Et nous sommes nombreux à apprécier vos analyses sur ce point crucial. <br class="autobr" />
Néanmoins, je pense que votre dénonciation du patriotisme n'est pas pertinente : Si le prolétariat chinois se développe et se renforce actuellement grâce à la politique du PCC, c'est précisément parce que la souveraineté nationale de la Chine a été préservée. La Chine Populaire ne se pas laisse dicter quoi que ce soit par une quelconque instance supranationale. Et cela pour une raison simple : la bourgeoisie y a été conservée en tant que classe "en soi" (l'infrastructure capitaliste qui permet le développement économique) mais pas comme classe "pour soi". Comme vous le dites très bien, c'est l'état populaire chinois qui dicte ses choix aux capitalistes, pas l'inverse. Cette expérience n'aurait pas été possible si le sentiment national des prolos chinois n'avait pas été mobilisé par le PCC. Et elle n'a été possible que parce qu'elle se situe dans un cadre national solide. Idem pour Cuba socialiste, qui est dirigée par un Parti Marxiste ET patriote. Ça n'est pas incompatible avec l'internationalisme, preuve en est avec la solidarité internationale qui caractérise la politique étrangère de Cuba (et aussi de la Chine).</p>
<p>C'est une situation complètement différente de celle de l'UE : Il n'y a pas de "peuple européen", encore moins de "nation européenne" (là où la Chine existe en tant que pays depuis des siècles). Il y a en revanche des peuples en Europe qui luttent pour leurs souverainetés nationales respectives. On sait depuis Lénine que la lutte pour le socialisme est indissociable de la lutte pour l'indépendance nationale (cf "Du droit des peuples à disposer d'eux-même", publié en 1916). <br class="autobr" />
Et deux ans avant, il rappelait : "Le sentiment de fierté nationale nous-est étranger à nous, prolétaires grands-russes conscients ? Evidemment non. Nous sommes fiers de notre langue et de notre patrie". (décembre 1914)<br class="autobr" />
Du reste, pas forcément besoin de recourir à Lénine pour ça. Marx le disait déjà dans le Manifeste : "Comme le prolétariat doit conquérir le pouvoir politique, devenir la classe dirigeante de la nation, DEVENIR LUI-MÊME LA NATION, il est par conséquent encore national, même si ce n'est pas dans le sens bourgeois du mot." (1847). Ici il parle aussi de son pays natal, pas seulement des peuples colonisés.</p>
<p>Suite de mon message à venir</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-23T18:59:58Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35672019-01-23T18:59:58Z<p>Personnellement, j'apprécie l'analyse de Descartes, car elle met le doigt sur le fait que les bourgeoisies se battent toutes griffes dehors contre l'explosion possible de l'UE et de l'euro. Le Brexit en fait la démonstration. En effet, la construction européenne, qui a commencé avant-guerre et même pendant, notamment avec le Cartel de l'acier et d'autres accords particulièrement avec les nazis, est né de la collusion entre le capital étasunien et le capital allemand contre les impérialismes anglais et français ; la bourgeoisie française n'a pas eu la même réponse que l'anglaise, en se soumettant de manière minable au fascistes allemands, ce qui pourrait expliquer son attitude actuelle. Schuman et Monnet étaient d'ailleurs les symboles de cette mainmise de l'impérialisme américain sur la construction européenne. Pour tout cela, il faut lire les textes d'Annie Lacroix-Riz...<br class="autobr" />
