« avant, il y avait une conscience politique » - commentaires « avant, il y avait une conscience politique » 2015-05-01T14:50:13Z http://lepcf.fr/avant-il-y-avait-une-conscience#comment1448 2015-05-01T14:50:13Z <p>tout à fait d'accord avec cette analyse ; revenir aux fondamentaux : lutte des classes, propriété capitaliste des entreprises et des banques ; quand certains rabâchent "nouveaux droits des travailleurs", la propriété est bien le premier des droits, ce qui faciliterait le maintien et l'amélioration du niveau de vie, de la protection sociale ; mme Bettencourt gagne 530€ à la minute, d'après des calculs obtenus sur le site "revenus de mme Bettencourt" ; tant qu'on lui laissera gagner de l'argent, elle continuera à payer les campagnes de Sarkozy, à financer les cercles de pensées qui élaborent les idées de résignation et de soumission que les médias déversent à jet continu dans les cerveaux des exploités ; et, grande astuce, interdire aux syndicats de faire de la politique, ce que ceux ci, malheureusement, ont intégré depuis longtemps ; à l'exception de la CGT de 1905, dans ses statuts demandant la nationalisation de l'économie.<br class="autobr" /> Mais depuis, la CGT a été obéissante ; le secrétaire général ne devait plus appartenir au bureau politique du PCF. Le syndicat ne devait plus être la courroie de transmission du PCF. <br class="autobr" /> On voit le résultat ; il n'y a plus d'idéologie, ni à la CGT, ni au PCF.<br class="autobr" /> Le rapport de Dartigolle au dernier CN est une démonstration éclatante de réformisme ; pas une seule fois, il ne prononce le mot nationalisation ! Comme ses collègues de la direction et leurs suivistes ; "il rêve d'une banque qui...", mais il ne rêve pas de la nationaliser.<br class="autobr" /> Avec de tels individus, la conscience politique continue à stagner, à se scléroser.<br class="autobr" /> J'ai élaboré un article qui figure dans les archives de ce réseau : "la propriété, toujours la trouille d'en parler".<br class="autobr" /> Robert Hue a fait un mal considérable. A ma courte honte, j'ai "mordu" à son truc ; j'ai pourtant suivi les cours de marxisme de l'Université du marxisme-léninisme, quand le Parti avait le souci de proposer une formation idéologique, mais par manque de formation continue, j'ai cédé sans me rendre compte. Alors que beaucoup de copains restaient vigilants, mais quittaient le parti. Dommage, on pourrait être majoritaires aujourd'hui si toutes et tous étaient restés.</p>