Ne touchez pas à la Syrie Un appel italien contre la guerre en Syrie

, par  lepcf.fr , popularité : 3%

Traduction Jean Zunino pour lepcf.fr

Mardi 3 juillet 2012

La grave situation en Syrie place les mouvements qui, ces années, se sont battus contre la guerre, face à des problèmes nouveaux et plus anciens qui produisent déchirements, immobilisme et initiatives vides de sens.

Nous sommes actifs dans les réseaux, les prises de positions politiques et les mouvements qui ces dernières années, et surtout ces derniers mois, se sont opposés à l’escalade de la guerre "humanitaire" grâce à laquelle, l’alliance des puissances de l’OTAN et des pétromonarchies du Golfe cherche à redessiner la carte du Moyen Orient.

- a) Les intérêts convergents et les perspectives divergentes du moment cohabitent dans cette alliance entre les puissances les plus importantes de l’Otan et les puissances qui gouvernent "l’islam politique". Il est difficile de ne pas voir le lien entre l’invasion/désagrégation de la Libye, l’escalade en Syrie, la répression saoudienne au Bahreïn et au Yémen et les tentatives de normalisation des révoltes arabes là où elles ont été les plus importantes (Tunisie, Égypte). La doctrine du Département d’État américain « Évolution mais pas Révolution » avait décrété ce que nous avons sous les yeux, comme l’unique sortie consentie au Printemps Arabe. Il est impossible de tenir les puissances de l’Union Européenne en dehors de ces graves responsabilités et en particulier la France, la Grande-Bretagne et l’Italie qui ont d’abord partagé l’agression de la Lybie, ont maintenu entièrement leurs soutiens politiques et militaires à Israël et qui aujourd’hui conduisent la même politique de déstabilisation pour la Syrie.

- b) Les mouvements qui s’opposent à la guerre, ces dernières années, ont dû faire face à diverses difficultés. La première a été la suppression du refus de la guerre de l’agenda politique des mouvements et des forces de gauche ou, pire encore, une inertie complice envers les agressions militaires comme celle en Libye.

Depuis « Les opérations de police internationales en Irak » en 1991 à la « guerre humanitaire en Yougoslavie » en 1999 pour finir par les « guerres pour la démocratie » du XXIème siècle, les guerres asymétriques déclenchées au début du vingtième siècle par des coalitions de grandes puissances contre les pays les plus faibles (l’Irak, la Somalie, l’Afghanistan, la Yougoslavie, la Côte-d’Ivoire, la Libye), ont toujours cherché une légitimité morale qui peu à peu semble même s’être infiltrée dans le développement et le positionnement des mouvements pacifistes. Les partisans de la « guerre humanitaire » aux États-Unis mais pas seulement, tentent de mettre en place un cadre juridique pour des interventions militaires dans le cadre de la doctrine du « droit de protection » (R2P). Les objectifs de ces guerres ont toujours été présentés comme l’inévitable renversement de chefs d’Etats ou de gouvernements relativement isolés ou rendus invisibles à la soi-disant « communauté internationale », que ce soit dû à leur comportement ou à des campagnes médiatiques de diabolisation.

- c) Saddam Hussein, Aydid, Milosevic, le mollah Omar, Gbagbo, Kadhafi et Assad maintenant, ont été l’objet d’une vaste opération de changement de régime qui a orchestré les embargos, les bombardements et les invasions militaires par les grandes puissances de l’OTAN et de leurs alliés régionaux, opérations de grande envergure qui ont perturbé les pays immensément plus faibles afin de sauvegarder la "stabilité" des intérêts occidentaux par le biais de déstabilisations violentes des gouvernements ou des régimes établis. Au-delà de la responsabilité plus ou moins importante de ces dirigeants concernant le bien-être de leurs peuples et de la démocratie, les grandes puissances ont agi systématiquement pour leur liquidation par l’agression militaire et l’imposition violente de nouvelles élites au pouvoir subordonnées aux intérêts occidentaux.

- d) Alors que dans les années précédentes la division entre "bons et mauvais" n’a jamais été une catégorie claire et bien définie dans notre pays - en fait elle a servi à dissimuler les véritables raisons de la guerre -, il y a eu des mouvements de protestation qui se sont opposés à la guerre quelle qu’en soit la raison en se positionnant sur une base prioritaire : non à la guerre, sans si ni mais, qui a parfois été un élément d’unité et de mobilisation extraordinaire. Mais il semble que l’adhésion à cette façon de poser le problème s’est peu à peu affaiblie et dans certains cas inversée. Le consentement à la guerre a vu grandir des éléments de transversalité. Avant seules les personnalités de droite soutenaient les interventions militaires, alors que maintenant c’est aussi le cas pour des hommes et des femmes de gauche. Cette difficulté avait déjà vu le jour dans le cas de l’agression militaire contre la Libye et aujourd’hui c’est encore plus navrant avec l’escalade possible en Syrie.