La configuration actuelle de la construction européenne, à savoir l'UE, est la réponse des bourgeoisies européennes à la mondialisation capitaliste. C'est pour cela qu'elle se battent bec et ongles contre son explosion. Le Medef, dans son programme "Besoin d'aire" dit clairement qu'il est pour la disparition des États-nations parce que ce sont des entraves à la liberté d'exploiter. C'est pourquoi, je vais même plus loin que ceux qui disent que la sortie seule ne servirait à rien si l'on n'envisage pas la sortie du capitalisme ; pour moi, la sortie seule de l'UE et de l'euro serait déjà un sacré coin enfoncé dans le capitalisme, au-delà du fait bénéfique que le peuple français pourrait enfin retrouver sa souveraineté (certes, dans le cadre d'institutions bourgeoises, mais dans le contexte d'une sortie, donc d'un rapport de forces favorable, on peut penser que les institutions seraient améliorées...).<br class="autobr" />
Quant à jouer sur les peurs liés à une sortie, c'est le jeu des médias dominants qui nous bassinent avec le fait qu'il n'y aurait plus d'échanges possibles, donc qu'on vivrait moins bien, que ce serait la catastrophe, alors que la catastrophe, nous la vivons actuellement ! Notamment, l'euro est la monnaie de domination du capitalisme allemand sur tous les autres pays de l'UE, tirant vers le bas leurs économies : c'est la réalité, il ne sert à rien de le nier. Analyse concrète de la réalité concrète, disait Lénine. Sortons de cette dictature, seule condition d'envisager un changement dans notre pays.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-23T17:25:13Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35662019-01-23T17:25:13Z<p>Une crise politique secoue la Grande Bretagne ah bon ? et pas la France ? ( les gilets jaunes c'est pour carnaval cà s'arrête mardi gras prévu le 5 février ) )<br class="autobr" />
Moi je suis d'ailleurs surpris qu'on trouve parmi les négationnistes de vérités politiques (les ninin ni frexit ni UE ni pour mais pas contre) des militants des penseurs des internautes avisés (de gooche)qui aveuglés par une sorte de déductions primaires arrivent non pas à oublier mais carrément à effacer et les lois et les textes et les programmes écrits ou consultables justement par un petit clic de leur clavier si efficace pour philosopher ou nous rappeler à leur ordre moral ou leur coposition<br class="autobr" />
Comment ces gens-là voient le FREXIT <br class="autobr" />
Ah non pas comme un vote du peuple ! <br class="autobr" />
Ah non pas comme un résultat d'un vote ; <br class="autobr" /> L'article 50 pouf un détail comme dirait l'autre !</p>
<p>Donc existe une Constitution un traité composés d'articles mais tout est mafia !</p>
<p>On y croise des personnes qui agissent selon leurs codes et leurs principes !</p>
<p>Le parlement britannique : la mafia <br class="autobr" />
le parlement de Bruxelles : la mafia <br class="autobr" />
le parlement français :la mafia <br class="autobr" />
le parlement de l'ex URSS la mafia (oui pour eux l'URSS s'est dissoute toute seule, dans un verre d'eau)<br class="autobr" />
le parlement US ah non chut !!</p>
<p>On vit donc dans le monde de la mafia !</p>
<p>Pourtant si vous êtes assurés pour votre auto essayez donc de sortir de votre contrat sans appliquer telle ou telle clause ! <br class="autobr" />
Essayez de vous faire rembourser votre rétroviseur cassé sans avoir rempli un constat</p>
<p>Mais descartes lui nous explique que sans la mafia point de remboursement !</p>
<p>Descartes lui nous prouve que personne ou plutôt même un état nation ne peut ni appliquer les textes ue ou même les siens !<br class="autobr" />
Et de comparer la GRECE avec la GB ! <br class="autobr" />
Et de mélanger les choux les navets les carottes <br class="autobr" />
Au fait ya il eu un référendum sur le grexit ? NON mais qu'importe pour Descartes <br class="autobr" />
La Grèce demande elle d'appliquer l'article 50 ? mais qu'importe pour Descartes</p>
<p>Pourtant TSIPRAS pris toujours en photo avec son sourire de bébé sourit toujours à à ..BRUXELLES et devant Madame MERKEL ! à ATHENES c'est la soupe à la grimace <br class="autobr" /> Descartes dit <br class="autobr" />
Imaginer qu'on, puisse récupérer les instruments de la souveraineté à travers un FREXIT (négocié)<br class="autobr" />
