Elections européennes, c'est au congrès de décider ! - commentairesElections européennes, c'est au congrès de décider<small class="fine d-inline"> </small>!2018-04-30T06:54:41Zhttp://lepcf.fr/Elections-europeennes-c-est-au-congres-de-decider#comment28762018-04-30T06:54:41Z<p><i>«<small class="fine d-inline"> </small>L'histoire de toutes société, jusqu'à nos jours, est l'histoire de la lutte des classes<small class="fine d-inline"> </small>»</i>. Personne n'est obligé de partager cette opinion de Marx, mais ceux qui la partagent savent que cette lutte se déroule partout, et toujours, dans les parlements, comme dehors, et que toutes les armes, y compris l'argent, sont autorisées....</p>Elections européennes, c'est au congrès de décider<small class="fine d-inline"> </small>!2018-04-29T19:13:13Zhttp://lepcf.fr/Elections-europeennes-c-est-au-congres-de-decider#comment28752018-04-29T19:13:13Z<p>Je viens de lire le dernier commentaire et cela me donne l'occasion d'aborder quelques réflexions, absentes de tous les discours politiques (à quelques «<small class="fine d-inline"> </small>gauchistes<small class="fine d-inline"> </small>» près). Serait-il impossible de s'interroger pour savoir si «<small class="fine d-inline"> </small>ces organisations destinées à être subverties par le prolétariat<small class="fine d-inline"> </small>», ne sont pas encore plus susceptibles de subvertir les prétendus représentants du prolétariat, voire subvertir les organisations (politiques ou syndicales). Toute institution politique bourgeoise commence par rémunérer largement les membres appelés à la composer : l'institution sera bien «<small class="fine d-inline"> </small>défendue<small class="fine d-inline"> </small>». Connaît-on beaucoup de députés européens, les plus «<small class="fine d-inline"> </small>révolutionnaires que l'on puisse imaginer<small class="fine d-inline"> </small>» (P. Laurent, vraiment<small class="fine d-inline"> </small>?...) qui contestent l'existence de ce parlement<small class="fine d-inline"> </small>? Un parlement qui n'est pas issu de mouvements historiques populaires, ni de constitutions nationales, ni de luttes revendicatrices, ni d'aucune nécessité «<small class="fine d-inline"> </small>progressiste<small class="fine d-inline"> </small>»...mais qui a été imposé, sans discussion —et évidemment sans vote— par des politiciens aux ordres des puissances financières. Or, l'existence et le rôle de ce parlement, en dehors de son aspect «<small class="fine d-inline"> </small>symbolique<small class="fine d-inline"> </small>», instaure également des liens financiers importants, tant pour quelques situations personnelles (que peu de membres envisagent de perdre) que pour les trésoreries des partis politiques...qui n'accepteraient plus de s'en passer. Soumission financière qui conduit, plus ou moins subtilement, à une forme de soumission idéologique larvée. Le vieux-con que je suis se souvient d'un G. Marchais qui, lorsque le gouvernement décida de financer les partis (en fonction du nombre d'élus), commença par affirmer son refus de cette manne financière. Non par simple orgueil, arrogance ou fierté mais parce qu'il estimait que c'était un moyen pour l'Etat, ...de mettre un fil à la patte des partis. De rogner un peu plus leur liberté d'action. C'était loin d'être une réflexion oiseuse, sans contenu, bien au contraire mais...comme l'argent est le nerf de la guerre...<br class="autobr">
Je ne développerais pas le sujet ici mais peut-on seulement s'interroger : est-il possible qu'existe une démocratie réelle (sans compter les systèmes institutionnels) quand la politique est un domaine où faire carrière, s'élever socialement (et donc, financièrement), obtenir du pouvoir et avoir les moyens de le conserver<small class="fine d-inline"> </small>? Question superflue<small class="fine d-inline"> </small>?...<br class="autobr">
Méc-créant.</p>Elections européennes, c'est au congrès de décider<small class="fine d-inline"> </small>!2018-04-23T06:14:58Zhttp://lepcf.fr/Elections-europeennes-c-est-au-congres-de-decider#comment28742018-04-23T06:14:58Z<p>l'<span class="caps">UE</span>, comme toute les superstructures installées par la bourgeoisie, nation, région, département, ou communes vise à satisfaire les intérêts de la bourgeoisie. Toutes ces organisations sont destinées à être subverties par le prolétariat (ceux qui doivent travailler pour vivre..). Les ignorer est un autre moyen de laisser, tranquillement, les intérêts bourgeois dominer, le reste de la société.<br class="autobr"> Par contre, quand, dans les élections, on conteste la suprématie des intérêts bourgeois, on le dit franchement en contestant, sans finasseries le rôle pro-bourgeois des autres listes. Par exemple Macron n'est pas le président des riches, c'est celui de la bourgeoisie.....</p>Elections européennes, c'est au congrès de décider<small class="fine d-inline"> </small>!2018-04-23T02:19:22Zhttp://lepcf.fr/Elections-europeennes-c-est-au-congres-de-decider#comment28732018-04-23T02:19:22Z<p>Bien d'accord avec vous. Au demeurant ce soi-disant parlement n'a aucun pouvoir. C'est une sorte de parlement sous le tsarisme , purement consultatif, cause toujours tu m'intéresses. De plus sa fonction au delà de singer la démocratie parlementaire bourgeoise est qu'il n'y a pas de peuple européen et qu'il ne peut y e en avoir. Donc double piège à cons.<br class="autobr">