- e) Les initiatives contre la guerre que nous avons menées ces derniers mois, même minoritaires, ont réussi à empêcher le recrutement actif de certains secteurs de la paix dans la logique de la guerre humanitaire, ont créé une polarisation qui, en quelque sorte, a fait front à la capitulation politique et culturelle du pacifisme et de l’internationalisme. Mais la réalité est rampante, c’est la raison pour laquelle il est nécessaire d’avoir une discussion sur les problèmes que la crise en Syrie va mettre en avant dans les mois à venir.

Au sujet de la situation en Syrie

  • 1. Dans toutes les guerres asymétriques - qui sont en fait des agressions unilatérales - les puissances occidentales ont toujours travaillé pour aiguiser les contradictions et les conflits qui existent dans les pays attaqués. L’ingérence externe par les puissances de l’OTAN et leurs alliés a agi systématiquement dans le sens d’une explosion de violents conflits internes qui permettraient une intervention militaire, puis a servi à légitimer la "guerre humanitaire". La guerre médiatique a toujours besoin de sang, d’horreurs, de cadavres, de massacres à jeter dans le mélange et aux yeux du public. Habituellement les nouvelles à ce sujet sont martelées dans les vingt premiers jours. Infirmer ou prouver les mensonges ou la plus ou moins grande manipulation devient difficile, voire impossible. Cela signifie-t-il que tout est invention ou manipulation ? Non, mais un conflit interne sans ingérence extérieure peut trouver une solution négociée. Mais si les ingérences extérieures travaillent pour les éviter, on en arrive toujours aux massacres et puis à l’intervention militaire "stabilisatrice". Demandons-nous pourquoi tous les plans et les accords de paix de ces vingt dernières années ont tous échoué (le dernier plan en date, celui de Kofi Annan sur la Syrie). Leur échec est dû au fait que le seul règlement négocié acceptable pour les puissances occidentales est celui qui prévoit la capitulation ou la sortie de la scène politique - même violente - de la composante dissidente. C’est ce qui est arrivé et est facilement vérifiable par tous.
  • 2. Les solutions proposées par les instances de concertation internationales (Conseil de sécurité, les organisations régionales telles que l’Union africaine, la Ligue arabe et l’ALBA) n’ont pas été en mesure de s’opposer à la politique de "changement de régimes" décidée par les États-Unis ou l’UE. Les dirigeants des régimes ou des gouvernements démis ont essayé à plusieurs reprises de trouver un compromis avec les États-Unis ou l’OTAN. D’une part, il s’agissait de leur destruction, de l’autre, d’une voie sans issue décidée dès le début. Plus ils cherchaient un compromis et plus tombaient les sanctions comme les embargos. Plus se concrétisaient les conditions d’une recomposition des forces internes et plus explosaient les voitures piégées, plus se produisaient les assassinats qui ranimaient le conflit. Si la seule solution proposée est le suicide politique voire physique d’un leader ou la désintégration des Etats, toute négociation devient inutile.
  • 3. Les méthodes autoritaires mises en place en Syrie face à la demande de changement d’une partie de la population syrienne ne sont pas directement imputables à son histoire. En effet, on ne peut pas croire que la direction syrienne soit la seule à avoir géré de façon autoritaire les contradictions et les attentes du monde arabe. Cette caractéristique est commune à tous les pays du Moyen-Orient et est une conséquence de la mise en place de l’état d’Israël dans la région et un héritage du colonialisme. Cela ne justifie pas les options de la direction syrienne, mais nous montre clairement que son remplacement ne correspondrait pas du tout à un progrès démocratique ou révolutionnaire pour le peuple syrien. Il suffit de regarder quel genre de leadership a pris le pouvoir une fois chassés Moubarak en Égypte, Ben Ali en Tunisie, Kadhafi en Libye ou comment s’impose un régime de fer au Bahreïn, au Yémen ou à Oman. Ce sont des pays où il y a des gens qui ont combattu pour plus de démocratie et une avancée des droits sociaux, mais leurs attentes sont gérées par les puissances de l’OTAN, les pétromonarchies du Golfe et les composantes les plus réactionnaires de l’Islam politique. Les aspirations progressistes du Printemps arabe ont été - pour le moment - oubliées et balayées par une alliance entre les puissances occidentales et les différents courants de l’islam politique.