C'est aussi absurde qu'imaginer que VICHY aurait pu récupérer la pleine souveraineté en négociant avec le 3eme Reich</p>
<p> La parallèle avec BERLIN est audacieuse mais pas si éloignée des faits de domination du REICH Allemand sur nos affaires</p>
<p>Revenons en aux faits</p>
<p>En 1940 VICHY fut capitale de l'état français enfin celui qui signa un contrat un traité avec le 3 REICH Rappelons à Descartes que c'est la France qui déclara la guerre à l'Allemagne en 1939 que la France perdit cette bataille en 6 mois ! <br class="autobr" />
PETAIN signa un traité eh oui encore des textes ! <br class="autobr" />
Dans ce texte la France conserva son industrie mais au service du vainqueur</p>
<p>Que le 8 mai 1945 lme 3eme REICH capitula et que le compteur à dettes de guerre s'enclencha <br class="autobr" />
par aussi un texte pré visualisé à YALTA …sans la France ! <br class="autobr" />
car oui la Résistance française existât oui le débarquement fut en NORMANDIE mais c'est à STALINGRAD qu'HITLER perdit la guerre !<br class="autobr" />
cela fait du bien de rappeler des vérités historiques</p>
<p>en 2019<br class="autobr" />
ici point de guerre point de capitulation mais des textes <br class="autobr" />
Comme pour l'assurance auto il y un un alinéa pour prévoir la sortie ou l'entrée du contrat</p>
<p>Ici dans le Traité de LUE c'est l'article 50 MAFIA ou pas pluie ou verglas soleil ou orage <br class="autobr" />
point de sang de larmes ou d'ébats joyeux et festifs<br class="autobr" /> la sortie de lUE est expliquée par l'article50 possible par l'article50<br class="autobr" />
ou par l'accord des 26 autres états membres à l UNANIMITE <br class="autobr" />
comme pour mon assurance auto quand je remplis un constat c'est souvent douloureux !<br class="autobr" />
et pour ma voiture et pour mon compte bancaire mais c'est la seule issue <br class="autobr" />
dire écrire crier gueuler l'inverse c'est mentir et trahir la vérité</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-23T16:14:23Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35652019-01-23T16:14:23Z<p>@ PM<br class="autobr" />
Depuis Marx, on sait que ce qui motive, avant tout, les capitalistes, c'est le taux de profit. Le capitalisme allemand n'est pas plus vorace, ni moins, que le capitalisme français ou US.<br class="autobr" />
Les modules allemands qui trouvent leur place dans les projets industriels français, chinois ou US sont toujours le résultat de négociations basée sur un rapport qualité-prix. Et je ne pense pas que les cadres de nos fleurons industriels courent plus de danger dans les rue de Berlin que dans celles de New York... Si l'industrie allemande est plus développée que l'industrie française, c'est pour des raisons objectives qui pourraient faire l'objet de long développements. Un jour, dans une réunion de jumelage avec une commune allemande (Allersberg-Bavière), j'ai connu un entrepreneur doté d'un patronyme 100% français qui fabriquait, là bas, des modèles réduits de véhicules. Si Louis14 n'avait pas révoqué l'édit de Nantes, il aurait peut-être été français.... Depuis 1945, les allemands n'ont pas d'armée, comme les japonnais d'ailleurs, mais ils ont une industrie. Ceci n'explique pas tout, mais un peu quand même.<br class="autobr" /> Vous parlez de "recréer une classe ouvrière". C'est inutile, elle existe toujours, mais bien moins concentrée. 100 000 mineurs dans le Nord ou l'Est, 30 000 à Billancourt, 40 000 à Montbéliard, c'est fini. Les unités, plus nombreuses, comptent bien moins de monde, mais l'effectif général de la classe ouvrière n'a pas baissé. Les compétences se sont accrues ; avec un ordinateur, on peut, maintenant, conduire plusieurs machines et fabriquer simultanément plusieurs pièces.<br class="autobr" /> Vous parlez "d'impérialisme" US, allemand, UE(pas d'armée...), mais pourquoi oublier l'impérialisme français qui fait et défait pas mal de gouvernements africains, et qui s'est couvert de gloire en Libye, en Syrie.... Est-ce l'UE qui a poussé Alstom électric dans les bras de GE (USA) ? <br class="autobr" />