<span class="caps">ABSTENTION</span> et sortie de l'<span class="caps">UE</span> <span class="caps">EURO</span> <span class="caps">OTAN</span></p>Elections européennes, c'est au congrès de décider<small class="fine d-inline"> </small>!2018-04-22T19:29:46Zhttp://lepcf.fr/Elections-europeennes-c-est-au-congres-de-decider#comment28722018-04-22T19:29:46Z<p>Je ne suis membre d'aucun parti et bien des copains communistes ont pu m'affubler d'une palanquée de qualificatifs : démocrate sincère, compagnon de route, idéaliste, gauchiste, poète, anarcho-syndicaliste,...La liste n'est pas exhaustive. Cela n'empêchait pas les discussions animées et, même, permettait de les nourrir. Le vieux-con matérialiste attardé que je suis ne peut qu'apprécier que toute forme de pensée n'ait pas été éliminée chez tous les militants et que renaisse le besoin d'analyse et de transformation de notre monde. En ce sens, la question de «<small class="fine d-inline"> </small>l'Europe<small class="fine d-inline"> </small>» ne peut être évacuée mais elle me paraît déjà largement biaisée si elle se limite aux positions à défendre pour les élections au parlement européen. Ce parlement n'est qu'un miroir aux alouettes —plus trivialement, un attrape-couillons de première grandeur— opérant sur plusieurs plans. Il est d'abord censé étaler un léger vernis pour démocratie de pacotille : si on vote c'est que «<small class="fine d-inline"> </small>l'Europe<small class="fine d-inline"> </small>», c'est démocratique. Mais, et sans doute surtout, il est un support idéologique de manipulation psycho-sociale : consciemment ou non, voter <span class="caps">POUR</span> ce parlement c'est voter <span class="caps">POUR</span> «<small class="fine d-inline"> </small>cette Europe<small class="fine d-inline"> </small>». Ce n'est évidemment pas avec des dirigeants «<small class="fine d-inline"> </small>communistes<small class="fine d-inline"> </small>» nous revendant sans fin la sauce moisie d'une «<small class="fine d-inline"> </small>Europe sociale<small class="fine d-inline"> </small>» que les questions européennes pourront être analysées sérieusement. Cette Europe, parfaitement réussie, n'a toujours eu qu'un but essentiel : imposer le droit des actionnaires à disposer des peuples.Un parti communiste se voulant réellement transformateur n'aurait jamais accepté de se plier à ce jeu-là. Mais il n'est pas le seul : <span class="caps">TOUS</span> les partis, de l'extrême droite à l'extrême gauche, se sont mis sur les rangs. N'ayant plus 20 ans depuis longtemps, je peux vous rappeler ce je que j'ai vécu : pour les législatives, des militants de <span class="caps">LO</span> badigeonnaient largement sur les murs «<small class="fine d-inline"> </small>élections : piège à cons<small class="fine d-inline"> </small>»,...avant d'appeler peu de temps après...à voter aux élections européennes (et leur candidate aux présidentielles déclarait que les travailleurs ne se défendraient pas plus mal dans l'Europe : c'était bien vu...)<small class="fine d-inline"> </small>! <br class="autobr">
La seule attitude à adopter aux élections au parlement européen, pouvant avoir quelque utilité et une signification politique, c'est une abstention massive en vue de commencer à désagréger le carcan du totalitarisme capitaliste de l'<span class="caps">UE</span>.<br class="autobr">
Méc-créant.<br class="autobr">
(Blog : <i><a href="http://Immondialisation-peuples-en-solde.blog4ever.com" class="spip_out" rel='nofollow external'><i>«<small class="fine d-inline"> </small>Immondialisation : peuples en solde<small class="fine d-inline"> </small>!<small class="fine d-inline"> </small>»</i></a></i> )</p>Elections européennes, c'est au congrès de décider<small class="fine d-inline"> </small>!2018-04-17T21:06:20Zhttp://lepcf.fr/Elections-europeennes-c-est-au-congres-de-decider#comment28702018-04-17T21:06:20Z<p>s'occuper des élections est une obsession<small class="fine d-inline"> </small>; chercheur d'élection va devenir un nouveau poste de direction<small class="fine d-inline"> </small>; 2019, pourquoi pas 2050<small class="fine d-inline"> </small>? Alors que les problèmes se multiplient et s'aggravent en France<small class="fine d-inline"> </small>; l'hôpital, la santé, les services publics, les suppressions d'emplois, on va passer son temps à parler des élections de l'année prochaine<small class="fine d-inline"> </small>!!! <br class="autobr">
Un million d'emplois industriels détruits<small class="fine d-inline"> </small>! Voilà le principal sujet à développer<small class="fine d-inline"> </small>; c'est là que se joue la lutte des classes, et là que se crée la plus-value. C'est sur le territoire national que doivent se mener toutes les actions<small class="fine d-inline"> </small>; et notamment reconquérir notre monnayer et notre Banque de France. Nationaliser toute l'économie, en urgence les banques et les grandes entreprises.</p>