  • 4. Dans la crise actuelle en Syrie, le leadership de Bachar al-Assad a connu deux phases : une première où a prévalu la tradition autoritaire, une deuxième dans laquelle a grandi le poids politiques des forces qui poussent vers la démocratisation. Les résultats des dernières élections législatives ne sont pas insignifiants : 59% de la population a voté en dépit de la guerre civile en cours dans différentes régions du pays (en France, dans des conditions complètement différentes, à la dernière élection, il y a eu 53% de votants et en Grèce, pour les élections les plus importantes de ces dernières décennies il y a eu 62% de votants) ; pour la première fois a été brisé le monopole politique du parti au pouvoir, le parti Baas, et de nouvelles forces sont entrées au Parlement présentant cette rupture comme un objectif populaire, ce qui a permis de créer l’embryon d’un espace politique pour un véritable processus de démocratisation du pays ; les forces qui s’opposent à la direction d’Assad font prévaloir les composantes armées et sectaires, ce qui est évident dans les massacres et les attentats systématiques imputés aux troupes syriennes alors que plusieurs sources révèlent que ce n’est pas le cas. Les forces de l’opposition avec une vision progressiste sont réduites à peu de choses, et ne pourrons qu’être écrasées par l’escalade en cours ; finalement, mais ce n’est pas négligeable, l’ingérence extérieure est celle qui fait toute la différence. Ce n’est plus un secret pour personne que les principales forces de l’opposition à Assad sont soutenues, armées et financées par l’alliance entre les puissances de l’OTAN (y compris la Turquie) et les pétromonarchies de l’Arabie Saoudite et du Qatar. Cette alliance a déjà été utilisée par le passé en Afghanistan, dans les Balkans et le Caucase, une alliance qui a éclaté à la fin des années 90 et qui a été reconstruite après le discours d’Obama au Caire qui annonçait et espérait les bouleversements dans le monde arabe. Ces forces et l’alliance internationale qui les soutient poussent ouvertement à une guerre civile permanente et généralisée pour déstabiliser la Syrie. Les couloirs humanitaires près des frontières avec la Turquie et le Liban ainsi que la zone d’exclusion aérienne, seront la première étape pour sécuriser l’arrière des lignes des miliciens de l’armée syrienne libre, couper les contacts entre la Syrie et ses alliés au Liban (le Hezbollah en particulier), déstabiliser à nouveau le Liban et briser le Front de la Résistance anti-israélienne. Si l’épuisement et la déstabilisation par la guerre civile permanente ne donnent pas les résultats escomptés, il est prévu d’augmenter la pression sur la Russie pour arriver à une intervention militaire directe des puissances qui se sont réunies en coalition ad hoc des "Amis de la Syrie" conduite par les USA, mais comprenant de nombreux participants volontaires tels que la France de Hollande ou l’Italie de Monti et de son ministre Terzi.
  • 5. Ces dernières années, dans les mobilisations en Italie contre la guerre ou pour le soutien à la Palestine, nous avons vu des tentatives répétées de groupes et de personnages de l’ancienne et de la nouvelle droite participer à nos manifestations. Une tentative facilitée par l’affaiblissement des défenses immunitaire de la gauche et des mouvements antifascistes, mais aussi par le gouffre politique créé par l’acceptation par une grande partie de la gauche, de la logique euro centriste, de la subordination à l’atlantisme et de la complicité – ou tout au moins de la neutralité – avec la politique israélienne face aux droits des Palestiniens. Si la gauche et une partie des mouvements ont déserté les terrains de la mobilisation contre la guerre, du soutien à la résistance palestinienne et arabe et ont perdu leur identité en route, il est devenu beaucoup plus facile pour certains groupes marginaux de la droite de faire entendre leur interprétation exclusivement géopolitique de la crise, des conflits sociaux entendus comme une lutte entre les puissances. Les groupes de droite véhiculent un antiaméricanisme hérité de la défaite du fascisme dans la Seconde Guerre mondiale et complètement incapable de voir que l’hégémonie impérialiste est aussi européenne. Une vision chauvine et réactionnaire qui n’a rien à voir avec une identité cohérente anticapitaliste et internationaliste. Mais pas seulement. La crainte d’une grande partie de la gauche d’être taxée d’antisionisme pour sa solidarité avec les Palestiniens, a ouvert à cette droite et sa composante raciste et anti-juive un espace d’initiatives, culturelles et de solidarité qui historiquement a toujours appartenu aux forces progressistes. Céder sur un point aussi crucial risque d’entraîner la capitulation sur tout le scénario du Moyen-Orient. Si cela est déjà visible dans d’autres domaines de la situation politique et sociale dans notre pays, il est difficile d’imaginer que cela n’arrive pas au niveau de la mobilisation contre la guerre et les questions internationales. Sur la Palestine et dans la mobilisation contre la guerre, nous avons toujours rejeté toute tentative de connivence avec les groupes d’extrême droite. Nous allons continuer de le faire, mais nous voulons aussi souligner que – tant sur le plan social que sur celui de la jeunesse – c’est le manque d’action et la faible identité de la gauche qui a facilité la tâche des fascistes, et non l’inverse. Il est donc nécessaire qu’il y ait cohérence entre nos positions et le rôle joué par nos réseaux, nos associations, nos organisations qui ces vingt dernières années ont toujours pris parti contre la guerre sans "oui mais…", ce qui s’est accompagné d’un renouveau pour notre identité et nos idéaux.