SVP la phobie anti-germanique c'est un peu ringard. Pour défendre leurs intérêts contre les prolos des deux cotés du Rhin, les bourgeoisies, allemande et française, s'entendent très bien. Et pour les mettre en échec, l'une comme l'autre, il convient d'unifier les prolos des deux pays (Marx dixit), sur leurs intérêts, et pas contre les moulins à vent de Bruxelles.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-23T13:47:45Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35642019-01-23T13:47:45Z<p>L'U.E instrument de régulation et de domination du capital germano-américain</p>
<p> L'Union Européenne est un « tout structuré à dominante », elle n'est absolument pas une agora « démocratique » des bourgeoisies européennes, un lieu de péréquation des profits capitalistes a parité de leurs apports respectifs. la concentration financière du capital monopoliste germanique y domine largement, elle est facilité via la mise en œuvre d'une monnaie, dont le siège social est à Francfort, Euro qui montre que les allemands ont gagné en imposant une parité proche des intérêts du mark allemand, mais aussi, des institutions qui y sont physiquement implantés, et par un refus total de dévaluation des espaces intra-européens, empêchant un rétablissement des coûts comparatifs entre pays de cette zone économique.</p>
<p>Via cette domination d'un espace d'échange totalement faussé, ils ont surtout imposé un modèle de reproduction de l'économie européenne où se sont eux qui tiennent l'essentiel de la production (machine à outils, robots, etc.) des moyens de production. Autrement dit chaque fois qu'un industriel décide de développer un projet de production, on est à peu près certain qu'il y aura à l'intérieur un pourcentage non négligeable de biens d'équipement originaire de ce pays (étant entendu qu'il n'y a plus de propositions alternatives indépendantes, et notamment que des pans entiers de l'industrie française, dont les biens d'équipement, ont été sacrifiés à leur intérêt). <br class="autobr" />
Contrairement à ce que croit CN 46400, cela n'a pas été obtenu par un libre jeu de l'économie de marché, mais par le biais de décisions politiques, qui ont organisées politiquement cela depuis bien longtemps(1). <br class="autobr" />
Oui, il y a un échange de biens entre des unités de production et donc économiquement, il y a risque de perte d'emplois pour les salariés des deux côtés, mais ce n'est pas la même chose de concentrer le capital au profit d'un impérialisme dominant, sans aucun espoir de s'en sortir, et/ou travailler politiquement à regagner son indépendance, en reconstruisant une industrie nationale (en recréant une classe ouvrière en France), en aménageant un territoire, en planifiant la production pour ouvrir la voie au socialisme, cela même si on doit pendant toute une période en payer le prix.</p>
<p>Il est faux et mensonger d'affirmer qu'il n'y a pas de politique impérialiste propre à l'U.E , qu'elle n'est que le pur reflet de ce que la grande bourgeoisie-capitaliste française n'a pas le courage d'imposer en directe à son peuple. Elle est aussi principalement, ce que la fraction dominante, celle du capital allemand (soutenu en sous mains par l'impérialisme américain qui possède de grands intérêts en Allemagne) et avec l'aval du capital français (qui depuis l'avant première guerre mondiale a décidé qu'une seule puissance avait la capacité de la sauvé (suite à la défaite de 70 et la Commune qui s'en est suivie)) une alliance du capital français et allemand, sous domination des allemands, pour s'opposer aux souverainistes aux partageux ou aux rouges, dont on juge qu'ils sont historiquement trop nombreux en France.</p>
<p> (1) Anecdote sur la C.E.C.A (La Communauté Economique du Charbon et de l'Acier) embryon de la C.E.E puis de l'U.E. Forme d'intégration complète qui a vu la disparition du charbon et aujourd'hui de l'acier en France. Ayant à intervenir à Avignon pour une conférence sur le marxisme, j'ai été hébergé par un camarade, vieux retraité de l'Université (professeur de philosophie), qui dans son jeune temps avait été maire d'une commune charbonnière limitrophe de la zone allemande et dont la veine de charbon était présente d'un côté comme de l'autre de la frontière. Que pensez-vous qu'il c'est produit avec cet accord ? Il a essentiellement profité à l'Allemagne, on a fait fermé les puits français alors qu'il pouvait encore y être extrait du charbon, pour ne plus l'exploiter que du côté allemand, ceci pour remonter l'économie de cette dernière. Cette décision n'avait donc rien d'économique, elle était purement politique. A mon avis, pas parce que l'on aime le peuple allemand, mais parce que dans ce dispositif qu'est « L'U.E », l'impérialisme allemand , comme puissance dominante de l'Europe centrale, a pour mission d'en faire une zone unifiée sous sa domination et dans faire un cheval de bataille contre la Russie, en même temps qu'il paralyse la France contestatrice et trop remuante. C'est comme cela qu'il faut regarder le dernier traité signé par Merkel et Macron ( à voir sur le site "le Grand Soir "où l'accord est bien présenté) et ce pourquoi ce dernier est aussi pressé de refiler « le bébé » de la domination militaire et consulaire à l'Allemagne.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-22T14:02:18Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35612019-01-22T14:02:18Z<p>@ Quidam<br class="autobr" />
Quitter l'UE pour vivre plus mal, n'est pas un bon calcul. La souveraineté dépends surtout de ce qu'on en fait. Pour le moment, à Bruxelles, toutes les décision se prennent à l'unanimité. Ne sont donc abandonnés que les éléments de souveraineté que nos gouvernants, de Paris, veulent bien abandonner.... Et il en va ainsi de toutes les privatisations. On nous dit que "ça vient de Bruxelles", mais en fait, c'est notre bourgeoisie qui, par exemple, veut faire main basse sur les barrages etc...etc</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-22T10:51:34Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35602019-01-22T10:51:34Z<p>Ce qui revient à dire que sortir de l'UE :<br class="autobr" /> 1. coûtera très cher aux prolos<br class="autobr" /> 2. augmentera considérablement le chômage<br class="autobr" /> 3. accélérera la désindustrialisation <br class="autobr" />
En somme, surtout ne tentons pas de recouvrer notre souveraineté pour décider de notre destin… C'est une version de « ce serait une folie » de M. Brossat et cela revient au même. L'habiller de références « marxistes » ne parvient pas à cacher la soumission à l'occupant UE, fut-il dénoncé comme bourgeois.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-22T09:12:15Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35592019-01-22T09:12:15Z<p>En 2005 les villages du Biterrois s'étaient massivement prononcé contre le Traité de Constitution Européenne qui était proposé aux Français. Dans plusieurs communes le NON atteignait 70 %. La région qui avait connu les difficultés de la viticulture inhérentes à l'Europe était vaccinée. Hélas le référendum a été sans effet et le Traité de Lisbonne a effacé la volonté populaire qui s'était exprimée.<br class="autobr" /> !au plan viticole c'est la déshérence. Les vignes sont mises à l'arrachage, les exploitations disparaissent, les caves coopératives ferment les une après les autres... et Marine Le Pen obtient la majorité au second tour des élections présidentielles de 2017 dans de nombreuses communes du Biterrois, avec parfois des scores de 60 %. Et pendant ce temps nos dirigeants tirent des plans sur la cmoète !