- f) La deuxième difficulté à laquelle nous avons dû faire face a été une lecture superficielle du lien entre la crise qui secoue les principales économies capitalistes du monde (en particulier les États-Unis et l’Union européenne) et l’utilisation de la guerre comme instrument naturel de concertation et de la concurrence entre les différents pouvoirs et de leurs intérêts stratégiques. Concertation évidente quand il s’agit d’attaquer et de détruire les États faibles (Libye, Yougoslavie, Afghanistan), une compétition quand il s’agit de capitaliser pour soi les agressions militaires (Géorgie, Irak. Libye). Si le colonialisme classique est allé à l’assaut du Sud pour s’accaparer ses richesses, le néocolonialisme est allé à la recherche de main-d’œuvre bon marché. Mais dans la crise systémique qui paralyse les principales économies capitalistes du monde, ces deux dimensions d’aujourd’hui, ont été réunis dans leur expression la plus forte et la plus agressive. Certains d’entre nous définissons cela comme étant l’impérialisme, d’autres comme la mondialisation, mais quelle que soit la façon dont on l’appelle aujourd’hui, cela a rouvert une compétition tous azimuts pour s’accaparer le contrôle des ressources, de la main-d’œuvre, des marchés et des flux financiers. Cette conquête vise en particulier l’économie des pays émergents et en voie de développement, que beaucoup considèrent comme la seule issue à la crise de la civilisation capitaliste qui fragilise les États-Unis et l’Union européenne. Dans ce contexte, la guerre comme instrument de la politique et de l’économie est à l’ordre du jour. Si nous pensons que nous avons vu la plus grande des horreurs ces dernières années, nous risquons de devoir nous habituer à des spectacles bien pires. L’alliance - certes pas nouvelle - entre les puissances occidentales, les pétromonarchies et les mouvements islamiques a détruit de nombreux modèles, a confirmé que le processus historique est en constante évolution et que se limiter à photographier la réalité sans en saisir les tendances est une erreur qui est susceptible de paralyser l’analyse et l’action politiques.

Les signataires de ce document ont des divergences en ce qui concerne l’impérialisme, la mondialisation, la militarisation, le désarmement, l’antisionisme, l’anticapitalisme, le pacifisme, la solidarité internationale et l’internationalisme, mais convergent sur un dénominateur commun suffisamment clair dans la lutte contre la guerre et l’agression militaire.

Pour ces raisons, nous sommes d’accord avec l’idée de promouvoir :

• Le chemin commun de réflexion qui a conduit à ce document

• La mise en place d’un pacte d’urgence pour être prêt à descendre dans la rue si et quand il y aura une escalade de l’OTAN et ses alliés contre la Syrie et nous demandons à chacun d’y participer

• Un engagement à fournir des informations au coup par coup pour combattre les manipulations médiatiques qui ouvrent la voie à de nouvelles "guerres humanitaires" comme en Syrie.

Soutiennent actuellement ce document :
- Réseau romain "No War"
- Réseau Désarmement
- Militant
- Réseau des communistes
- Parti des communistes italiens
- Forum contre la guerre
- Palestine Comité Bologne
- Palestine Comité dans le Cœur, Rome
- Groupe d’action pour la Palestine, Parme
- Collective autonome universitaire, Naples
- Csa Vittoria, Milan
- Alternative
- Fédération des jeunes communistes
- Forum Palestine
- Association Autres Frontières
- Association des Amis de prisonniers palestiniens, Italie

Lu sur le blog de Domenico Losurdo

Traduction Jean Zunino pour lepcf.fr

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