</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-22T08:28:35Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35572019-01-22T08:28:35Z<p>J'apprécie le texte de Descartes pour replacer la situation de chaque nation dans le contexte de l'UE où la souveraineté des peuples est confisquée.Peut-être n'a-t'il pas insisté sur la composant de lutte de classe qu'exige un "exit".C'est les travailleurs qui ont le plus intérêt à la sortie de l'UE à condition de l'accompagner de lutte contre les capitalistes (pro UE ou mondialiste).La seule souveraineté d'une nation est celle dirigé par les travailleurs</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-22T08:26:04Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35562019-01-22T08:26:04Z<p>@Bertrand<br class="autobr" />
"on ne négocie pas avec des salauds."<br class="autobr" />
"Claquer la porte", Ok mais comment cela va se passer entre les monteurs de Nissan en GB qui exporte en France et UE, et les monteurs de Renault qui exporte en GB ?...... C'est pas les prolos, anglais et français, qui paieront la casse ?</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-21T14:38:33Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35532019-01-21T14:38:33Z<p>Une nation qui veut sortir de la galère de l'Union européenne n'est pas tenue de satisfaire à ses diktats.<br class="autobr" />
Le tort de la Grande-Bretagne est d'avoir voulu négocier sa sortie. Claquer la porte lui eut été moins coûteux : on ne négocie pas avec des salauds.</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-21T11:06:51Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35522019-01-21T11:06:51Z<p>@ Descartes<br class="autobr" />
1-Tout ce qui est exagéré est insignifiant. Le Brexit ou Frexit ne sont pas une guerre, mais tout au plus une lutte de classes ou les perdants ne seront pas les bourgeois. Les accents chauvins et guerriers qui sont convoqués ici me paraissent déplacés.<br class="autobr" />
2- Les prolos sortants, toujours soumis aux lois du capitalisme, doivent s'attendre à une augmentation des produits manufacturés chez eux comme ailleurs en Europe, puisque des taxes protectionnistes seront évidemment, ajoutées dans les deux sens, à tous les tarifs !<br class="autobr" />
3- Toutes les entreprises exportatrices, nombreuses désormais en Europe, dans les deux sens, doivent donc s'attendre, du fait de ces augmentations, à vendre moins et à envisager, si elles ne parviennent pas à dégager d'autres débouchés, une réduction de la voilure, ou une délocalisation, avec chômage à la clef....<br class="autobr" />
4- Bien sûr, on peut espérer que des entreprises locales, actuellement concurrencées par des fabriques extérieures seront plus à l'aise. Mais, du fait des effets d'échelle, les multinationales reprendront rapidement le dessus.<br class="autobr" />
Comme tous les articles "souverainistes", celui-ci fait l'impasse sur le moteur principal de toutes les bourgeoisies, du dehors comme du dedans, à savoir : le taux de profit qui commande tous les intérêts bourgeois.... Prendre en compte cette donnée conduit infailliblement à s'interroger sur une autre sortie, la vraie, celle du capitalisme !</p>Il n'y a pas d'« exit » heureux2019-01-21T09:51:56Zhttp://lepcf.fr/Il-n-y-a-pas-d-exit-heureux#comment35512019-01-21T09:51:56Z<p>Voilà une analyse qui me va bien ! Je connais Descartes, son blog. Si nous devons nous délivrer du carcan, nous savons bien que ce sera dur. Très dur. je sais très bien ce qu'est l'UE, pourquoi elle a été créée ( étendre l'aire pour vendre, sans frontières) je sais ! J'ai milité de toutes mes forces en 2015. Nous avions gagné, normalement et là, nous avons vu comment notre gouvernement PS allié à la droite, a rejeté le vote du peuple. Ce que je n'accepte pas c'est que nous disions " oui, nous n'avons plus de souveraineté mais on ne peut pas faire autrement que d'accepter" <br class="autobr" />
Pas nous . !!Même si ce sera dur, long, je suis pour un Frexit qui nous délivrera de ce carcan ET nous permettra de lutter contre cet autre" carcan" le capitalisme .</p>